Rameau
Les plus lues
de toujours
Fils du vin
ivre
je regarde la lune
se mouvoir
le ciel clair
bleu de l'hiver
illumine
les arbres rouges
et la vieille gare tatouer
Dans le bois
perdu, la cabane
attend, patiemment
le retour d'un coeur
L'ivresse conquière
dans les terrains inconnus de la nuit
Sommeil et gris des visages
les lumières et les images
défilent
"la jeune fille de Brooklyn"
un matin à 6 heures
du vomi granuleux dans un coin
au pied d'une barre de fer verticale.
Chante
oh chante joie de vivre
fais jouer tes pieds de feu
cri
oh crie
dieu aux jambes de bouc
danse, enivre toi
la nuit monte
et le loup hurle à la lune
l'ouverture des heures sombres.
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Le soleil pendu, sur le canva bleu du ciel, brûle sa peau. Il plisse les yeux, scrutant ce désert blanc où des dunes étincelantes s’étendent comme des vagues. Et il pense aux rouages qui l’ont emmené ici, sur la frontière du Mexique et des États-Unis.
5 ans plus tôt…
« Monsieur, Monsieur Alphonse »
Un jeune homme s’approchait de lui, il portait une chemise bûcheron, un jean, des cheveux mi-longs.
« Monsieur, voilà le devoir à rendre, je suis désolé du retard »
« Merci, tâche de le rendre à la date convenue la prochaine fois, Hugo »
Il eut un petit sourire en coin-un garçon un peu perdu, malheureusement encore un.
Michelle Alphonse, était un jeune homme de ving-cinq ans. Fraîchement agrégée de mathématique. Il était de taille moyenne, des courts cheveux châtain, un corps souple et musclée sculpter par des années de natation. Il était beau avec ses yeux marines, son visage bronzé.
Il portait par habitude une chemise grise ou blanche, sans cravate. Il trouvait que ça lui donnait une certaine autorité décontracté vis-à-vis de ses élèves.
Il aimait les mathématiques, ces petits puzzles étriquées, qui si ont les brusquées ce refermé. Il c’était diriger vers l’enseignement, par admiration pour son professeur du lycée et comblait sa vie du travail, du sport, des sorties au bar avec ses amis, et d’amour fugaces.
La porte grinça en s’ouvrant sur la salle des enseignants. Il était vendredi soir, et seul restait quelques âmes fatiguées qui glissaient entre les chaises, et qui rangeaient avec lenteur quelques feuilles éparpillées sur les tables.
Il récupéra sa veste dans son casier, il se dépêchait, regardant inconsciemment sa montre, relisant l’heure frénétiquement. Ce soir il avait rendez-vous avec des amis, il était en retard.
Le restaurant-bar se trouvait dans une de ses ruelles alambiqué, qui tournait dans le vieux Bordeaux. Michelle marcha longtemps, errant dans ces vieilles rue au gros pavé poli, aux anciens murs à la couleur sable.
Il était 21 heures, et les terrasse des cafés se remplissait rapidement, la bière coulait et des rires parsemé, éclatait comme des bulles.
Il trouva enfin ces amis, Pierre, Jeanne et deux autres jeunes femmes qu’il ne connaissait pas. Il s’assit sur l’une des chaises et commanda lui aussi une bière.
Jeanne était une grande fille, aux cheveux longs oscillant entre le châtain et le blond. Passionnée par le voyage et la nature, elle avait un grand sourire et un brin de folie. Elle écrivait des guides de voyage.
Pierre lui était camionneur, il traversait l’Europe de long en large, s’arrêtant de temps à autre quelques jours en France. Et c’était alors toujours le moment de bonne retrouvailles, rempli d’histoire.
Il les avait tous les deux rencontrait au lycée, au sein du foyer ou ils mangeaient leur repas.
