Un an après :
Bonjour la team, pardon, pour mon absence, beaucoup de changement dans ma vie perso, un grand merci pour vos messages, je ne vous oublie pas, merci.
La vie de la famille a un peu évolué... Giulia est moins de mauvaise humeur, juste un peu... Plusieurs fois, ses parents ont voulu aborder le sujet.
Un psy dirait qu’elle fait un blocage.
Ses parents pensent qu’elle a oublié ce qu’il a pu arriver en Grèce, elle n’a plus aucun souvenir de cette journée… De cette période.
L’atmosphère est plus calme en famille et entre amies, elle était plus dans la communication, échanges, le dialogue, avec son petit ami Stéphane, le courant été de plus en plus difficile, Giulia est folle de lui, alors qu’il n’a pas grand-chose pour lui…
Giulia est maintenant en fac d’histoire en première année, son mec, il reproche d’être moins présente pour lui et que cela ne pourra pas continuer très longtemps, il y a plein d’autres filles qui voudrait être à sa place, alors elle doit faire attention…
Elle essaya de faire son possible pour être la plus présente pour lui et jongler avec la fac, le lycée lui semble très loin, le boulot a donné est plus fort.
Mais la fin de l’année arriva vite et bien sûr à les vacances.
Carmen et Enrique, avaient proposé à Giulia de lui payer des vacances en Californie pour lui faire voir d’autres milieu, elle refusa, elle préféra partir avec « ses vieux » en Italie dans leurs maisons familiales.
Le deux juillet, toute la famille était prêtés à partir.
Le soir Stéphane annonça à Giulia que leurs histoires étaient finie, car elle n’accepte pas de s’occuper de lui.
Notre belle Italienne, n’avait pas le cœur à partir en vacances, elle voulait partir rejoindre son ex pour le reconquérir, elle accepta l’autoriser à ce faire sodomiser, pour le reconquérir.
Sauf qu’elle n’a rien dit à ses parents, pourquoi, bonne question, a la place elle tira la tête.
Enrique : bon une nouvelle… Nous allons avoir un visiteur pour le voyage, une personne qui a besoin aussi de ce change les idées.
Giulia : je n’ai pas besoin de me changer les idées, tout va bien, j’ai simplement plus envie d’aller dans cette maison, j’ai 18 ans merde, je peux quand même prendre mes propres décisions… Même si vous n'en avez rien à faire de ce que je pense.
Junior : elle a quoi encore la pisseuse ?
Giulia : tu veux ma main dans la gueule pauvre con ? Les parents ne voulaient pas t’avoir, tes là parce que la capote a explosé.
Junior : MAMANNNN.
Carmen : je vous conseille, de fermer vos gueules sinon je vous promets l’enfer…(sourire).
Plus un mot dans l’habitacle.
Ils prennent la route, et environ une heure après il arrive chez un couple d’amis, leurs fils n’est pas en forme actuellement, il était en stage pour ses études et suite à une fille, pour elle, il a quitté son stage pour aller la rejoindre.
Au bout du compte, Arnaud est cocu par son ex.
Enrique : ne t’en fais pas, avec nous, il ira mieux.
Son père : oui, j’espère, je n’ai pas envie qu’il soit sur l’ordi pendant deux mois.
Enrique : ne t’en pas mon ami, tout ira bien… Bon allez on y va.
Son père : passe quand même de bonnes vacances Arnaud.
Arnaud : pfff.
Son père : bon courage avec lui et merci beaucoup.
La voiture démarre.
Giulia : et moi, je pus ? Pourquoi il est là se con, je ne l’aime pas.
En réponse à son père et a Giulia, Arnaud leur fait un doigt d’honneur.
Entre la maison et le lieu des vacances, il avait environ 14 h de route, on aurait pu entendre les mouches volées, il règne un silence, pour aller le plus vite possible Carmen et Enrique passerai chacun leurs tours au volant.
À la base, la famille devait prendre l’avion, mais comme les plans, on change à la dernière minute, ils ne pouvaient plus prendre l’avion car plus de place.
