Arnaud : ou il n'y a pas trop de monde (Elle le regarde avec le sourire, il rougit.), je n’aime pas entendre les gens discuter pendant un film, un jour, j’aurai ma propre salle de projection chez moi, je pourrais être tranquille à la maison. (sourire)

Giulia : je te comprends, on pourrait aller là, il y a personne.

Arnaud : après toi.

Ils s’installent du mieux, qu’ils peuvent, quelques minutes après le film se lance, Arnaud tourne la tête vers Giulia, elle est déjà dans le film, alors qu’il vient juste de commencer.

Ils n'ont pas vu le temps passé, il n'a pas eu de bruit, une séance bien tranquille, comme ils aiment, ils prennent les temps de sortir, ils en discutent.

Giulia : maintenant, je propose, un excellent mcdo.

Arnaud : avec plaisir (sourire).

Ils retournent sur la place, une fois arrivée.

Giulia : merde, il y a du monde.

Arnaud : tu préfères qu’on aille ailleurs ?

Giulia : mwais, non, on va attendre un peu, il y a toujours du monde ici, il doit bien marcher.

Arnaud : comme tous les mcdo.

Ils rigolent, ils entrent, Giulia passe en premier, Arnaud est derrière.

Un employé : mesdames, messieurs, il faut vous serrez un peu, pour laisser sortir les personnes, merci.

Arnaud est poussé contre Giulia.

Arnaud : pardon.

Giulia (rougie) : tu n’as pas a t’excuse.

Ils étaient tellement collés, qu’a un moment, Giulia sentie, un court instant une bosse au niveau de ses fesses, elle se demande si elle a vraiment senti le pénis d’Arnaud, ou elle a rêver…

Une fois leurs tours et la commande passée, ils montent dans les étages, lorsqu’ils arrivent, au même instant un couple quitte la place, ils en profitent pour prendre leurs places.

Giulia : un vrai parcours du combattant ici, horrible.

Arnaud : ne râle pas (sourire), nous avons à manger et une place en fenêtre.

Giulia : ouais pas faux (sourire) aller, on mange, j’ai faim, bon app Arnaud.

Arnaud : bon app Giulia et merci pour aujourd’hui.

Giulia : de rien Arnaud, tu as tellement fait pour moi, que je voulais te rendre l’appareil, tu m’as ouvert les yeux, tout le monde à voulu me faire comprendre, mais je ne voulais pas voir, toi, tu as réussi, car tu es comme moi, tu as beaucoup souffert dans la vie, je pense que je voulais écouter une personne qui a été autant dans la merde que moi...

Arnaud : nous n'avons pas de chance.

Ils rigolent, le repas se passe très bien, 1 h 30 après ils sont finis, il est déjà l’heure qu’Arnaud rentre par le dernier train, ils retournent doucement vers la gare, en traînant un peu les pieds, lorsqu’ils ont le bâtiment en vue, Giulia à le cœur lourd, elle n’a pas envie que la journée s’arrête.

Giulia : ton train est annoncé ?

Arnaud : ouais...

L'instant qui suit, le quai est annonce pour le train

Giulia : je vais te reconduire jusqu’à la porte.

Arnaud : ne t’en fais pas Giulia, il fait noir, je voudrais que tu rentres, on ne sait jamais.

Giulia : ne t’en fais pas, j’ai la lacrymo (sourire).

Ils rigolent un instant, un fois devant le quai, ils se disent au revoir, et un gros câlin.

Arnaud : merci pour cette journée, on reste en contact de toute manière.

Giulia : oui, obliger, rentre bien.

Elle prend le chemin pour quitter la gare, lorsqu’elle sent comme des papillons dans le ventre, elle n’a pas envie de rentrée...

Elle s’arrête et réfléchit.

Giulia (elle se retourne.) eh, puis merde.

Elle court dans sa direction, il arrive pas loin de la porte du train.

Giulia : ARNAUUUD !!!!!!

Il s’arrête, et se retourne, Giulia court vers lui, elle lui saute dans les bras, elle l’embrasse, Arnaud ouvre la bouche et leurs langues se retrouve enfin, il passe les mains dans son dos, pour la caresse jusqu’à la naissance de ses fesses, il la soulève du sol, ils s’embrassent devant tout le monde qui les regardes, certaines personnes applaudissent.

Giulia sent l’érection contre son elle, un frisson lui traverse le corps, elle a envie de lui, leurs lèvres se sépare.

Arnaud : je... je suis...

Giulia (rougie et avec le sourire) : ne soit pas désolé, j’aime bien ce que je sens.

Ils s’embrassent une nouvelle fois.