Anne et Lou, un étrange et mystérieux duo. Anne était un vrai rockeuse droite sortie des années 80, elle portait une veste de cuir noir, de grandes bottes renforcé, des cheveux bruns coupé raz, le visage plein et l’air revêche. Elle travaillait dans l’organisation de concert et de festival de musique. Lou était pour emprunter un vocabulaire commun et réducteur, une baba cool. Elle portait un grand t’shirt tie-die jaune et bleu en spirale, et des shorts vert empire. Elle avait des longs cheveux blonds, attaché en un gros chignon. C’était une fille nomade comme elle aimait le dire, elle voyageait et travaillait quand son assiette se vidait.
Anne pinça une cigarette entre ses lèvres avant de parler
« ça vous dit, Il y a John D. qui mixe ce soir au Fuse, c’est une bête comme DJ. ».
« ah c’est une super idée Anne, je t’adore » dit-Lou avant de la prendre dans ses bras »
« venez, ça sera trop bien »
Pierre, Jeanne enchantaient par l’idée, emportèrent Michelle avec eux.
Il était 1 heure du matin, de nombreuse personne se rassemblait autour de cette petite porte de fer, 2 videurs fumait leur cigarette, tranquille, scrutant les jeunes qui se présentait.
Anne se dirigea vers eux leur serra la main avec une bonne accolade, un grand sourire, deux-trois mots échanger, une main dirigée vers nous et ont entré.
J’essayai de danser, pour ne finalement que m’asseoir dans la grande salle fumeur. Je regardais sans âme, les murs de béton, lisse dans le noir. Puis je vis Anne et Lou s’approchait de moi. Anne restait debout, fumant une roulée, elle tapait rapidement du pied.
Anne s’accroupit à mes côtés me demandant si j’allais bien.
« J’ai un peu de mal avec les discothèques, le bruit, le monde. »
« tiens, prend de l’eau ça te fera du bien, on va bouger avec Anne, je travaille tôt demain, tu veux venir ? »
« Et Pierre et Jeanne où sont-ils ? »
« Ils sont sûrement en train de danser, ont les à perdu dans la foule. Viens ne t’inquiète pas ».
Michelle se sépara d’Anne et Lou au métro de la ligne 5. Il habitait seul, dans un appartement de taille moyenne, son salon donnait plein sud et avait un petit balcon où l’ont pu être debout mais pas vraiment s’asseoir. Il jouait de temps à autre une guitare, qui restait poser là dans un coin.
Il avait aussi un chien, un bâtard.
Il était fatigué, il avait mal au crâne, une petite pierre s’enfonçait dans son front, trop de mouvement, d’énergie l’avait rendu ivre. Il s’endormit, d’étranges rêve rouges, bleu et vert comme des taches de peinture virevoltait fantomatique dans son esprit et il transpirait abondamment dans son duvet, torturé, se courbant essayant de s’échapper. Pour ne que se réveiller la bouche sèche et le front perlé de sueur. Il buvait un verre d’eau fraîche avant de se recoucher en espérant pouvoir se rendormir avant le lendemain.
Il fut réveillé par le chant d’une sirène, il était 6h30 trop tard pour se recoucher, trop tôt pour se réveiller. Il avait la tête lourde de la nuit, et comme un automate se balança vers la salle de bain, les yeux mi-clos .Il laissa l’eau brûlante lui coulait sur le crane, et peu à peu le monde prit consistance. Il restait dans cette torpeur méditative un moment, laissant ruisseler ses pensées avec l’eau qui martelé son corps nu. Le blanc de la douche lui rappelait la mort et il regardait fixé le sol pour ne que lever les yeux sur un plafond blanc lui aussi.
Ce matin de septembre, de gris nuages avaient envahi le ciel et un vent vicieux traversait les rues. Les immeubles se dressaient terrifiant et Michelle marchait fatigué entre les tours de pierre vers la bouche du métro.