Donc la voiture fut le plus rapide…
Une fois arrivé à la maison de la plage, chacun prit une chambre.
Pendant quatre jours, Giulia et Arnaud, ne sont pas sortis de leurs chambres… Ils sont présents physiquement, mais leurs esprits sont avec leurs moitiés.
Giulia devait être plus discrète pour pleurer, car elle ne voulait absolument pas que ses parents sachent quoi que ce soit, ils seraient trop contents, pense-t-elle.
Arnaud est réglé comme un coucou suisse, 1 h du matin, il pleure, en essayant de faire le moins de bruit possible…
Que dire de lui ?
Un jeune adulte qui a été timide pendant de longues années et qu’un jour, il a compris qu’il pouvait utiliser cet atout pour draguer, une fois compris, il trouva vite une solution pour les filles, mais bien sûr, la vie a décidé de mettre son grain de sel… Et tout ne se passa pas comme prévu.
Un matin sans comprendre pourquoi, Giulia sortis de sa chambre, elle avait envie de regarder la télé, son père était parti chez son frère a quelques heures de là donc elle essaie de la faire sortir.
Carmen : ma princesse, je voudrais que tu me rendes un service…
Giulia : quoi ?
Carmen : oh, mon dieu, elle parle, miracle, vite, il faut contacter CNN pour faire une édition spéciale.
Giulia : eh, en plus, tu trouves ça marrant.
Carmen : oui et j’en suis fière, donc je voudrais que tu sortes un peu d’ici rester enfermé n’est pas et bon pour la santé.
Giulia : j’ai la fenêtre d’ouverte.
Carmen : très bien mon cœur surtout si tu as des gaz.
Giulia : MAMANNNN !!!!
Carmen : aller vient avec moi, on va aller entre filles à la plage, prendre un bon bain de soleil et montré nos corps de déesse a tous ses mecs, seconde info, ma fille vient d’avoir un petit sourire.
Giulia : MAMANNNNNNN !!!!!
Carmen : eh, elle me reconnaît…
Giulia : pourquoi je devrais venir alors que l’autre reste ici ?
Carmen : ne t’en fais pas, il va venir avec nous, je lui ai déjà parlé, il finit sa série et il arrive, n’est-ce pas Junior
Junior : ouais…
Giulia : je ne parle pas du puceau.
Junior : je t’emmerde.
Giulia : je parlais de « l’invite. »
Carmen : mon dieu, ma fille vient d’avoir une excellente idée, veut, tu allais proposer à Arnaud de nous suivre ? (sourire)
Giulia : oui bien sûr et puis quoi encore, tu ne veux pas que je lui torche le cul pendant que nous y sommes ?
Carmen : hmmm, tu sais, je pense qu’il est assez grand pour le faire lui-même, mais merci d’avoir proposé.
Giulia : MAMANNNNNNN, tes dégueulasses sérieux.
Carmen : moi aussi, je t’aime ma fille.
Elle prend la direction de la chambre d’Arnaud, il fait noir, pas un bruit alors elle entre pour ouvrir la fenêtre et sortir le jeune homme de cet enfer, pendant une seconde, elle eut peur qu’il ait fait une nouvelle tentative de suicide.
En ouvrant les rideaux, ouf elle constata qu'il était dans un grand sommeil, lorsque le soleil entra dans la chambre.
Arnaud : putain, de merde, je dors.
Carmen : oh tiens bonjour à toi aussi Arnaud, si tu veux il y a mangé sur la table, après tu pourrais prendre une bonne douche et après, je te propose de venir avec nous, faire un tour à la plage, je suis certaine que cela te ferait le plus grand bien (Sourire).
Arnaud : non.
Carmen : oui Fox, news, j’ai une information d’importance nationale, il vient de parler.
Arnaud : oooh la là, dît donc très marrant, elle a fait l’école du rire pour en sortir une comme ça, félicitations, mais elle est a chier.
Carmen : ah, merde, je suis désolée, je pense que j’ai encore beaucoup de boulot pour arriver à ton niveau, je sais, tu as beaucoup plus l’habitude que moi, avec ton grand humour.
