En secret 3/4 :

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Le lendemain matin, elle est réveillée par le réveil, elle fait un bon hors du lit, elle n’a presque pas dormi.

Elle n’a pas arrêté de penser, peur, pleurée plusieurs fois, elle sait ce qu’elle veut, une fois le café fini.

Giulia : il vit ou déjà ? Putain qu’est-ce que je suis conne sérieux… (Elle réfléchit.) la voiture de père, ben oui, le GPS

Elle cherche ses clés, depuis qu’elle a le permis, elle ne prend presque pas le volant, car disons qu’elle a encore du mal sur certains trucs à comprendre, mais d’après l’auto-école, elle va réussir dans le temps, 6 mois avec le permis en poche, utilisation de la voiture une fois, de la maison de ses parents jusqu’à son appartement.

Lorsqu’elle arrive, le portail est fermé, aucun souci elle a gardé les clés de la maison en quelques instants elle est rentrée la maison est vide... Enfin presque le chien de la maison monte la garde.

Direction le bureau de son père pour prendre les clés de la Mercedes et le GPS, il faut quelques minutes pour trouver l’adresse de parents d’Arnaud.

Elle n’a pas de crayon pour noter l’adresse, alors solution, une photo, elle a juste le temps de prendre lorsqu’elle entend.

Enrique : Carmen mon arme, il y a un visiteur, ferme la porte et prépare le sac pour mettre le corps.

Elle sort le plus vite de la voiture, elle fonce ranger les clés, et elle attend dans la cuisine.

Son père entre avec son arme.

Enrique : oh, putain, ma princesse, Carmen RAS, c’est notre princesse.

Carmen : AAAAAAH ma fille.

Cela ne devait pas durer cinq minutes le temps de prendre les clés sauf que cela dure plus de 5 h.

Carmen : princesse (Giulia se retourne.) Ce soir, il y a une soirée chez ton frère, toute la famille sera là, j’espère que tu pourras passer, surtout qu’ils ont aidé Arnaud à déménager, plus rien ne va avec son père.

Enrique : laisse un peu tes cours, pour la famille.

Le cerveau de Giulia était en éruption, elle fait semblant de réfléchir.

Giulia : bon d’accord, mais pas longtemps.

Carmen : excellents, ils seront contents de te voir.

Giulia : oui moi aussi, et pourquoi l’autre con à déménager ? Je suis curieuse.

Enrique : son père et lui, on eut une nouvelle dispute au sujet de la Gendarmerie, comme il n’a pas voulu l'écoute, son père a voulu le frapper, Arnaud, sauf que je crois qu’il a oublié que son fils est plus grand que lui et qu’il a pratiqué des sports de combat, donc son père était au tapis en deux secondes.

Giulia : sérieux ?

Enrique : oui, je connais son père depuis des années, mais certaines fois, il est vraiment con, pourquoi il ne peut pas accepter que son seul fils fasse autre chose.

Giulia : pas cool, bon, c’est ou et à quelle heure ?

Carmen : tiens voilà l’adresse.

Giulia : Putain pas mal le coin.

Carmen : science Po ta belle-sœur

Giulia : ouais... il faut être à quelle heure ?

Enrique : il faudra que tu partes tôt ou bien, on peut venir te chercher.

Giulia : j’ai la voiture.

Enrique : mon dieu, bon, je pense qu’on va rester à la maison.

Giulia : ouais marrant, école du cirque.

Les trois rigoles.

Elle rentre à son appartement, elle a le temps, pas pressé, elle se fait double par une mamie, elle ose même lui fait une remarque, en réponse Giulia lui fait un doigt d’honneur.

Lorsqu’elle rentre, chez elle, Giulia réfléchie à un plan, elle doit trouver pour avoir l’adresse, mais il faut que cela vienne d’eux, elle ne peut pas leur dire directement, tu peux me donner l’adresse d’Arnaud.

Une fois chez sa belle-sœur et son frère, la soirée se passe bien, Enrique la taquine, la soirée se passe bien jusqu’au moment, ou Giulia vois Morgane (belle-sœur) qui disparaît dans la cuisine.

Giulia poussa la porte de la cuisine.

Giulia : coucou toi (sourire)

Morgane (sourire) : oh tiens miss.

Giulia : est-ce que tu aurais besoin d’aide ?

Morgane : sérieux ?

Giulia : ouais, j’ai envie d’aider pour une fois.

Morgane : ouais pas faux, aller, j’en profite (sourire).

Giulia : ça ne va pas trop fatiguer ?

Morgane : un peu mal au dos.

Giulia : ah merde, qu’est ce qui t'es arrivées ?