Giulia le quitte pour faire quelque pas vers la sortie, elle se retourne elle lui tant la main, elle ne peut pas s’empêcher de regarder le jean d’Arnaud et la grosse bosse qui se dessine dessus.

Giulia (rougie) : tu veux venir ?

Arnaud (rouge) : tu penses que c’est une bonne chose ?

Elle revient vers lui, elle l’embrasse, elle se colle, elle se glisse a l’oreille pour lui chuchoter.

Giulia : j’ai envie toi Arnaud, depuis des jours (elle lui touche le sexe sur son jean, personne ne peut le voir.) et j’ai l’appartement pour le week-end.

Arnaud : oui.

Elle lui prend la main, ils quittent la gare main dans la main.

Ils marchent assez vite, comme si, qu’ils ont peur que la fin du monde puisse arriver dans quelques instants.

Plusieurs fois sur le chemin, ils sont du s’arrêtent pour qu’Arnaud puisse remettre son sexe en place, ce qui fit rigoler Giulia plusieurs fois.

En à peine 15 minutes, ils arrivent à l’appartement.

Ils prennent l’ascenseur, il y a aucune parole entre les deux, ils regardent les étages passés, les portes s’ouvrent, ils vont vers la porte de l’appartement, Giulia cherche ses clés, elle ouvre, ils entrent toujours sans faire le moindre bruit.

Elle laisse passer Arnaud, elle referme la porte à clé.

Arnaud : nous ne sommes pas obligés, Giulia.

Giulia : je sais ce que j’ai envie, et ce que j’ai envie ici et maintenant, c’est toi, Arnaud et je sais que tu as aussi envie de moi.

Son sac tombe sur le sol de l’entrée, elle arrive vers lui comme une panthère qui arrive ça pour son futur repas, Arnaud ne la quitte pas du regard, Giulia a du mal à se reconnaître, elle essaie de se calmer, mais elle n’arrive pas, son corps est en feu, elle a envie de lui, comme elle n’as jamais eu envie de personne dans sa vie.

Ils s’embrassent, elle colle sa grosse poitrine contre le torse de l’homme qui va lui faire l’amour, qu’elle a envie plus que tout, elle est de plus en plus excitée.

Giulia sent le sexe d’Arnaud grossir de plus en plus, elle se demande si elle arrivera à lui donner de plaisir, car elle a un peu peur.

Elle arrête de l’embrasser l’air gênée.

Arnaud : tu veux qu’on arrêt ?(sourire)

Giulia : oh non Arnaud, je n’ai pas l’habitude, je n’ai pas eu beaucoup d’hommes dans la vie.

Arnaud (sourire) : ne soit pas gênée, belle Giulia, tout ira bien, et si un moment, tu veux arrêter, dis le simplement.

Giulia : Arnaud, tes un amour.

Elle rougit.

Arnaud : je pense chaque mot.

Giulia : oui, je sais… Sache qu’il y a des choses que je ne sais pas faire.

Arnaud : ma belle ne te met pas la pression, nous ne sommes pas des acteurs pornos.

Elle regarde le sexe bande d’Arnaud.

Giulia : enfin moi (elle rigole, Giulia remarque qu’il est mal à l'aise.) Arnaud, ton plus grand défaut est que tu n’acceptes pas les compliments, ton sexe est énorme et je n’ai pas peur.

Il la regarde dans les yeux.

Arnaud : vraiment ?

Giulia : oui, et la preuve, j’ai envie de toi.

Elle ouvre le jeans, elle ne le quitte pas du regard, c’est la première fois de sa vie qu’elle a vraiment envie de le faire, de sucer.

Un bouton puis un autre, ils ne lui résistent pas.

Giulia se place a genoux devant lui, Arnaud dégluti.

Arnaud : tes pas obligés.

Giulia (sourire) : chute.

Elle descend le jeans, il glisse jusqu’à ses chevilles, il laisse apparaître un boxer noir tendu à l’extrême, une énorme masse se dessine dessus.

Elle fait glisser le tissu, son sexe sort comme un ressort.

Giulia : mon dieu, qu’elle est belle (il rougit.) Accepte les compliments belle grosse queue, longue, grosse et un gland énorme… Magnifique.

Elle n’en peut plus, elle prend l’objet de ses désirs des deux mains, elle le branle du mieux qu’elle peux, elle le lèche doucement le contact de la langue fait gémir Arnaud, Giulia a le sourire.

Elle ouvre plus grand pour essayer de faire passer le gland, elle commence à le sucer, sa tête bouge d’avant en arrière, jusqu’au moment où elle sent le sexe moins dure.

Giulia : j’ai fait quelque chose de mal ? (gêner)

À suivre.