Arnaud (sourire) non ma belle, tes lèvres son magnifique, mais si tu veux, tu peux utiliser la langue, caresse mes bourses, en douceur et quelques fois me regarde dans les yeux.

Giulia : oui.

Elle reprend suivant les conseils d’Arnaud.

En un instant, le sexe revient a sa taille, elle lui lèche la verge, le gland, elle caresse délicatement ses couilles, il gémit sous ses caresses, elle ose même venir lui lèche les couilles.

Arnaud : Giulia, c’est le pied, je te jure, ne t’arrête pas s’il te plaît.

Ses paroles la motivent, il lui caresse les cheveux, il n’en revient pas qu’une aussi belle femme lui fait une fellation, alors oui, elle n’a pas l’habitude, mais pour une première fois, elle est douée, plus que certaine qui croient qu’elles sont des reines de la pipe.

Il ferme les yeux, il n’ose pas la regarder, il a peur de jouir juste en croisant son regardant, elle fait glisse le pénis, en douceur, elle profite de chaque centimètre.

Elle donne quelques coups de langue sur le gland, elle lui lèche les couilles, il gémit.

Arnaud : si tu continues, je ne vais pas pouvoir résister, Giulia.

Giulia : d’accord... donne-moi ton sperme Arnaud.

Arnaud : noooon

Elle le branle plus vite.

Giulia : donne-moi ton... sperme.

Arnaud : hmmmm, reculeeeee.

Elle regarde le corps d’Arnaud se contracter, son sexe grossi encore, elle voit le sexe qui se contracte.

Giulia : AAAAAAAHHHHHHH.

Neuf jets de sperme sortent de sa grosse queue, les premiers atterrissent sur le visage de Giulia, elle fut surprise, elle tomba sur le sol, elle regarde autour d’elle, il y a du sperme sur elle, sur le sol.

Lorsqu’il revient à lui, Arnaud à honte de ce qu’il vient de faire.

Giulia : ah ouais.

Arnaud : je me rhabille et le monstre disparaît.

Giulia se lève pour lui attraper la main.

Giulia : tu n’es pas un monstre, tes exceptionnelles Arnaud, tu éjacules tellement, je trouve ça tellement beau, et puissant, et d’après ce que je vois, t'es encore en forme.

Elle lui touche la queue.

Elle prend un torchon pour retirer le sperme de son visage.

Arnaud (rouge de honte) je suis désolée, Giulia.

Giulia : il parait que sait bon pour le visage, (elle rigole.), je suis aussi un monstre (il la regarde.) j’ai aimé te voir me jouir dessus, tu n’imagines pas l’effet que tu peux me faire, j’ai envie toi Arnaud, prend moi.

Ils se regardent dans les yeux, elle lui prend la main, ils vont dans la chambre, ils s’embrassent, Arnaud, lui retire sa chemise pleine de son jus, il frôle plusieurs fois ses gros seins, ils continuent de s’embrasser.

Une fois, le dernier bouton retire, la chemise tombe sur le sol de la chambre, elle est en soutien-gorge devant lui.

Arnaud : une déesse.

Elle rougit, elle n’a pas l’habitude qu’on lui dise ça.

Elle retire le tissu sa grosse poitrine.

Arnaud ne sait plus les quitter du regard.

Giulia : je suis un monstre.

Il se colle à elle

Arnaud : t'es unes déesses Giulia, ta poitrine est une beauté.

Il l’embrasse, il quitte la bouche pour lui lécher le cou, il faire des bisous, lui venir mordiller l’oreille, elle gémit, il descend vers cette poitrine qui l’excite tant, il embrasse simultanément le sein droit puis le gauche.

Giulia : hmmmm, mon dieu que sait bon, ne t’arrête pas.

Pendant qu’il suce le gauche, il masse et pince le doit, ses tétons pointent comme jamais.

Il délaisse pour l’instant cette poitrine divine, pour descendre plus bas, à son tour, il retire les boutons du jean, en un rien de temps, il glisse sur la peau de la belle Italienne.

Pour laisse apparaitre un beau string rouge.

Il lui embrasse les cuisses, il remonte jusque sur le tissu, il est mouillé, il la lèche.

Giulia : tu me rends folle.

Elle monte sur le lit, elle retire son string, Arnaud, ne loupe rien, il enregistre tout, comme si que cela n’est qu’un rêve et qu’il pourrait se finir à chaque instant.

Giulia s’allonge sur le dos, les jambes écartent, elle le regarde dans les yeux, elle ouvre le meuble qui est juste à côté du lit, pour sortir les boites de capote, elle en prend une, elle regarde son amant dans les yeux.

