Stérile de l’Éternité de son Sourire
Quelques Facilités Pour la Traduction
*pour de la couleur*
*dans nos prouesses intellectuelles, transmissions par le linguistique, et dans notre enthousiasme*
*d'être une inégalité, une dépendance, une drogue*
Dans nos rues, qui se fait nu,
Se met à la vue de ceux invalides des yeux.
Parmi eux, la parade, en voeux de chasteté,
Ce sont les vierges qui désirent ceux qui divergent,
Plutôt virent aux désirs que sirs grâce au stot.
Une virginité qui ne faille,
Une divinité qui ne défaille,
Son sein pèse, de crainte, chez une sainte.
Et il est une contrainte, même quand elle pointe pour le klein de cet œil :
Elle vit la vie, avec sel et miel,
Sur son ovelle, que la langue mélange, *pour du ciel*.
Dans nos amours, qui se fait craintif,
Est éperdu dans ce dû décidu,
La dent qui touche et a étendu le don du Cupidon.
*Dans nos verves*, on se préserve parfois,
Jurons sur notre chance, en errant notre attirance *d'être de l'héroïne*,
Et à être l'héroïne de la survie de son être.
Son âme connaît déjà l'envie de vie de dame que je lui désire, démunie de mes larmes, qui me donne le charme,
Et désarme : mais elle a ses drames, et mes rames à tenir en du slam, qu'elle me dynamise,
Et économise : elle fait trop de pluies, elle a trop d'ouïe : il y a trop de buies, j'ai trop de refouis.
Je me réjouis de l'ennui,
Elle s'épanouit depuis que je ne l'éblouis.
Bien qu'elle s'enfouit bientôt en moi,
Bien que je me fuis dans son bien,
Tôt, tard :
En toi, c'est le lieu de repos,
Pour le temps de quelques pots.
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