Une synchronicité quantique ?

Nous en arrivons à la partie la plus intéressante de cette présentation. Les synchronicités. Nous en avons parlé plus haut, bien que ressemblant ou semblant s’apparenter avec une quelconque intrication de la physique quantique, c’est loin d’être le cas, car elle s’atèle avant toute chose à la psyché de celui qui l’entend, même si cette piste a déjà été exploré : « Le concept de synchronicité a été développé par le psychiatre et psychanalyste suisse Carl Gustav Jung dans les années 1920, mais il n'a été formellement introduit qu'en 1952 dans son essai Synchronicité : Un principe de relations acausales. Jung s'est intéressé à ce phénomène après avoir observé de nombreuses coïncidences significatives dans sa pratique clinique et sa vie personnelle. Il a collaboré avec le physicien Wolfgang Pauli pour explorer les liens possibles entre la synchronicité et les principes de la physique quantique. L'idée de Jung était de proposer un principe explicatif pour les événements qui semblent liés de manière significative mais qui ne peuvent pas être expliqués par la causalité classique. Il considérait la synchronicité comme un principe aussi fondamental que la causalité dans notre compréhension du monde. » Je n’explorerai pas plus en avant, la notion de synchronicité développé par Carl Gustav Jung et Wolfgang Pauli, mais pour ceux qui veulent aller plus loin je leur conseil de se rendre à leur ouvrage commun, publié en 1952 : The Interpretation of Nature and the Psyche, un livre qui présente leurs réflexions communes sur la synchronicité et les liens entre physique et psychologie.