J'avais tout donnée. J'aurais voulu l'aimer plus encore, juste assez pour ne pas être assez forte.
Et puis je me suis retrouvée, ne pouvant me regarder en le regardant à mes côtés.
Alors je l'ai quittée, et...je me suis peu à peu retrouvée...

Le pire dans cette histoire, c'est que quand elle a sonnée, il était minuit passé. Je m'en souviens très bien parce que j'avais attrapé la crève et que je venais de me lever pour prendre ma température. J'avais ouvert la porte encore dans les vapes, un poile stressé en me demandant, qui pouvait bien vouloir rentrer à une heure pareille. Elle était grande, belle et terriblement inquiètante. J'ai aussitôt eu envie de refermer mais je connaissais la règle ; Chaque jour elle venait visiter quelqu'un, nous nous devions de l'acceuillir. Il suffisait ensuite de choisir une vengeance à exaucer. J'étais sûrement vraiment fatigué, et énervé de ma journée, parce que je lui ai répondu séchement avant de lui claquer la porte au nez. -Je veux me venger de ce fichu virus, bonne soirée. Prêt à aller me recoucher, j'ai été assez agacé de l'entendre à nouveau frapper. J'ai pris le temps de me moucher et j'y suis retourné. En ouvrant la porte je l'ai trouvée un sourire contrit aux lèvres. -Je ne peux pas venger d'une maladie. -Bon et bien de mon patron, qui me doit une augmentation. Elle ma regarder en haussant un sourcil, c'est vrais qu'avec la fièvre j'avais oublier que j'étais au chômage. J'ai cro