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Malik Michel El-Suisse

Malik Michel El-Suisse
Samir, un jeune garçon d'origine modeste, grandit dans un village suisse où l'ennui et la routine l'incitent à chercher l'aventure avec ses amis Luca et Dragan. Le trio, inséparable, passe ses journées entre bêtises et petites arnaques, explorant les limites de leur environnement. Ils commencent avec des actes innocents comme le vol de bouteilles consignées, mais peu à peu, leurs jeux prennent une tournure plus risquée.

À travers des épisodes d'explorations secrètes, comme l'infiltration d'endroits délaissés en hiver, Samir découvre le goût du frisson et de l'interdit. Mais les tentations grandissent. Luca, toujours à la recherche d'adrénaline, pousse le groupe à aller plus loin. Ces moments excitants sont marqués par une insouciance enfantine, mais Samir, de plus en plus conscient des risques, commence à se sentir mal à l'aise face aux actes de plus en plus graves de ses amis.

Alors que Luca pousse toujours plus loin les limites de leurs actions, Samir commence à se demander si tout cela en vaut la peine. La peur de se faire attraper grandit en lui, et il se sent pris dans un tourbillon d'excitation et de doute.

L'histoire explore les tensions entre l'innocence de l'enfance et la tentation de l'interdit, tout en mettant en lumière la complexité de l'amitié et de la loyauté dans un monde où les jeunes cherchent à franchir les frontières imposées par les adultes.

À travers cette chronique entre enfance et adolescence, le lecteur suit les dilemmes de Samir, pris entre sa quête d'identité, sa soif de liberté, et les premiers signes de responsabilités qu'il devra assumer dans un avenir incertain.

Ce premier roman marque le début d'une longue saga qui suivra Samir à travers ses aventures dans le monde.
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Malik Michel El-Suisse



La nuit est mon royaume. Pas de lever de soleil pour me tirer du lit, pas de réveil pour m’annoncer l’heure. Ici, on sort quand les ombres bouffent tout le reste. Chaque soir, je m’éclaire dans un silence mécanique, et j’observe. Les yeux grands ouverts, figé dans ma hauteur. Immobile, mais aux aguets.

Il y a ceux que je vois tous les soirs, les gars en blousons, le genre qui se cale contre le mur d’en face, les mains toujours dans les poches. Ils se passent des petits sachets de main en main et jettent des regards rapides autour, mais moi, ils m’oublient. C’est bien, mieux vaut pas trop faire attention à moi. Y en a qui s’approchent parfois, qui se calent juste en dessous de moi pour compter leurs billets, la tête baissée. Je sens la chaleur de leur souffle, je les connais par cœur, ces mecs. Toujours pressés, toujours nerveux.

Puis il y a les autres, ceux qui passent en courant, capuche tirée jusqu’aux yeux, le regard fuyant. Je les vois avaler la rue, un coup d’œil derrière l’épaule, comme si j’étais un témoin gênant. Y a des flics aussi, de temps en temps. Les gyrophares qui éclatent la rue en rouge et bleu, leurs ordres jetés dans l’air comme des projectiles. Moi, je reste silencieux. Je prends pas parti, je laisse filer les ombres, les cris, les chuchotements. Pas mon job de parler, de toute façon.

Les nuits s’empilent, et je me retrouve toujours là, planté au même endroit, les yeux rivés sur ce bout de béton. Un bout de trottoir oublié, coincé entre deux rues qui se moquent bien de mon existence. Ce coin de la ville, il est à moi. C’est mon terrain de chasse, mon fief. On pourrait croire que je me lasse, que voir défiler la même scène me vide la tête, mais non. Moi, je m’attache. À chaque détail, chaque sourire volé sous une capuche, chaque éclat de rire qui fend l’air, même s’il y a souvent plus de larmes que de sourires.

À chaque ronde de la nuit, un nouveau personnage s’invite dans mon domaine. Tôt, c’est le vieux et son chien, un berger fatigué avec le poil rêche. Ils traînent sous moi à petits pas, le chien reniflant chaque centimètre de trottoir. Et chaque soir, le même rituel : le vieux détourne le regard, et le chien, lui, me marque, pile à ma base, comme si j’étais la frontière sacrée de son territoire. À force, ça me laisse un goût désagréable, mais bon, j’ai fini par accepter cette routine. Peut-être que c’est une sorte d’allégeance, son moyen à lui de me dire : "Ici, c’est aussi chez moi." Le vieux parle parfois tout bas, des mots qui se perdent dans le souffle du vent. Le chien, lui, grogne doucement, fidèle et indifférent au reste du monde.

Et puis il y a le couple, tous les deux pressés de se retrouver à l’abri. C’est toujours le même rituel : une pause sous moi, des mains qui se cherchent, un regard volé. Parfois, elle passe sa main dans ses cheveux à lui, d’un geste tendre, comme pour effacer la fatigue de la journée. Lui lui murmure un mot doux, qui la fait sourire. Ils s’aiment, c’est clair, mais moi, je sais que les sentiments s’effilochent vite dans ce coin de la ville. La passion d’aujourd’hui peut se faner demain. Je n’en dirai rien. Je les laisse filer dans l’ombre, là où leurs secrets restent à l’abri des regards.

