Interlude
Quelques notes de piano traversent la pièce.
Et soudainement, la voix du chanteur apparaît, récitant le texte.
L’auditeur derrière son haut-parleur, écoute en silence.
Qu’elle est belle cette mélodie, inutile de parler, juste savourer.
Le rythme s’accélère, l’intensité augmente.
Le corps frissonne ressentant chaque pincement de guitare.
L’esprit, lui, rêve les yeux ouverts à chaques paroles.
Elle parle de la vie cette chanson, elle ne fait pas la morale, elle ne juge pas.
Elle évoque une main tendue, un soutien aux épreuves de la vie.
«count on me.» répète le chanteur, il a raison «les plus belles âmes saignent parfois».
Déjà la chanson se termine, mais quelque part resteront ces paroles.
Ce n'est pas un hymne de vie, juste un moment de grâce
Et l’auditeur maitre de son choix, choisira de repasser ce titre ou bien passera au suivant.
Et d’autres ressenties viendront balayer les premiers.

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