La souffrance rapproche 2/2 :
Giulia : non, je veux dire merci pour tout, m’avoir écouté donner des bons conseils.
Arnaud : je n’ai pas fait grand-chose, j’ai simplement dit ce que je pense.
Giulia : oui, faut savoir que beaucoup de personne ne me parle pas comme tu as pu le faire...
Arnaud : peut-être qu’ils ont peur.
Giulia : ouais, je sais, j’ai un sale caractère de merde...
Arnaud : tu là pour te protéger des souffrances...
Ils sont debout, l’un en face de l’autre, leurs yeux plongent l’un dans l’autre, ils ne se parlent plus, on dirait que le temps vient à l’instant de s’arrêter.
Leurs visages se rapprochent doucement.
Leurs lèvres ne sont cas quelques millimètre d’entrée en contact, l’instant suivants elles se touchent, un éclaire les traverses, un frisson.
Arnaud : pardon.
Giulia : excuse... Je ne voulais pas…
Elle se retourne, elle court en direction de la maison, elle s’enferme dans la chambre, quant à Arnaud, il est perdu, il est sur la plage, il est resté là un très long moment.
Le lendemain main, lorsqu’il sort de la chambre pour aller manger la très bonne blanquette de Carmen, il tomba sur Giulia dans le couloir des chambres, il rougit aussitôt lorsqu’il croisa son regard
Giulia : il ne sait rien passée, si tu dis quelque chose à quelqu’un, je te tue, personne ne pourrait te croire, toi et moi, pfff, t'es qu’une merde.
Arnaud : pauvre folle.
Chacun reprend sa route.
Pendant les deux semaines qui suivent, ils ne se croisent jamais, jusqu’au jour où ils tombent l’un sur l’autre sur un petit chemin, lorsque leurs regards se croisent, ils rougissent en même temps.
Arnaud : on dirait que tu vas bien après tous ce temps...
Giulia : on fait aller... Je n’ai pas reparlé à Stéphane depuis l’autre jour.
Ils continuent de discuter vers une petite crique tranquille que Giulia connaît bien, un jour, elle a eu envie de mettre fin à sa vie là-bas, lorsqu’elle a vu le reflet du soleil sur la mer, elle se rétractait à la dernière seconde.
Arnaud : Magnifique.
Giulia : oui, je n’ai jamais emmené quelqu’un ici, je suis désolée pour l’autre jour... (elle rougit.)
Arnaud (sourire) : je ne m’en souviens pas.
Giulia : merci.
En arrivant sur le sable, on dirait qu’ils sont seuls au monde.
Ils sont continués à parler toute l’après-midi, plus rien ne pouvait compter pour eux, juste l’instant présent.
Giulia (en regardant Arnaud) : je n’ai pas envie de rentrer.
Arnaud (en regardant Giulia) : moi non plus, je me sens bien ici... Et maintenant...
Une nouvelle fois, leurs visages se rapprochent, au moment où leurs lèvres aller se toucher Arnaud recula, il ne voulait pas que se reproduise le même souci.
Giulia lui attrape le visage, pour l’embrasser, lorsque leurs lèvres se séparent, ils se regardent.
Arnaud : on ne devrait pas.
Giulia : si
Dit-elle en le disant vers elle, leurs lèvres se retrouvent Giulia ouvre la bouche pour venir caresse les lèvres et en attendant qu’il ouvre, il n’a pas fallu attendre très longtemps, lorsqu’elle entre en contact, leurs corps entre en transe.
Giulia s’allonge sur le sable tout en continuant d’embrasser Arnaud.
Arnaud : tu en es sûr ?
En réponse, elle lui retire son t-shirt, à partir de cet instant-là plus rien ne pourrait les empêcher, elle lui caresse le dos, elle sent de plus en plus le pénis d’Arnaud qui prend de la place dans son short, elle n’arrive plus à penser, ni à se contrôler, elle a envie de faire l’amour, elle a envie de lui, ici et maintenant.