Il était 7 h, il regarde les visages, peint sur les murs du métro. Leurs traits de feutre noir, les rend grotesques avec leurs grosses lèvres blanches. Ils regardent avec leurs yeux vide et lui il attend le premier métro inconscient de leu cris silencieux. Quelques humains attendent là sur le bord du quai, un garçon seul sur un siège, une femme bien habillée, elle regarde elle aussi les visages.
Il y a un homme aussi qui marche le long du quai, il murmure dans sa barbe grise, des mots que je n’entends pas. Il a un air de fou avec ses yeux bleus qui louche. Le vacarme du métro qui arrive, les portes grises s’ouvrent sèchement et Michelle entre. Les gens sont assis sur les petits sièges en plastique orange, quand ils le peuvent il se sépare comme si une peste étrange les entourait. Ils sont là penchés sur des petits écrans , personne ne parle, il n’y a aucun espoir sur leurs visages, et tous se déroule dans un silence morne. Michelle lui aussi baisse les yeux, il attrape son téléphone, met ses écouteurs, laisse résonner l’étrange voix de Franck Black. Il avance 6 pieds sous terre, au travers de la ville, et se retrouve craché sur le pavé. Il y a du monde qui marche, des bruits de voiture, des phares qui clignotent, le mal de crâne revient comme une vague portée par les sons et les lumière. Il se frotte la tête et continue d’avancer. Depuis les attentats, ils ont rajouté un sas grillagé à l’entrée pour les visiteurs. Michelle fait biper pour rentrée dans le lycée gris aux airs de prison dans la cour de béton 2 arbres un a gauche et a une droite. Il est 8h15, sa première classe commence à 9 h. Ils sont quelques-uns dans la salle des professeurs, à faire des choses, comme ranger des papiers, relire un texte, boire un café. Il parle entre eux de chose comme, leur nouvelle cuisine, la prochaine baisse des allocations, de leurs prévisions de vacances qui n’arriveront jamais et toujours cette douleur qui tinte comme une cloche.
Je pose ma sacoche dans mon casier, et je me dirige vers la salle B 212, j’ai classe avec la 4emeB une classe pour la moins agitée. Rien d’étrange aujourd’hui, les élèves sont comme d’habitude plein de vie, insouciant et inattentif pour la plupart à mes paroles.
Soudain je vois Hina, elle dessine pendant la classe, je lui prends il représente un homme noir élégant avec un chapeau haut de forme, un costume de soirée et des peintures blanches sur le visage. Je lui dis qu’elle pourra récupérer à la fin de la journée. Elle résiste et me dis que je suis un con sans espoir.
Je finis la classe, et vais me préparer un café. Au travers de la fenêtre je vois la pluie qui commence à tomber. Une belle et féroce pluie qui mitraille la terre dans un vacarme assourdissant. Je sors sous le préau, sentir la fraîcheur de l’orage et je vois Hina debout collé a un mur regardant l’eau qui tombe.
Je m’approche d’elle
« tu vas bien ? »
« oui »
« tiens voilà ton dessin, s’il te plaît ne dessine plus en classe »
« merci Monsieur … Vous savez, je crois que…… il n’y a pas de règles » dit elle avec un demi-sourire,
et tandis qu’elle s’éloignait elle me dit « faites attention monsieur, le sol est glissant avec ce genre de pluie »
Je regarde le ciel et les nuages ont une tête de chien, je reste perplexe. Cette soudaine pluie, ces mots, les nuages, le visage d’ambre d’Hina, le lycée-prison.
Mon esprit mal à l’aise resta embrumé le reste de la journée, et finalement à 16 h je pris congé de mes élèves.
Les rues luisaient dans l’après-midi humide. Michelle marchait espérant trouver dans l’air frais le répit a sa condition. Les voitures le dépassaient avec leur phare rouge et jaunes. Le ronronnement des moteurs avait quelque chose de calmant. Le chemin jusqu’à son appartement était long et lentement le bruit des automobiles, des gouttes glissant sur les toitures, des voix assourdit, l’immergé dans une étrange transe où les couleurs, les sons et les formes se mélangeait. Il marchait longtemps inconscient de la graduelle ivresse qui le gagnait. Les grandes et étroites maisons le regardait de leurs opaques yeux de verre. Il était désormais seul dans l'avenue. Il s’arrêta sous le surplomb d’un mur pour allumer une cigarette, le ciel avait l’air ténébreux. En face de lui des gens dans café. Ils parlaient heureux dans leur lumière électrique.