Morgane : hier, toute la journée, nous avons aidé au déménagement du frérot.

Giulia : ah d’accord

Morgane : je sais qu’entre vous, le courant ne passe pas du tout, mais tu sais, si tu lui laisserais une chance, il pourrait te surprendre.

Giulia : mwais …

Morgane : oui Giulia, tu peux me croire .

Giulia : ouais... je te crois…

Morgane (rire) : oui, tu dis ça pour que je ne te fasse pas trop chier, je te connais.

Giulia : mais y a un truc que je ne comprends pas, monsieur Arnaud qui est fort comme tous, pourquoi il a besoin d’aide, est-ce que moi, j’ai demandé à tout le monde de venir ? Je ne crois pas.

Morgane : oui, mais il fallait qu’il parte vite de la maison et il avait beaucoup à monter jusqu’à l’appartement.

Giulia : en plus, vous avez dû monter ses affaires, il ne sait vraiment pas faire grand-chose.

Morgane : monter aux 2 étages sans ascenseurs, pas faciles croit mal.

Giulia : je te crois, il a au moins un garage ?

Morgane : ben, pour le moment, non, il a raté son permis.

Giulia : bien fait pour sa gueule (Elle est triste d’apprendre ça.)

Morgane : mais il a une putain de vue...

Ils continuent à parler quelques minutes...

Puis Giulia, conduit la nourriture sur la table.

En sortant de la cuisine, la porte se ferme.

Giulia : pfff, Science Po, et elle n’a rien compris.

Le reste de la soirée se passa très bien, vers 22 h 15 Giulia, remercie tout le monde, elle prit congé.

Lorsqu’elle arrive chez elle, deux de ses colocataires son la, une discussion et après bonne nuit

Sauf que lorsqu’elle arrive dans sa chambre, elle allume le pc et direction Google Maps en un instant elle a l’adresse.

Giulia : hmmm, pas exceptionnel, mais avec quelques trucs sur le balcon, cela pourrait être accueillant, bon aller dodo car demain de la route… une heure.

La nuit n’as pas été facile, quelques cauchemars et quelques terreurs nocturne, a sept heures lorsque le réveil sonna, elle a la tête dans le cul.

Giulia : aller ma vieille, une bonne douche et un p’tit dej, merde je vais mettre quoi ? Putain.

Elle ouvre ses armoires, elle passe un long moment pour enfin choisir, un jean, un pull et baskets et sous vêtement… normal.

Une fois, la douche et les vêtements d’enfiler, direction la cuisine, ses colocataires dorme encore, mais ensemble depuis le temps qu’ils se tournent autour.

Elle fait le moins de bruit possible pour sortir, elle a laissé du bon café pour leur réveil, arrive dans la voiture, elle fut prise d’une légère terreur.

Giulia : est-ce que je dois vraiment y aller ?

Elle sait trop poser de question, elle devait avoir des réponses à ses doutes avant qu’il ne soit trop tard.

Arrivée devant l’immeuble, elle trouva une place assez facilement, après quelques essais elle réussit à se garer, une victoire pour Giulia.

Giulia : est-ce que je fais bien d’être ici ? À quoi je pense en venant ici ? Il va ouvrir la porte oh tiens Giulia vient ici… idiote (dit elle en tournant la clé pour démarrer la voiture) il a dû déjà en trouver une autre.

À cet instant, elle leve la tête, il passe sur le trottoir d’en face avec des affaires en main, il a été faire des courses.

Giulia : aller ma vieille profite en (Le temps qu’elle prend son sac, portable, la porte du portail est déjà fermé) PUTAIN FAIT CHIER et je fais comme moi, putain.

Elle se décida a sortir pour venir voir de plus prêt, au même instant, la porte souffre son cœur s’arrête, elle voit un ouvrier.

Ouvrier : vous êtes locataire.

Giulia : oui (sourire).

Ouvrier : je vous tiens la porte.

Giulia : merci bien.

La petite cour intérieure est en travaux, elle en profite pour entrée, en regardant les boîtes aux lettres, second étage.

A chaque marche de franchi son cœur bas a la chamade, on dirait qu’il est sur le point de sortir de sa poitrine, une fois devant la porte elle se demande si elle fait bien d’être ici, elle n’aurait pas du.

Giulia : putain que je suis conne.

Elle prend une grande respiration et elle sonne, une excellente odeur de nourriture lui arrive a son nez, elle regarde l’heure midi.

Giulia : putain, en plus, tu vas le déranger pendant le repas.

Elle est sur le point de rebrousser chemin, lorsqu’elle entend.

Arnaud : oui, j’arrive, deux secondes.

À suivre.

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