Elle retire son haut, Arnaud fixe une seconde, ses deux gros obus, 95 D, il embrasse en douceur, il prend en bouche, Giulia gémit, elle frissonne.
Il lui embrasse le ventre en descendant toujours plus bas.
Il retire son short et son maillot de bain, il est devant le paradis, il reprend ses bisous...
Giulia : euuuh, qu’est-ce que tu…
Arnaud : tu n’as jamais eu ?
Elle rougit de honte, elle fait non de la tête, Arnaud revient l’embrasser, comme pour la calmer, lui faire comprendre que tous iras bien, qu’elle peut lui faire confiance.
Elle lui fait un sourire, elle n’a jamais été aussi bien détendue, aussi en confiance, lorsqu’Arnaud, lui embrasse la vulve, Giulia frissonne, il écarte doucement pour commencer à lui donner du plaisir, qu’elle n’a hélas jamais eu.
La langue entre avec son clito, Giulia gémit, son corps entre en spasme, elle tremble, ses mains se pose instinctivement sur la tête de son amant
Elle n’a jamais connu ça, Arnaud prend son temps pour lui faire découvrir le plaisir d’être léché, il ne peut pas s’empêcher de mettre sa main gauche sur son sein, qu’il masse puis pince délicatement.
Giulia : mon dieu... Que sait bon... Mais qu’est-ce que tu me faiiiiiis, hmmmmmmm.
Son corps se soulève du sable, elle passe ses mains dans les cheveux, elle prend des électrochocs à chaque coup de langue, elle gémit comme jamais, elle n’arrive pas à se contrôler, elle envie de crier son plaisir, plus rien ne compte, sauf son nouveau plaisir.
Giulia : OUIII VAS Y ne t’arrête putain, hmmmmmm.
Son corps se crispe, ses yeux se révulsent, son corps est aussi dur que du béton, il lui donne un coup de langue elle jouit.
Giulia : MONNNNN DIEUUUUUUUUUUUUUU.
Elle tombe sur le sol, son corps tremble pendant quelques minutes.
Elle revient doucement à elle.
Arnaud : ça va ? (Un peu inquiet).
Giulia : viens là.
Ils s’embrassent, Arnaud se place entre ses cuisses, le contacte de la peau de Giulia le refait bander.
Giulia passe les mains entre leurs corps, elle lui descend le short, son pénis sort, elle pose la main dessus, le contacte du pénis, la fait frémir, elle le branle doucement, Arnaud lui mordille le sein droit.
Giulia : elle est grosse. (elle rougit)
Arnaud : je n’ai pas de...
Giulia : retire-toi juste avant de... Prends-moi ici et maintenant.
Comme résisté à une déesse, elle prend le pénis pour le place juste à l’entrée de son vagin, Arnaud entre juste le gland.
Giulia : MON DIEU, c’est trop gros
Arnaud : on peut arrêter ma belle, tu n’as qu’un mot à dire.
Giulia : va juste doucement.
Il la pénètre doucement, elle frissonna, elle ne peut plus respirer tout son corps est en feu, la sensation est tellement forte, puissante, elle ne sait plus où elle a et depuis combien de temps, elle tremble, une nouvelle fois elle a un orgasme.
Lorsqu’elle est remise, Arnaud reprend vas et vient dans cette petite chatte toute serrée, il a peur de ne pas savoir se contrôler, il a beaucoup de mal à être concentré.
Arnaud : je ne vais pas tenir.
Giulia : encore un peu s’il te plaît.
Elle l’embrasse, il n’en fallait pas plus, pour déclencher la jouissance de notre ami.
Il se retire, les get de sperme atterrisse sur le ventre de Giulia, ce qui déclencha encore un orgasme aussi puissant que les autres, Arnaud tomba sur le sol, il est dans le même état, il éjacule encore.
Il faut plusieurs minutes, pour qu’il revient à lui.
La nuit est tombée, il est seul sur la plage.
Le premier Sceau fut rompu...
À suivre.
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