Et il ne vit pas la sombre voiture qui glissa dans le virage et le percuta.
Chapitre 2
Je me réveille, je suis sur un lit d’hôpital dans une petite chambre. Des oiseaux chantent au-dehors, le ciel est un peu gris. Je suis seul, je regarde le plafond, rien ne vient à mon esprit, j’ai mal au crâne. Je ferme les yeux, j’ai envie de dormir. Quelqu’un rentre sans toquer, c’est une infirmière elle me regarde et je la regarde. Elle me sourit, « Bonjour Mr Alphonse, attendez s'il vous plait. Je vais le médecin ». Et la voilà repartie derrière la porte châtaigne. Je crois me souvenir m'être fais renversé, Il faisait sombre.
Un homme entre, il doit avoir 50 ans plus ou moins. Son visage à des rides, il a des cheveux gris et il porte des lunettes rectangulaires. Il y a aussi l’infirmière de plus tôt.
« Bonjour Monsieur Alphonse, je suis le docteur Maler. Vous souvenez vous de ce qui s'est passé ? »
je hoche la tête de fatigue.
« vous avez été heurtée par une voiture, avant-hier. » « vous avez 3 côtes cassées dût à la collision et on craint que lors de la chute votre cerveau est était endommagé. »
Ma tête me fait mal, je ne comprends pas bien ce que cet homme me raconte, et je me rendors.
Lorsque je me réveille, ma sœur est là assise à côté du lit, elle lit un livre. Je veux lui dire bonjour, j’essaie, mais je n’arrive pas, et ma bouche reste ouverte sans rien dire
« ça va bien Micha ? »
« le docteur m’a expliqué ce qui t’est arrivé, j'ai prévenu l’école »
« tu veux que je l’appelle pour qu’il t’explique ? Est-ce que tu me comprends ? »
je réussis après quelque seconde à cracher « tele ! ».
Alice se lève et sort. Je n’arrive pas à penser, les mots se dissolvent entre mes doigts qu’en j’arrive enfin j’arrive a les attraper, et il ne me reste que le sable infertile de ma pensée. Je panique, le plafond, quelle est la couleur du plafond, celle des arbres, comment se nomme ce petit être qui virevolte dans le crépuscule.
Quelques minutes passe et enfin Monsieur Maler rentre, accompagnée d’Alice.
Il a l'air fatigué, il regarde Michelle avec indifférence.
« Bonjour Monsieur Alphonse, vous me comprenez il semblerait »
Michelle hoche la tête
« Lors de votre accident vous avez souffert d’un traumatisme crânien, vous avez été heurté a basse vitesse, mais il semblerait qu’il y est eut des séquelles sur votre lobe temporal et par répercussion sur votre hippocampe. »
« dans votre cas cela affecte votre faculté à communiquer et à mémoriser »
« nous allons vous faire quelque test si vous le permettez, pour voir s’il n’y a pas d’autre trouble ».
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C'était le 4 août, le soir. Je me promenais sur les quais de Bordeaux. La Garonne, docile s'écoulait en un grand arc. Et quelques nuages roses nonchalants voguait.
Pierre, mon colocataire, par son manque d'attention chronique, avait oublié de mettre les clés dans la boîte aux lettres.
Je me trouvais donc dehors, à attendre sa débauche vers 1h du matin.
J'étais donc là sans but, parfois marchant, parfois m'allongeant sur l'herbe à regarder le ciel.
Je regardais les autres gens marcher sur le quai, je ne pensais à rien.
