Chapitre 3 – Ecrire la réalité - Le poids de l’écriture dans nos choix
Le poids de l’écriture dans nos choix
Pour moi, le choix passe nécessairement par l’écriture, la continuité de l’histoire est soutenue par ce médium qui est l’écriture, et si nous voulons construire de nouvelles mentalités, il faut obligatoirement écrire le futur, tout en prenant en compte, les trois temporalités, en termes de « conscience », c’est-à-dire, le passé, l’instant présent, et l’avenir. Le passé en tant qu’exemplarité, à reproduire, ou pas, elle sert de base de référencement pour comprendre ce qui se passe à un moment T, c’est un peu le reflet du temps, au travers des siècles. Il y a forcément des cycles qui se reproduisent à travers le temps, ce qui donne une base de réflexion sur le présent et l’avenir. L’instant présent est à prendre en considération à la fois comme temporalité, et comme ressenti, c’est-à-dire, au travers de la spiritualité qui converge en tant que prise de conscience, du moi et sa pleine compréhension, afin de dépasser les conflits intérieurs et extérieurs de l’être, au niveau microscopique, et les conflits de nations au niveaux macroscopiques. Oui, car le fait d’éviter les conflits et de promouvoir la paix, devrait faire partie des impondérables de cette temporalité. Le développement harmonieux, devrait aussi faire partie de cette notion de temps, car l’harmonie, ne signifie ni trop, ni pas assez, mais en tant que contentement de ce qui est propre à l’homme, c’est-à-dire, ses besoins nécessaires, et « superflu », je mettrai superflu entre guillemet, car une fois les besoins nécessaires, épanchés, il reste à nourrir l’âme, qui elle a besoin d’une nourriture bien spécifique, et unique en son genre.
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