Je l’aime, mon misérable 

Une minute de lecture

Quelques Facilités Pour la Traduction :

*Tourne toi aux deux sens*

Je redoute le silence,

Ses malheurs que mes doutes mettent en valeur,

Ses heures que j'ai pourtant en vigilance.

J'ai en ferveurs tant de contre :

Je crois que je suis pour *l'offense*, à la défense du masochisme.

C'est en moi, toi qui est pour des mois dans la voie d'être : une nuit, j'accouche de ta voix, celle qui est de sel : aphrodisiaque à une Aphrodite dans ses dites merveilles, à leur provocation.

C'est en toi, moi qui a goût aux émois : les nuits de sadisme en toi, en moi.

De nos pleurs, une fleur née, de moi et toi,

La belle narcisse.

J'ajoute la dolence,

Aux attirances.

De baisers salés,

Des rusés calés,

Dans les rues des caps,

Amoureux,

Miséreux,

Tout les deux.

Le misérable est ce qui nous rend fiévreux.

Je reconnais ainsi l'amoureux,

Qui me partage ses pleurs, gâteur.

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