Je regardais les couleurs de leurs vêtements, leur démarche, écoutais leur voix.
Puis la nuit commença à tomber, et doucement je me suis dirigea vers la place de la bourse.
Un groupe de jeunes franco-africains, la trentaine, jouait du Djambé. Ils jouaient trés bien et donnaient de la vie à cette grande place hautaine. Je m'assis sur un banc à leur coté et fuma une cigarette.
Puis vers 22 heures, je reçus un sms de Pierre me disant qu'il était désolé pour les clés et qu'il les avait déposées pendant sa pause.
Je rentrais chez moi, bizzarement heureux, et passai une trés bonne nuit.
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Défi
Je ne me souviens pas trés bien de cette nuit. Elle me revient par bribes, j'étais sorti avec les autres en boite de nuit. Nous étions 3 ... 4 ?
J'étais trés chaud ce soir là et je dansai jusqu'à me perdre dans la foule. Je ne rappelle plus combien de temps, mais soudain mon esprit s'est reconnecté à mon corps et je me trouvais dans le salon fumeur de la boite, assis en tailleur, la clope au bec. Une jeune fille rondelette, aux cheveux noirs courts et bouclés allongée contre moi. Je ne distinguai dans la foule aucun de mes compagnons. Je regardai ma montre 4h30. Je me rendis compte que je ne portais qu'un petit short rose, qui d'ailleurs ne m'appartenaitpas.
Après quelques balbutiemments timides, un baiser et des promesses je sorti de la discothèque. Les rues de Brussel étaient étranges sous ce ciel noir, je commençais ma longue marche qui me ramènerai du centre vers Ixelle.
Quelques jeunes fumais de l'herbe devant l'entrée, je leur demanda un briquet pour rallumer mon mégot. Ils me demandèrent pour quel raison j'étais ainsi habillé, je leur dis que je ne le savais pas, ils sourirent, l'un d'eux me tendit le join, je tirai quelque bouffée suaves et toussai. Un grand éclat de rire échoa entre les murs de briques rouge. Je me leva et repris la route, la fraicheur de la nuit me revivifié, l'obscurité étais douce et pleine rêve. Je remontais la côte vers Matongue lorsque deux femmes, la trentaine m'arretèrent. Elle me proposèrent de m'assoir avec elles ce que je fis. L'une d'elle partis dans un des immeubles et revins avec une tasse de thé a la camomille qu'elle m'offrit. Le thé étais bon et me réchauffais. Nous parlames un peu, elles s'appellaient Betty et Gabrielle. Betty étais professeur de français et Gabrielle écrivaine. Ayant moi même toujours beaucoup aimer la littérature, s'en suivit une conversion animée sur l'essence de la littérature, de l'art, du beau. Je les laissa tandis que le soleil pointé au dessus des toits.
Les rues dans ce jour naissant doucement se remplissait de visage gris, de travailleurs en col blanc, d'immigrés au dos courbé, ils trainaients sur ses trottoirs comme des martyrs, tirants avec eux le poids des jours a venir, il expiaient dans cette lumière incandescente les vices d'une société déréglée.
Mon esprit lui s'envola, tournayant avec des idées, le futur, l'instant présent, l'existence, l'espoir, le rêve...
Il dansa libre, profondèment en trance j'arriva chez moi.
L'infirmière m'emmerda pendant trois quart d'heure, parceque à 85 ans ce n'était pas sérieux de partir comme ça sans rien dire, et qu'il fallait que j'arrête mes balades nocturnes.
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Mon histoire, est celle d'un jeune homme, professeur de mathématique. Un jour suite à un accident, il perd la faculté de créer des phrases complexe et de tenir un raisonement logique sur la durée. Il s'ensuit alors une dépression puis suite à une rencontre, il découvre la poésie et la littérature et au travers de celle-ci il se réinventera un nouveaux language. L'oeuvre mélera récit à la troisième personne et poèmes du personnage dans sa quête du langage. Les thèmes de l'oeuvre sont : la communication, la différence, l'espoir, et d'autre au fil du roman.