Giulia : fait moi l’amour, ici et maintenant

Elle lui passe la capote, en quelques secondes, elle est sur le pénis d’Arnaud, il s’apprête à venir lui faire un cunni, lorsqu’elle dit.

Giulia : Arnaud, ta bouche, ta langue sont divine (elle rougit.) mais là, je veux autre chose.

Il se redresse, il se place entre ses cuisses, il l’embrasse.

Giulia : je veux ta queue.

Lorsqu’elle lui dit ça, son pénis entre doucement.

Arnaud : hmmmm.

Giulia : MON DIEUUUUU.

Il s’arrête un instant, alors qu’il n'y a que le gland est entré, il regarde Giulia, elle l’embrasse comme pour lui faire comprendre vas y.

Il la pénètre doucement, il ne veut pas aller trop vite.

Giulia : vas-y Arnaud, prend moi comme les autres nanas.

Il s’arrête et la regarde.

Arnaud : non, je ne vais pas te faire comme les autres, je veux te faire l’amour, comme je ne l’ai jamais fait à aucune autre.

Ils s’embrassent une nouvelle fois, leurs langues dance, son pénis entre millimètres par millimètre dans cette chatte qui est très serré.

Giulia : PUTAIN TES ÉNORME, j’adoreeeee.

Il s’arrête lorsque le gland touche l’utérus, il s’arrête, ils s’embrassent.

Giulia : je peux être dessus ? (Elle rougit).

Arnaud : avec plaisir ma belle.

Il se retire lentement, puis s’allonge sur le dos.

Giulia : une queue magnifique.

Elle monte sur lui, prend son pénis pour l’entre dans la gratte de l’amour.

Arnaud : trop bon (il ferme les yeux).

Giulia : ooooh oui

Le gland entre pour finir au fond, ses jambes sont de chaque côté de son amant, qu’il caresse tendrement, après un instant Giulia bouge lentement de bas en haut, une fois qu’elle est un peu plus habituée ses mouvements s’accélère.

Elle se redresse, Arnaud caresse ses seins, les pinces, elle gémit, elle tombe sur lui, il lèche ses seins.

Les mouvements sont plus rapides et profonds.

Giulia : PUTAIN, TA GROSSE BITE... MON DIEU... TU M’OUVRES EN DEUX.

Sa tête tombe en arrière, il lui pince les tétons qui pointent fièrement

Giulia : putain, elle grossit encore, ce n'est pas possible

Il la colle contre son torse, les mouvements que Giulia sont très fort, son pénis disparaît dans la chatte dégoulinante de cyprine.

Elle se redresse, ses yeux sont révulsé, Arnaud lui titille le clito.

Giulia (tête en arriére) : MON DIEUUUUUUUUUUUUU

Son corps tremble dans tous les sens, son souffle est coupé, elle tombe sur Arnaud.

Une fois l’orgasme calme, elle reprend les mouvements, cette fois elle regarde Arnaud dans les yeux, son regard a changer, on peut lire le désir qu’elle a pour cet homme.

Après de longues minutes, intenses.

Arnaud : je vais jouir…

Giulia : moi aussiiii.

Arnaud à les yeux qui se révulse à son tour, son torse se contracte, il attrape les fesses de Giulia qui serre

Arnaud : GIULIAAAAAAAAAAAAAAAA.

Giulia : OUIII OUIIIIIII DONNE TOUS.

Au même instant, leurs corps sont a l’unisson, Giulia tombe en arrière sur le lit, tellement que l’orgasme est fort, ils tremblent de tous leur corps.

Du sperme sort de la capote pour descendre le long de ses couilles.

Il leur faut de longues minutes pour revenir à leurs états normaux et encore à un peu de temps pour reprendre leurs respirations.

Giulia va dans les bras de son Arnaud.

Giulia : merci (elle l’embrasse.) c’était... Je n’ai pas de mot pour décrire tout ce que j’ai ressenti.

Arnaud : même chose Giulia, mille mercis

Ils s’embrassent puis ils sont le temps de mettre le drap et la couette qu’ils s’endorment l’un contre l’autre...

Plusieurs fois, dans la nuit Giulia se réveillèrent pour constater qu’elle n’a pas rêvé, elle va juste à prendre le sexe de son amant en bouche, juste pour voir que cela est bel et bien la réalité.

Elle retourne vite dans un bon sommeil, le reste de la nuit fut tranquille.

À suivre.