Le remplacement 3/3 :
Malgré le faite qu’ils ne se sont pas vus depuis plusieurs années aucunes des deux n’avaient envie de discuté ils avaient des doutes, l’un car il se demande ce qu’il allait faire, qu’a au second, il se demander comment il aller faire pour faire le changement, sans que les parents ne puissent sens rendre compte.
Sören savait que pour le père rien à craindre, le plus complique dans l’histoire sais la mère.
Sans se rendre compte la voiture tourne sur le petit chemin qui conduit à la maison, le portail s’ouvre la grosse voiture allemande entre.
Sören : toujours aussi moche ici (Le garçon hausse les épaules.) allons-y, nous avons encore du boulot.
Ils montent les quelque marches qui séparent de l’entrée de cette grande maison, quand d’un coup le jeune homme s’arrête.
Le garçon : pourquoi ?
Sören s’arrête, il se retourne.
Sören : à ta naissance ton destin était déjà décidé, certaines personnes peuvent faire ce qu'elle veulent, dans notre famille, non, on ne peut pas, tu penses que je suis heureux de te faire vivre ça ? La réponse est non, mais il le faut, tu sais lorsqu’on grandit, on ne fait pas toujours ce qu’on veut.
Le garçon : pourquoi maintenant ?
Sören : le Cercle à décider qu’il était temps pour toi de reprendre ta place, tu sais depuis que tes petits que tes uns des garçons différents, tu as un destin particulier mon grand, je me doute que tu ne te sens pas prêt, que tu préférais être libre de pouvoir aller voir des filles… Mais malheureusement...
Le garçon : je suis désolé tonton, mais je ne crois pas en ce destin que tout le monde semble croire, ose me dire que tu y crois ? Donne-moi, une preuve que j’ai un destin hors du commun comme tout le monde le pense ?
Sören : Tu as raison, je n’ai aucune preuve, mais je sais au fond de moi que tu es différent et qu’un jour, tu permettras de rendre la lumière… Aller, on y va.
Le garçon : et pour les parents ?
Sören : chute, je m’en occupe, tu n’aura cas me suivre.
Le garçon : je te jure qu’un jour le conseil de merde, va me le payer, ses fils de putes…
Ils entrent dans la maison, la porte se referme sur eux…
Vingt-quatre heures après la porte se réouvre, Sören sort.
Yvan (applaudissement) : toutes mes félicitations, mon frère, le Conseil seras très heureux de voir que tu as réalisé ta mission, aujourd’hui, c’est le premier jour d’un futur qui ne sera que meilleur pour nous tous (il rigole.) aller vient là mon frère que je te prends dans les bras.
Sören (sourire) : aller pourquoi pas
Il se prend dans les bras, Yvan est très heureux.
Sören passe sa main dans son dos sous sa veste, il en sort une dague.
Sören (parle à l’oreille de son frère.) : un jour, j’allais le conduire vers son futur… Lorsqu’il aurait été prêt… Mais toi et ton putain de conseil avait passée outre, aujourd’hui mon frère, il est temps de payer...
Yvan : aaaahhh...
Sören : chute, ne t’en fait pas, tu ne vas pas souffrir longtemps.
Les gardes qui assurent la protection comprennent ce qu’il se passe, ils sortent leurs armes, et à leurs tours les gardes qui sont fidèles à Sören sortent aussi pour mettre en joue leurs “collègues.”
Yvan tombe doucement sur le sol.
Sören : chute, tu en as plus pour longtemps, je commande le Conseil, tu as outrepassé les régler maintenant, on va faire comme je le décide mon cher frère.
Yvan regarde son frère, une larme coule le long de sa joue.
Sören : voilà… (il regarde les gardes) il a raison, aujourd’hui c’est un nouveau départ, maintenant à vous de choisir, vous êtes avec moi ou contre moi ?
L'ensemble des gardes qui était pour Yvan se mettent à genoux devant Sören pour lui jure fidélité.
Sören : bien, on rentre, j’ai un nettoyage à faire dans le Conseil.
Un garde : monsieur que devront faire de lui ?
Sören (il regarde le corps de son frère) : donne-le à manger à des cochons lorsque nous serons rentrées.
Le garde : à vos ordres monsieur.
Les gardes rejoignent les voitures, Sören s’apprête à entrer, il regarde la porte de la maison.
Sören : notre destin est dans tes mains, j’ai confiance en toi Maître.
Les voitures démarrent, elles passent le portail qui se referme sur eux...
À suivre.
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