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Un jour, dans une gare. Je vois deux adolscente tirant leur valise sur le quai.
Soudain elles se mettent à courir à toute vitesse, s ont l'air tout excité.
Puis je ne sais pourquoi, elle s'écrasent contre un mur.
"Georgette, Anne, je vous ai dit, Poudlard c'est le 4eme ! ".
La réalité c'est un point de vue
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Ce jour là, c'étais le premier jour que Roméo Moriarti, parrain de la cosa nostra, seigneur des mondes souterrain, roi sombre de Sicile ressentis non pas du remord mais une légère appréhension.
Il étais là, debout dans son grand costume noir. Ses cheveux blanc parsemé sous son chapeau de feutre noir. Ses joues pendantes et son bide débordant par dessus sa ceinture.
L'histoire d'une vie d'excès. Il étais là debout, les mains dans les poches au dessus d'un grand trou. Dans ce grands trous profond et sombre, étais éparpillé plein de choses, avec des bras, des jambes emmélées. Des cheveux, blonds, bruns..., beaucoup de bouches ouverte avec leur dents dur et droite, bien enchassé.
Des yeux grands et bleux le regardais, et il leur retournai le regard. Cela avais été une sale affaire, des petits jeune qui s'étais trouvé au mauvais endroits au mauvais moments. Quelque passeport dans sa main, il serviront. Ses hommes aspergèrent les corps d'alcool, il craqua une alumette, les yeux bleu le regardais toujours, sans rien dire.
Il se demanda quand ces yeux commencèrent à le regarder. Ces petites boule blanche qui ne veulent lui dire. Il jeta l'alumette et une grande flamme se leva vers le ciel bleu, où des petits nuages cotonneux se reposais.
Il regarda ses hommes nourrir le feux avec de gros tronçons de chêne. Il en avait assez. Il se dirigea vers sa longue limousine noir qui l'attendais.
Il s'assit à la banquette arrière ses yeux porté vers l'horizon. Regardant d'un œil hagard la campagne italienne dormir sous le brulant soleil latin. Il se sentai fatigué et frustrée, encore des morts. Rien n'avais changé dans sa petite italie. Toujours ce soleil de plomb, les cadavres, les jolies maisons blanches, les grands trous profond et froid. Les lasagnes de Mama, les grands diner avec le maire, la politique, les belles balades en voiture avec sa fille.
Un vie froide de crime qui sentais le cadavre et la mort. Cette vie de petits rayons de paix et de chaleur ou sont grands costume noir s'en allait. Tous cela il l'acceptais mais il y avait toujours ces gros yeux blanc, sans vie qui l'attendais au coin des jours et qui le regardais. Il se coucha tôt ce soir là.
Il souhaitai être seul et dis a sa jeune femme de ne pas le déranger. Il regarda longtemps le plafond de pierre nue , les yeux grands ouvert. Se rémémorant quelque éclairs de souvenir. De lourd jours chaud, ou se même soleil brulant illuminé des corps sans vie.
Ces corps qui lentement pourrissé dans un après midi bleu. Doucement, il sombra dans un sommeil troublé, où de rapide vision, de l'angoisse tournoyé. La cloche sonna son douxième coup, et il se réveilla avec l'écho résonnant.
Oscillant encore entre le rêve et le monde sensible, il vus la grosse lune jaune et ronde au centre de la fenêtre. Il se décida à sortir, marché un peu. Le jardin étais peigner dans une lumière onirique, il se sentais en paix. Mais dans ce bonheur paisible, il se rendis doucement compte d'une certain peur. Les arbres sifflaient de leur feuille sombre. Les buissons dans une demi clareté projeté d'étranges démons qui ruisselait sur les petits cailloux blanc, le chemin disparassait alors.
