En secret 1/4 :
Au petit matin, Giulia est dans le couloir, elle attend, un long moment jusque quand elle le voit arriver, il lui fait un sourire.
Il est sur le point de lui dire bonjour...
Giulia : hier soir, c’était une erreur, donc tu m’oublies et si tu reviens à la charge, je vais à la police pour porter plainte contre toi pour viole.
Arnaud tomba du grenier à la cave plusieurs fois, il ne comprend plus rien, il essaie de lui parler, elle le menace, il comprend, il arrête.
Il reste deux jours de vacances, les deux, ont fait comme si que rien ne sait passée, aucun échange de regard, absolument rien.
Le retour à la maison, fut très long.
Dans le plus grand silence, Carmen et Enrique, sont un peu déçus, car ils ne sont pas réussis leurs missions.
En rentrant, ils déposent Arnaud chez ses parents.
Dans le rétroviseur, ils peuvent voir Arnaud et son père se prendre la tête comme si que rien n’a changé, ils rentrent chez eux non loin de Lille très triste…
Quelques jours après le cours de la vie rien vite, Giulia reprend ses cours à la fac et Arnaud aussi en cours, une vie presque normale... Pour eux…
Depuis environ 3 semaines, Giulia est malade...
Après vu le docteur, son monde s'écroule, va vie, son futur tout est remis en question... Jusqu’au jour un matin en allant à ses partiels, Giulia tomba à terre, lorsqu’elle sort de l’hôpital, une partie d’elle a disparu.
Le soir même, en rentrant dans son appartement, elle ouvre le tiroir, le tube de médicament ouvert, elle ingérait le tube, accompagne d’une bouteille d’alcool.
Giulia a un ange gardien, 10 min après avoir voulu une nouvelle fois ce suicidé, elle se lève pour courir aux toilettes, elle vomit tout ce qu’elle a pris, elle pleure à terre dans les toilettes.
Sa meilleure amie Lily, entre, elle la trouve à terre, elle l’aide à sortir puis à se calmer, un bon moment après Giulia arrive à expliquer ce qu’il se passe...
Quelque temps après Stéphan, revient, pendant deux semaines, ils se sont remis ensemble, jusqu’à ce moment.
Giulia est dans son appartement à réviser pour ses futurs partiels.
Stephan entre chez elle.
Stéphan : ah tes là ma grosse, je me suis dit ou t'es encore passée.
Giulia : je ne suis pas grosse.
Stéphan : mais oui, bien sûr, tu peux arrêter.
Giulia (lève la tête.) : pourquoi ?
Stéphan : regarde mon jean.
Giulia : oui, tu bandes, et ?
Stéphan : j’ai envie de te baiser.
Giulia : je n’ai pas envie, je suis désolée.
Stéphan : sérieux ? Tu sais combien il y a de meuf qui voudrait ma grosse bite ? Alors déjà, tu refuses que je t’encule, et maintenant, tu ne veux même pas me soulager.
Il ouvre son jean, et sort son sexe.
Elle regarde, sans plus.
Giulia : non désolée.
Stéphan l’attrape par les cheveux.
Stéphan : tu vas arrêter de me faire chier, maintenant, tu vas me sucer et après, je vais t’enculer.
Giulia : arrête, tu me fais peur.
Stéphan lève Giulia pour la balance dans le lit, elle pleure.
Stéphan : oui, pleure, j’aime ça, ouais résiste moi, je vais te défoncer la chatte et le cul.
Au moment où il lui retire de force son jean, Giulia ce rappel, de la parole d’une personne de bien “ tu mérites tellement mieux”.
Elle trouva la force de le repousser, en tombant, sa tête heurte le bureau.
Stéphan : je vais te tuer sale merde.
Elle essaie de quitter la chambre arrivée à la porte, il arrive à la rattraper, il la fait tomber à terre pour reprendre son acte, sauf qu'elle a réussi à prendre le coupe papier, elle lui place à la gorge.
Stéphan : arrête.
Giulia (en pleure) : pourquoi ? Pour que tu veux me violes ? Il a raison, je mérite mieux que toi, tu ne m'as jamais aimé, je ne suis qu’un vide couille pour toi, quand tes potes ont voulu me viole tu n’as rien dis et là tu voulais me violet sale fils de pute (elle se lève, elle lui donne un coup de pied dans le ventre puis dans les couilles.) t’es qu’une merde, un moins que rien, j’ai perdu plusieurs années de ma vie (dit-elle en séchant ses larmes) avec toi, tu n’es pas à la hauteur d’être avec moi, et avec personne, tu mérites de finir seul (elle lui donne un coup de pied dans le ventre.) je t’es aimer, j’étais prête à tout pour toi, mais je me suis tromper, tout est fini entre nous Stéphan... Dégage...
