Surprise 1/5 :
Jusque chez elle
Son cerveau pense, et que depuis ou elle a rompu elle se sent mieux dans sa peau, elle sait très bien qu’il lui restait encore un très long chemin avant de vraiment dire qu’elle est sortie d’affaire.
Elle revient à elle, non loin de chez elle.
Il y a plein de voitures de police, qui barre la route, un policier oblige les gens a faire demi-tour.
Arrivée devant le policier.
Policier : vous devez faire demi-tour mademoiselles.
Giulia : euh, je vis ici.
Policier : ah euh, je me renseigne, veuillez patienter.
Giulia : il y a quoi ?
Elle a peur que son ex soit venue faire une connerie.
Policier : une jeune femme a disparu, on la recherche.
Giulia : oooh, comment s’appelle t elle ?
Policier (il regarde un papier.) : Giulia G.
Giulia : euuuh (elle arrête son moteur.) je n’ai pas disparu, c’est quoi ça encore.
Policier : vous êtes Giulia G .
Giulia : oui, vous voulez vous ma carte d’identité ?
Elle sort de la voiture.
A même moment, sa mère sort de l’immeuble.
Carmen : GIULIIAAAAAA, mais ou été tu ?
Giulia : bonjour maman, chez un ami, j’avais besoin de parler.
Enrique : aaah te voilà, ou était tu ?
Carmen : chez un ami.
Policier : madame, monsieur, puis je parler à votre fille ?
Carmen : oui, mais pas longtemps
Policier : madame pour la centime fois, je vous demande de me laisser faire mon métier.
Carmen : ben faite le au lieu de parler.
Policier : mademoiselle G, puis je vous parlez ?
Giulia : euh oui, qu’est-ce que j’ai fait ?
Policier : je voudrais connaître votre emploi du temps de mercredi après-midi.
Giulia : euuuh, je suis parti mercredi matin voir un ami, j’avais besoin de quitter un peu Lille.
Policier : vous avez le numéro de votre ami ?
Giulia : il se passe quoi ?
Policier : je pose les questions, vous répondez, ou sinon nous pouvons régler cela au commissariat.
Giulia : vous êtes en train de m’accuser de quelque chose donc pour me défendre, je veux savoir ce qu’on me reproche
Elle regarde sa voiture, des policiers en fond le tours
Giulia : bon soit que vous me dites ce que vous me rapproche ou sinon je ne dis plus rien et j’appelle l’avocat de la famille.
Policier : vous avez été arrêté plusieurs fois, pour alcoolisme sur la voie publique.
Giulia : il y a un an, et depuis plus rien, alors on me reproche quoi ?
Policier : vous êtes comme votre mère... aussi chiante.
Giulia : merci du compliment donc.
Policier : vous connaissez monsieur Stéphan M.
Giulia : mon ex
Un policier arrive vers l’autre.
Policier : on a fait le tour de la voiture, il y a rien.
Giulia : rien quoi ? Il sait passer quelque chose avec Stéphan ?
Policier : monsieur M. a était renversée par une voiture.
Giulia : merde, comment il va ?
Policier : il est entre la vie est la mort à l’hôpital, on ne sait pas s’il va s’en sortir, on nous a dit que vous étiez en froid avec lui ?
Giulia : je présume que ce sont ses amies qui vous ont dit ça, alors je ne vais pas vous dire, que nous sommes restées en bon contacte, Stéphan est le pire mec qui peut excite.
Policier : ok bon pour finir et vous retire de la liste, je voudrais parler avec votre ami
Giulia : ok, je l’appelle.
Policier : non, vous me donnez son numéro et je l’appel, vous restez ici et vous attendez.
Giulia : vive la politesse, voilà son numéro, oh pendant que j’y pense, mon ami est le fils d’un membre de l’état-major de la Gendarmerie... bonne chance...
Cinq minutes après, il revient
Policier : d’accord monsieur, merci, bonne journée à vous (il raccroche.) bon, vous êtes plus suspecte et il n'y a rien sur votre voiture, excuse-moi mademoiselle.
Giulia : d’accord, ses amies ont dit que c’était moi ?
Policier : des témoins ont dit que vous étiez en froid contre lui, mais il n'y a rien contre vous et vous avez un sacre ami, aller, on vous laisse tranquille.
Carmen : VOUS ALLEZ LAISSER MA FILLE TRANQUILLE.
Policier : votre mère est toujours comme ça ?
Giulia : non là ça va, elle est de bon poil-là
Policier ; ah ouais, au revoir mademoiselle.
Giulia : bonne chance pour trouver la personne.
Une fois la police de parti, elle rentre avec ses parents, ses colocataires, on était interrogé, ils avaient peur qu’elle l’aurait tué puis qu’elle aurait mis fin à sa vie.
Le reste de la journée fut beaucoup plus calme, les parents de Giulia rentre chez eux, et elle passa une soirée tranquille, avec quelques sms a Arnaud.
Et ce fut comme ça pendant deux mois.
En sortant d’un des cours, une de ses amies Jade l’interpelle.
Jade : Giulia, ne prends pas mal mes paroles, mais je ne sais pas, on dirait qu’il y a un truc chez toi.
Giulia : un truc ?
Jade : ouais, avant, tu tires toujours la gueule (les autres de son groupe s’écartent lorsqu’ils entendent dire ça.) tu as le sourire, et t'es toujours sur le portable.
Giulia (sourire) : tu préfère que je tire la gueule et que je gueule sur tout le monde ?
Jade : oh la, mais je voudrais juste savoir
Giulia : ben disons que ma vie change enfin, je vois la lumière au bout du tunnel
Jade s’arrête dans le couloir
Jade : t'a un mec ??? Je suis certaine que sais le beau Yannis, il paraît qu’il a une grosse queue d’ailleurs hmmm
Giulia (elle rigole) : Jade, je n’ai personnes dans ma vie.
Jade : alors pourquoi t'es toujours sur ton phone et tu rigoles ou rougis lorsque tu reçois un SMS
Giulia : c’est ma mère, oh tiens Yannis, il paraît que tu as une grosse queue d’après Jade, elle est intéressée.
Jade : quoi ? Moi ? Non, ce n’est pas est ce que tu crois Yannis.
Elle laissa Jade toute seule dans le bâtiment, fallait bien que Giulia trouve une solution pour qu’elle arrêté de pose des questions, surtout quelle bonne les bonnes…
Elle sort son phone.
Arnaud : bonjour Giulia (sourire dans la voix)
Giulia : coucou Arnaud, comment vas-tu ? Des nouvelles ?
Arnaud : ben, j’attends des nouvelles, ma monitrice doit m’envoyer un message pour me dire quoi, je stresse putain.
Giulia : mais non ne t’en fais pas, et même si tu ne l’as pas, tu l’auras la prochaine fois, on se rappelle lorsque tu as des nouvelles, j’ai fini les cours.
Arnaud : ok, on fait comme ça, bisous.
Giulia : gros bisous.
Pendant ce temps, elle prend le métro, pour aller faire quelques boutiques, elle voudrait une nouvelle paire de chaussures qui pourrait aller avec son p’tit sac blanc.
Une fois trouver les chaussures elle sort, son phone sonne.
Giulia : oui Arnaud
Arnaud : je l’ai ce putain de merde, enfin.
Giulia : aaaah excellente nouvelle, je suis fière de toi Arnaud
Arnaud : merci de ta confiance et d’avoir été présente pour moi.
Giulia : pas besoin de dire merci, dit, j’avais une question à te poser
Arnaud : oui ?
À suivre.
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