Il marchait lentement scrutant les ombres fuyante, le sol crissait sous pas réveillant de petits êtres de la nuit. Il continua sa marche, chantant dans sa tête. Mais, à son insu, lentement commença a remonté une inquiètude, une crainte.
L'astre se cacha une minute derrière un grand nuages. La pénombre remplis sa vue, c'est alors qu'il entendis, un petit cri, comme un oisillon. Il tourna son regard vers l'épicentre de sa curiosité. Il vus qui trainais un pendentif en or où au centre tronais un petit saphir azur. Il s'approcha, pris l'objet et après avoir regardé les étranges symboles gravées dans le socle, le mis dans la poche de sa veste et rentris dans sa demeure pour dormir.
Il se réveilla, il étais en forme. Il s'étira les deux main jointe au dessus de sa tête. La nuit l'avais libéré de ses anxietès et vision de la veille. Il s'habilla promptement et descendit pour déjeuner. Il mangea un cannelloni à la crème avec de la confiture de cerise noire et deux expresso.
Soudain, « Roberta ! Il est temps que tu descende. » n'entendant pas de réponse, il demanda à sa bonne ou se trouvais sa femme et sa fille. C'est alors qu'il vis des petits pieds blanc descendre l'escalier pas à pas. « Je suis là, j'arrive mon loup » il l'as regarda apparaître, féline. Elle lui demanda « comment étais le petits déjeuner ? » en lui posant ses douces mains sur ces vieux os et en lui massant tendrement les épaules lui raconta. " Je suis me réveillais tôt pour préparer le repas avec Jeanne... J'ai fais un drôle de rêve cette nuit. Je me promenais avec un homme, son visage étais masqué. Nous marchois le long d'une petite rivière. Parfois nous nous trempions les pieds dans l'eau fraiche et prenions un bain de soleil nus sur la petite rive de galets. Ce jeune homme me raconté des histoires drôles et coquine au creux de la nuque. J'ai beaucoup ris. Avant de partir il m'a offert un pendentif en argent ornée d'une petite perle carmin". Roméo, finissant son déjeuner leva ses petits yeux noisette vers elle. Elle portais une robe cintrée, noir et courte qui lui souligné le corps. Un grand décolleté élégant lui descendait j'usqu'au nombril, revelant ses seins blancs et jeune. Il eut envie d'elle, tous de suite. Il lui attrapa la main, et lui fis l'accompagner à sa chambre. Tandis qu'il se tentait a verouillé la vieille porte, elle se déshabillait laissant tomber en une sombre cascade ses cheveux. Elle s'avança vers lui nue, sans gêne, ses pied se posant délicatement sur le sol , elle s'avançais en femme conquérante.. elle glissa ses long doigts fins le long de son torse, lui retira sa chemise et embrassa sensuellement son corps.
Elle lui retira sa ceinture, la boucle fit un bruit sourd en tombant. Elle malaxa son pénis, qui se durcissait lentement sous son doigt sensible. Son souffle brulant lui carressait la peau tandis qu'elle s'appretait à lui faire l'amour. Son corps dressé, collé contre le sien, sa poitrine pressé contre la sienne. Il entra en elle, libérant son souflle et sentis le corps de sa femme.
Il étais froids, affreusement froid. « qui a t'il mon loup ? » Il la regarda, un gros vers s'extirpe du coin de son œil. Il crie, essaie d'ouvrir la vieille porte frénétiquement. Il court nue vers la salle à manger, son instinct animal lui dictant ses ordres. Les escaliers craque doucement tandis qu'elle descend, elle parle de sa voix pleine d'incompréhension « Mon Loup, mon loup que t'arrive t'il ? Tu n'aime plus mon corps ?». « Ah oui ! Le déjeuner comment l'as tu trouver ? C'étais un travail énorme, Roberta n'arretais pas de crier c'étais affreux » Sur la porcelaine blanche du service, maintenant de petits doigts boudiné s'étalais. La cafetière pleine de sang poisseux contrasté avec la nappe de dentelle . « J'ai trouvé Roberta, Mr Moriarti » la voix de clochette de Jeanne résonna dans la grande pièce. Elle arriva, toute souriante dans ses petits escarpins beige, portant le grand plateau d'argent sur lequelle tronais la tête de sa fille. « je suis désolé Mr Moriarti, je pensais faire cuire le roti pour diner, mais je peux le mettre au four de suite ». Roméo portant ses doigt a sa bouche , regoutais la chair impie qu'il avais ingurgité. Il vomit une boullie d'ongles, de phalange et de sang.