Une fois redresser.
Stéphan : ok sale putain, t'a un mec, pfff qui voudrait de toi sale putain, avec tes gros seins de merde, ton cul à bite, personne ne voudra de toi, ou bien peut être pour vider des bites dans des caves, un jour, tu reviendras vers moi, car tu es à moi.
Giulia : non Stéphan, je ne suis ni à toi, ni à personne, tu n’as fait que tu me rabaissais, tout est fini entre nous, je ne veux plus jamais entendre parler de toi, pauvre mec
Stéphan : sale putain
Il sort de l’appartement et de l’immeuble en gueulant.
Giulia tombe sur le lit, en disant les quatre vérités à son ex, un poids énorme la quitte, comme un soulagement, elle ouvre le tiroir de son meuble et elle prend une boîte de chocolat, elle en a besoin, au bout d’un moment où elle retrouve le calme.
Le sommeil l’appelle, juste avant elle ferme bien les portes de l’appartement comme elle est seule, ses colocataires son partie dans leurs familles.
Le lendemain, lorsqu’elle ouvre les yeux, elle est très surprise de se rendre compte qu’elle a très bien dormi, pas loin de 10 h 30, chose assez rare chez elle, dormir aussi longtemps.
Elle tourne la tête au moment où son phone sonne, elle regarde avec un peu de peur, ouf, ce n’est que sa mère qui l’appelle pour avoir des nouvelles.
Giulia préférait répondre sinon, elle risque de voir sa mère arrivée dans le quart d’heure qui suit, pour l’instant elle n’ose pas dire à sa mère que tout est fini avec Stéphan, elles se promettent d’aller faire les boutiques et manger au resto entre filles.
Une fois finie, elle saute sous la douche, en sortant toute nue, elle se regarde dans le miroir de la chambre.
Giulia : il a raison, mes seins son trop gros, on dirait une vache qui a les mamelles de pleine, et mon cul aussi (quelques secondes après) PUTAIN non, il a tort, je suis maigre par contre, qui voudrait de ça… Ben … Oui… Mais… aller ma pauvre fille, arrêt de t’imaginer des choses, tes pas capables de lui dire que tu as perdu son bébé et tu imagines des choses… Idiote.
Elle ouvre son armoire pour s’habiller, puis elle sort pour aller prendre un petit-déjeuner en écoutant de la musique, cela fait longtemps qu’elle n’a plus écoutés, croissant, pain au chocolat, et chocolat chaud.
Elle finit sa boisson à la fenêtre, elle regarde les gens passent, ses souvenirs reviennent à la surface.
Ses caresses, sa langue, ses lèvres.
Giulia : sa queue (elle rigole.) t’es pas saur table ma fille sérieux.
Elle finit son choco tranquillement en écoutant la télé.
Une fois finie, elle remarque que son colocataire a une nouvelle fois oublié de sortir la poubelle, pourtant cela n’est pas très compliqué, elle prend une photo pour lui envoyer et bien sûr, il ne répond pas.
Elle prend la poubelle pour le faire elle-même, car il revient quand dans deux semaines, elle n’ose pas imaginer la puanteur.
Une fois remonter et la porte fermée.
Giulia : fait chier sérieux... En plus, je parle toute seule...
Elle s’installe dans le canapé, lorsque son phone, elle regarde, Lily.
Lily : ouais meuf.
Giulia : ouais.
Lily : bien ou bien ? Ta plus la tête dans les chiottes ?
Giulia : non, ça va t’inquiète.
Lily : tant mieux, j’ai eu peur l’autre jour, je me suis dit merde, elle sait buter
Giulia : ne t’inquiète pas, là, ça va un peu mieux.
Lily : bon, tu fais quoi ce soir ?
Giulia : télé.
Lily : t'es sérieuse ? Aller, je viens te chercher, on va aller à un soirée le Florence
Giulia : ok, mais pas longtemps, je n’ai pas trop envie de voir du monde.
Lily : promis ma sœur.
Giulia : tu passes dans combien de temps ?
Lily : le temps de finir de me faire lécher est, j’arrive.
Giulia : t’es sérieuse ?
À suivre.
Annotations
Versions