sans titre
Dans les chants épiques
Athéna au regard perçant
un fortissimo catharthique
et de grand rêve
éclose comme une Epiphyllum
Je pisse dans un buisson
ja lève les yeux sur les cieux
et un milliard d’étoiles…
Les êtres solitaires sont
soit des Dieux, soit des bêtes
J’ai dans un songe, la vision
de l’inintelligible transcendance
et noyé dans l’existence
la gorge sèche, j’ai soif de vérité
d’amour
et parfois au coin d’une rue
je vois une longue allée
qui s’étire entre la lumière et l’ombre du matin
Dans mas chambre, seule
l’orage gronde, dehors
au-dela de ma fenêtre , ouverte
la ville sous la pluie, évoque
le désespoir et la renaissance
la lumière est grise, dans ma chambre
La dolce vita
une rêve bourgeois
le matin , d’un jour de juin
de gros nuages
traverse le ciel
a la vitesse
de 2cm/minute
Oh Dame à l’olivier, puisse tu me guider
je t’offrirai sinon de l’or, le rameau d’un chêne trouvé
Pour avoir défié dieu Socrate bus la cigüe et son corps devint poussière et étoile
le martyr sous un grand ciel bleu sacrifie son corps
la terre est poisseuse du sang coulé et il ne reste que des cendres
j’en fais un grand château blanc mais
dans les couloirs toujours des ombres rôde
des ombres de sang et de peine.
dans les villes
où le gris de la mort rôde
l’espoir futile
a le forme des signes lumineux
qui éclaire la nuit
et cache les étoiles.
je me promène
l’eau coules sous les ponts
le ciel est d’azur
et le soleil chauffe mon visage
l’onde de mes pas
s’étire dans l’infini
une page déchiré
dans un carnet
des mots caché
peut être, jamais retrouvé
ont il étais
écrit a la table d’un café
ou dans le lit d’un être aimé ?
A fiery red
I sing to the sun
the blue steps of a dwarf
show themselves in the snow
les enculés
psychologiquement coincés
qui tienne leurs chiens
sur une laisse courte
un café allongé
un jour d’octobre
la pluie est douce
la folie petit à petit
tombe comme la neige duveteuse
dans mon corps et mon âme
j’attend impatiemment de laisser la bête libre
dansez toute la nuit
un rêve sucré, avec un café allongé.
Avec un rayon de soleil
je sombre dans un dédalle de pierre
est-je trahis mon coeur.
m’abonnant au chose admise
la voie désirée et noir
remplis de vin et de mort
puis-je t’être fidèle
Oh muse, mon coeur ne bat que pour toi
mais mon pas vacille
et la chemin de la sanité me paraît bien propre et fade
et le chaos semble si doux et le feu chaleureux.
La pluie descend
les âmes impures se cache
et je marche car
le ciel gris et si beau
Les flics
des vautours bien pensant
qui erre dans les rues
de leur yeux inquisiteurs
il scrute, juge et execute
les ames damnés
criante de liberté et de justice.
at the bewitching hour , there is
the beauty of th full moon
that shines onto the dark
and deserted streets
I hope to be killed riding a bicycle
high on drugs
and love
the sound of sadness is beautiful
because of the
true emptiness it leaves behind
I will live, live
through out this world
even thought the times
are hard
tomorrow the sun will shine
I wanna get blasted
dance, dance, dance
live as you are young
dispell the darkness
with the gentle caress of love
the cold wind will become
the ship to tomorrow
Black coffee and death
in the late morning
with a shining sun
and some tired thoughts
la nuit, l'hiver
les arbres sans leur plumage
évoque
d'ancien monstre
le son de la pluie sur la foret
mes fais penser, me faais rever
au bulles, au bulles d'une
bière bien brassée
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