Il eut peur, il allait mourir. Il courra à l'entrée, essaya d'ouvrir la porte, elle étais fermé. Il se dirigea vers la cuisine, s'arma du hachoir. C'étais lui ou eux désormais et sa peur se transforma en colère pour Roberta. Il se cacha dans l'ombre d'une armoire attendant les monstres qui le pourchassait. Il frappa Jeanne la première, sa lame s'enfonça dans sa nuque avec tant de force qu'elle percuta le mur avant de s'éffronder. Il s'en alla ensuite de nouveau à la salle manger. Elle étais là assise sur les antique chaise de velour rouges mangeant élégamment. Il se lança vers elle a grande enjambée en hurlant sa mort. Il la poussa au sol, la tenant par la gorge et tandis qu'elle riait au éclats « oh tu n'as rien vus ! ». Il frappa, de nombreuse fois, expiant sa colère, sa tristesse, son désespoir. Pour ne laisser sur la moquette couleur crème qu'un chose rouge et balafré. Il se leva, pris la tête de sa fille et la serra de toute ses forces contre son cœur en pleurant.
Flash info : « Mr Moriarti, suspect principal de l'enquête concernant le meurtre de sa femme, sa fille, et sa bonne à étais jugée coupable. Il servira une peine à perpétuité pour ses actes ». Dans un grand trou, 6 pied sous la chaude terre italienne de grand sourire éclate et un pendentif rouge luit dans le noir.
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Défi
Ma mort
idéalisée elle serait
un homme perdu, reclus, oubliée
dans une petite cabane au fond de la forêt
après avoir mangée une prune séchée
il aurait eut un hoquet
et paf il a clamsé
de tous oublié
au fin-fond de sa forêt
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Défi
Quand on me parle d'identité, je pense d'abord ce qui caractérise la personne par rapport à une autre.
donc sa philosophie/sa morale, ce qu'il apprécie, ce qu'il aime faire. Cependant cette identité est proprement personelle on peut donc avoir une deuxième identité plus globale qui rattache ça personne à quelque chose de plus large comme une nation/un culture/un ensemble politique/une religion/une histoire ect....
donc l'identité est également quelque chose qu'on partage avec les autres.
on peut également parler de l'identité "sociale/virtuelle" c'est à dire l'image qu'on veut donner aux autres qui peut être différente de l'identité personnelle.
donc pour moi il y a 2/3 identité une personnelle, une globale et peut être une sociale.
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Défi
tous les jours ma journée commence avce cette objet banale, un mug, un mug de café pour être précis, du café noir souvent.
le récipient froid se pose contre mes lèvres, le café est chaud. Un contraste agréable, parfois comme je n'ai pas beaucoup de verre, je sers le vin a mes amis dans un mug. Le mug il a un coté familier, sans arrogance, c'est bizzare de le voir avec du vin en son sein. Un mug c'est un ami pas toujours proprement habillé, un peu cassé parfois. Le matin il est là avec la fraicheur de la nuit, parfois il est assis à tes cotés pendant que tu lis.
Le mug c'est un voyageur, un rude. Il est n'as pas peur des chocs... thermique, il te suis lorsque tu prend ton café dehors.
il n'as pas couleurs, pas de formes, pas de taille. il est juste comme toi ou comme toi tu en as besoin. pour moi c'est une amis de tous les matins.
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Vous êtes arrivé à la fin