1928, Kentucky, une horrible maladie connue sous le nom de peste blanche fait des milliers de morts. Un sanatorium monstrueux a été construit pour isoler et accueillir des expériences bizarres en désespoir de cause pour trouver un remède. 2023 le bâtiment est en cours de rénovation racheté par une grande entreprise. Durant les travaux il faut garder le bâtiment, Barney veilleur de nuit se propose pour garder l'édifice aux allures sinistre. Ne connaissant pas l'histoire sordide du sanatorium, Barney va découvrir toute l'horreur que renferme de Waverly Hills.

Marie Lefèvre est une détective privée de 36 ans célibataire mère d'une fille de 17 ans. Elle est atteinte de synesthésie, elle est appelée par un père de famille Paul suite à la disparition de sa femme Judith qui semble être rattrapée par son lourd passé.
Dans le même quartier ou vit Judith, une jeune lycéenne se suicide en direct sur Tik Tok la police tente de savoir ce qu'il en est.
deux affaire, un quartier, coïncidence?

MANUSCRIT EN ECRITURE. J'ESPERE AVOIR VOS CONSEILS? AVIS =)
BONNE LECTURE

Tournoie, tournoie astre de lumière Mon visage est fait d’éther, de poudre d’astres Je fuse, véloce vers tes infinis Tu engloutis tout et tu me rends plus fort

Espace détente =)

Elle s'était préparée des heures durant, cela faisait des années qu'ils étaient séparés. La guerre finie, elle pouvait enfin le retrouver et vivre une vie heureuse. Les passants filaient vers leur avenir tandis que le sien devenait de plus en plus incertain. Des militaires passaient devant elle, mais jamais son William adoré. Un officier s'avança, lui tendit une lettre sans état d'âme et tourna les talons. Cette lettre disait : Je t'aime mon amour, ne m'attends pas, adieu ! William

Boudiou que c'est écrit petit ! Maudit soit le scribe qui m'a enluminé ce papelard ! C'est encore ce con de père Blaise ! Ah ! Les angelots énormes partout, ça ils savent faire, mais écrire normalement pour les vieux comme moi non ! Et ça va faire des années d'étude à la capitale, par Ogimos si je tenais ce saligaud qui à fait ça il se prendrait un sort dans sa mouille.

L'horizon sombre, les nuages lourds d'orage, ils progressaient à vive allure vers le lieu de l'appel Le cœur battant, l'estomac noué, ils savaient vers quoi ils se rendaient. En cette nuit d'été, la tempête avait grondé toute la nuit, rendant le paysage apocalyptique. Spencer n'avait pas dormi deux jours durant, à poursuivre un fantôme, aux mœurs sordides. —Après cette affaire, je décroche, annonça-t-il d’un ton péremptoire

Alix, isolée dans la pénombre de sa cellule, se laissa glisser sur le bord du lit inconfortable. La douleur persistante dans sa cuisse la ramenait à la réalité brutale de sa situation. Sa tête était remplie de questions, mais une en particulier occupait son esprit : qui était derrière tout cela ? Le bruit monotone de la pluie contre la fenêtre grillagée résonnait dans la pièce, ajoutant une couche de mélancolie à l'atmosphère oppressante. La petite lucarne, qui était sa seule connexion avec l'extérieur, laissait filtrer une lumière terne qui accentuait le caractère lugubre des lieux. Alix contempla la caméra de surveillance fixée au-dessus de la porte, témoin silencieux de son confinement forcé. Ses yeux cherchèrent des réponses dans cette pièce minimaliste, mais chaque détail ne faisait qu'accroître le mystère. Soudain, la porte s'ouvrit avec un grincement métallique, faisant sursauter Alix. Un homme encapuchonné fit son entrée, le visage dissimulé dans l'ombre de la capuche. Il s'approcha sans dire un mot, laissant un silence tendu planer dans la pièce. - Bonjour, Alix. Comment vous sentez-vous ? annonça-t-il d'une voix sombre. - Qui êtes-vous ? Pourquoi suis-je ici ? s'enquit Al

La barque, accrochée au ponton couvert d'algues et de mousse, tanguait au gré des vagues, des flots grondants tempêtant sous un ciel d'encre. Un éclair tonitruant m'extirpa de ma stase après un choc à la tête ; la théorie fut confirmée lorsque je passai ma main derrière ma tête. Je sentis alors une bosse et une vive douleur en effleurant l'extrémité de mes doigts encore tremblants. Où suis-je ? Pourquoi ai-je perdu connaissance et comment ? Tant de questions restaient sans réponses. Ma vision trouble se mêlait au bourdonnement qui régnait dans ma tête. Désorienté et déshydraté, je tentais de sortir de la barque, mais mes jambes, encore sous le choc, refusaient d’obéir. Fouillant les tréfonds de ma mémoire, je ne parvenais pas à me rappeler comment je m'étais retrouvé échoué sur ce ponton. Avais-je voulu fuir quelque chose ? me demandais-je en regardant la barque encore attachée. Etais-je arrivé sain et sauf et ensuite m'étais-je évanoui ? Cherchant des indices dans mes poches, je sentis quelque chose de rigide, cartonné, une photo sûrement ? En l'extirpant, je fixais le négatif de ce qui semblait être un monstre gigantesque et tentaculaire émergeant des eaux affolées. Je dois hallu

Gloire abattue, entend mon appel, Tu te dresses, t’élances vers les ténèbres. Ouvre-toi à moi, je réponds à ton message Guide mes pas, possède-moi Je ferai de cette demeure, ma tombe, où je te chérirai. Ouvre-moi et je te donnerai mon cœur.

trouble et difforme tu te dresses, loin de tout loin de moi, Tout est si lointain, aux portes du sépulcre, j'attends.

Jeudi