– Attends, tu vas partir comme sa. Laisse nous te remercier de nous avoir libéré. Je me retourne vers le garçon qui m'avait dit de m’enfuir. Comment peut-il me rendre la pareille ?

– Je ne cherche rien en retour, rentré chez vous et rester caché... Je ne fini pas ma phrase voyant son visage attristé, mais aussi, que cette phrase est fausse, si nous étions rester chez nous, nous serions probablement morts.

Je scrute chaque détails de son corps, il laisse les barbelé autour de ses poignets, sans doute que la douleur est encore trop grande pour les arrachés. Son pull vert est tacheté de sang plus ou moins absorbé par le tissu, son jean noir a subit des déchirure de chaque coté des cuisse, plusieurs à ses genoux ensanglanté, et recouvert de poussières à ses chevilles. Ses baskets, quant à elles, je suppose qu'avant qu'il ne soit ici elle étaient blanche, mais maintenant elles ont un mélange entre le bordeaux et le gris.

Son visage recouvert de sang, de coupure, et de poussière, lui fait comme un masque où l'on ne peut savoir quel sont les vrai traits de son visage meurtri par la douleurs. Ses yeux, sont la seule choses qui lui font paraître vivant, et avec des émotions. Ils sont bleu vif, plus claire que ceux de mes sœurs, ils sont comme une eau pur des plage paradisiaque.

– Je m'appelle Michaël... Et lui c'est Paul, S'il te plaît, laisse nous te remercier, on a aucun moyen de défense pour aller dehors. Tu veux qu'on meurent alors qu'il y a peine vingt minute vous venez de nous sauver ?

Michaël, je peux enfin fixer un nom sur ce visage camouflé. Sa phrase est juste, et je suis obligé d'accepter car je n'ai aucun moyen de répliquer.

Le petit garçon, Paul, a le regard noir me fixant, il est vide, épuiser par toute les souffrances qu'il a subit et la résistance de son corps contre la mort. Son corps tangue légèrement d'avent en arrière essayant de ne pas s'écrouler a terre, près à mourir.

 Mes sœurs après avoir rangé leurs armes dans leurs dos, me rejoignent a mes cotés. Leurs yeux pétillent de joie, ayant la satisfaction qu'elles ont sauvé des gens d'un être ignoble, pour elles une première mission étaient accomplie. Mais notre mission principale, si l'on peut dire, ne fait que commencer, cette épreuve n'est que le début d'une redoutable aventure semé d’embûche, de secrets, de souvenirs, de pleures, de rencontres et j'en passe.

Je regarde brièvement mes sœurs, qui hochent la têtes. Je n'ai plus le choix, mais cela fera bien plus de responsabilité, plus de vigilance à ceux qui entoure, deux personne de plus a nourrir, et à trouver suffisamment de ration d'eau pour nous tous.

– Je ferai tout pour que nous soyons, Paul et moi, les plus indépendant, nous nous débrouillerons...

– Non, c'est bon, il faudra juste être d’avantage discret lorsque nous serons face a un bon nombre d'ennemis. Et aussi prendre des rations plus grandes. Vous voulez aller dans quel ville précisément ? Je leurs tourne le dos et leur faits signe d’avancer à mon niveau.

– Je devais aller à Paris rejoindre mon frère, mais en traversant le tunnel, j'ai vu son cadavre étriper à quelques kilomètre d'ici... Jusqu’à que ce ''Jason'' m'attrape. Son regard se dirige droit vers le sol, regrettant presque ses paroles. Je présente toute mes condoléance, et pose la même question à Paul. Lui n'a plus aucune famille ici, tous plus de trente ans, il a été abandonner seul chez lui, et en avait marre d'attendre dans sa chambre que quelqu'un vienne le chercher, pour soi le dévoré ou une très faible chance qu'on vienne le sauvé.

– Nous, nous allons dans la régions de L'Eure, au niveau de la ville Andelys, pour espérer trouver quelqu'un. Le regard de Madi, se fait immédiatement plus froid, et ses joues rougies à la fin de mes mots, faisant sans-blanc de n'avoir rien entendu, choisissant comme distraction de recompter ses flèches.

Commentaire :

Madison

 Nous marchons maintenant accompagné, nous devenons plus fort. Chaque pas que nous faisons nous rapproche un peu plus de Toi. Une grande hâte et une immense peur m'envahit a l'idée de Te revoir. Pourtant je sais que Tu es toujours vivant, je le sens, mes yeux remplit d'espoirs ne peuvent pas le caché malgré tout cet enfer autour de moi.

Michaël a l'air d'avoir l'âge de Riley, en tout cas ils s'entendent bien depuis que nous les avons libérés. Riley veut sauver des vies pourtant aucun espoir ne vie dans ses yeux, uniquement le vide. J'ai encore beaucoup a apprendre sur elle, des questions à lui poser, mais jamais je ne trouve le temps.

Paul, lui, nous connaît peut être depuis quelques minutes mais il nous fait suffisamment confiance pour nous tenir, à Kayla et moi ses mains. Cela me fait revenir de divers souvenir avec Riley, quand la protégions quand elle était enfant. Protéger toutes âmes qui nous suivent, survivent, c'est sans doute ça notre destin.

Kayla

 Je sens sa main chaude dans la mienne, je ferme les yeux quelques seconde, des souvenirs avec Toi. Une image, quand nous étions ensemble, on se tenait la main amoureusement. Sur le chemin de la Seine, le soir était tomber, nous étions presque les seul à être dehors, éclairé par quelques lampadaires. Il n'y avait aucun bruit et pourtant j'ai apprécier ce moment avec Toi.

Je rouvre les yeux, dans le noir, seule. Uniquement l'instinct de Riley éclaire notre chemin, je regrette de n'avoir pas apprécier plus ce moment à Tes côté. Nous devons aller de l'avant, c'est la seul solution pour que je te retrouve, de l'autre côte du mur. Je sais que ta présence veille sur moi, mais Toi, ton odeur, ton corps me manque.