Arnaud : pfff, bon, tu veux quoi ?
Carmen : aaaaaaahhhh, vient 1 h avec nous à la plage, je ne te demande rien d’autre Arnaud, un beau garçon comme toi ne devrait pas rester comme ça, tu devrais sortir, vivre, je sais que ça fait mal, lorsque nous sommes trahis par une personne qu’on aime, surtout lorsque tu veux faire de projet d’avenir avec…
Mais crois-moi, je suis vieille maintenant, la roue tourne toujours à un moment, oui, tu vois tout en noir, tu te demandes pourquoi moi et pas un autre, fait moi confiance, tu iras mieux dans quelques jours, aller Arnaud, vient (sourire).
Aucun homme, n’a jamais résisté à ce sourire, ils fondent tous.
Arnaud : bon ok, mais une heure.
Carmen : merci Arnaud, aller vient…
Arnaud (rouge) euuh tu peux sortir s’il te plaît ?
Carmen : oups (dit elle a ce levant) les hommes et leurs érections du matin.
Arnaud : CARMENNNNN.
Un quart d’heure après, il arrive dans le salon.
Carmen : merci.
Giulia : merci de quoi ? Juste parce que monsieur arrive, tu lui dis merci, il est notre invité alors il reste à sa place ce connard...
Carmen : je dis merci parce que je suis poli, tu connais le mot politesse ma fille ? (Sourire).
Giulia : marrant…
Carmen : hmmm, je sens que nous allons passer un excellent moment… (sourire).
Le moment est vraiment agréable, bon alors oui, les deux monstres fonds la gueule, mais ça va bien, Carmen est heureuse d’avoir réussi à faire sortir les deux.
Contre toute attente, les jours suivant, les deux sorties, pas en même temps ni au même lieu, mais ils allaient à l’extérieur, Carmen ou Enrique, garde un œil sur eux, on ne sait jamais…
Jusqu’au jour où la surveillance fut moins forte sur les deux, car ils étaient moins déprimés, alors oui, ils font toujours la gueule, rien n’a changé de ce côté.
Jusqu’au jour, ou les deux étaient en même temps, sur une petite plage au bord de la mer, en endroit paradisiaque, calme, aucune présence de horde de vacanciers complètement fou, un endroit calme loin du monde de fou.
Les deux s’ignorent complètement, jusqu’en Arnaud tourne la tête vers Giulia, elle était en panique sur son téléphone, il pensa quelle idiote cette meuf.
Il l’a regardé une nouvelle fois, cette fois-ci, elle pleure.
Arnaud ne sait pas pourquoi, mais à cet instant, une colère monta en lui d’un coup, il n’aime pas voir une femme pleurée, alors oui, il n’aime pas Giulia, il pense qu’elle est une gamine pourrie gâter, que ses parents lui passent la moindre chose et que la princesse est une meuf de magasin, pour ça oui, elle va pratiquement tous les jours faire les magasins pour acheter un p’tit truc.
Oui, Giulia pleure, car encore une fois son « ex » lui fais une nouvelle fois des remarques sur son poids, il la trouve encore trop grosse pour être avec lui, alors il lui fait une nouvelle fois comprendre qu’elle doit encore perdre du poids, son poids est de 48 kg.
Il se lève pour se rapprocher d’elle, il lui tend un chocolat.
Au début, elle ne sens rends pas compte, au bout d’un moment, elle lève la tête.
Arnaud : lorsque je ne vais pas bien, je prends du chocolat et au bout d’un moment mon moral, remonte.
Giulia : tu dois en prendre souvent en ce moment.
Première parole entre les deux, sans aucun échange d’insultes
Il va s’asseoir un peu plus loin, sans rien dire, ils sont restés un long moment à regarder la mer sans aucun mot.
Carmen : A TABLEEEE.
Comme de bon robot, ils vont chacun leurs tours à l’intérieur, une fois fini, ils rentrent dans leur chambre pour une nouvelle nuit de pleur en silence.
À suivre...
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