Les ombres fourmillent aussi d’autres présences, plus discrètes, des petites créatures qui peuplent la nuit. Le chat du quartier, un vieux tigré gris, passe souvent en coup de vent. Lui, il me connaît bien, je le sens. Il s’arrête parfois sous moi, jette un regard furtif, et repart, comme s’il contrôlait que tout est en ordre. Et puis y a la fouine, plus timide. Elle se faufile sans bruit, longe les murs, jetant des coups d’œil méfiants à chaque mouvement. Elle sait que la nuit n’est jamais vraiment sûre, même pour les siens.

Le rat, lui, n’a peur de rien. Il dévale la rue comme un roi de la crasse, défiant les regards. Moi, je l’observe, fasciné. Ce petit être sans charme, il a l’audace que beaucoup rêvent d’avoir. Lui, il ose, il traverse sans hésiter, peu importe ce qu’on peut en penser. Les éboueurs le surprennent parfois, dans leur ballet mécanique de balais et de poubelles renversées. J’entends leurs rires étouffés, ils se plaignent souvent de la fatigue, de ces matins sans fin où la ville leur balance sa crasse comme un poids. Ils sont les autres sentinelles de la nuit, ces invisibles qui font place nette avant que la ville ne s’éveille. Parfois, un d’entre eux lève les yeux vers moi, mais son regard reste vide. Pour eux, je ne suis qu’une lumière de plus dans cette rue sans nom.

La rue, c’est pas un poème. C’est brut, c’est sale, c’est froid. Les murs crient parfois, les murs craquent. Y a des nuits où la ville se déchaîne, où tout vibre sous la colère des moteurs, des pneus qui crissent, des bouteilles qui se cassent. Et moi, je regarde tout. J’encaisse. Des jours comme des nuits, je bouge pas. Solide. Indifférent. Les années défilent et moi, j’ai vu les visages changer, les rires s’effacer, les larmes se multiplier. J’ai vu les petits gamins du quartier grandir, se durcir, se perdre.

Chaque matin, la lumière du jour vient me faire taire. J’éteins mes veilles, mes regards, et je m’efface. En été, je bosse moins, c’est sûr. Les jours durent, et la ville a besoin de moins de mes lueurs. Mais dès l’hiver, je reviens à plein temps, éclairant les heures longues et froides, donnant un semblant de vie au béton gelé.

Personne me remarque, c’est pas fait pour ça. Je suis juste là, planté au même endroit, témoin muet d’une ville qui m’oublie. Mais quand la nuit retombe, c’est moi qui veille, moi qui garde un œil sur les secrets enfouis, les histoires qui glissent et s’effacent. C’est mon royaume, mon domaine. La rue m’appartient.

Je suis là, toujours debout, toujours à regarder, la tête haute, inébranlable. La lumière, c’est moi.










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Malik Michel El-Suisse


La journée avait été longue à l’Assemblée nationale. Les débats s’étaient enchaînés sans répit, mêlant cris, invectives et calculs. Ce climat de tension extrême, Alix Tran en connaissait les rouages. Elle y excellait. Mais aujourd’hui, ses pensées vagabondaient : l’opération secrète, Holan devenu assistant de Noémie Le Guen, et leur mission à tous les trois, financée et guidée par Leblanc. José Ventôse, lui, observait Alix d’un œil attentif, conscient du fardeau de leur mission.
Le soir venu, la pénombre s’installa sur Paris. Dans une salle isolée de la DGSI, José, Alix, et Holan se tenaient prêts à recevoir leurs instructions. Florian Leblanc, comme à son habitude, détailla le plan avec son calme glacial.
— Leblanc : « Vous connaissez l’objectif. Noémie Le Guen est plus qu’une présidente d’assemblée ; elle est la tête d’un empire criminel. Il est temps de l’exposer pour ce qu’elle est. »
Un silence s’abattit, jusqu’à ce que Holan, d’un ton sec, rompt l’atmosphère.
— Holan : « Un empire criminel… J’imagine que certains ici rêvent déjà de jouer les héros de la révolution, non ? »
Alix, exaspérée, mit fin à la remarque, lançant un regard tranchant à Holan.
— Alix : « Nous avons une mission. Garde tes ambitions pour toi, Holan. »
José réprima un sourire en coin. Il voyait bien que Holan, même infiltré dans le cercle de Noémie, n’avait pas encore abandonné ses propres ambitions.
Holan avait pris ses fonctions comme assistant de Noémie, opérant avec prudence et intelligence. Jour après jour, elle semblait le tester, s’amusant à dévoiler des bribes de ses activités. Ce soir-là, un moment de détente s’installa entre eux, et Noémie se tourna vers lui.
— Noémie : « Vous savez, monsieur Barnela, la politique, c’est un jeu de masques. On croit connaître les règles, mais il n’y a jamais qu’un seul échiquier… et tout le monde n’est pas un roi. »
— Holan : « Et vous ? Vous vous voyez en reine ? »
Elle sourit, presque amusée.
— Noémie : « Disons… en dragon. »
Holan hocha la tête, jouant le jeu. Mais il sentait qu’il approchait de quelque chose d’important. Il devait simplement attendre, observer.
Dans l’ombre d’un café parisien, Holan retrouva Alix et José pour faire le point. Leurs voix étaient étouffées par le brouhaha ambiant, un cadre parfait pour une conversation confidentielle.
— José : « Alors, tu as percé quelques secrets dans l’antre du dragon ? »
Holan esquissa un sourire, mais resta prudent.
— Holan : « Elle me fait confiance, mais il y a des codes, des accès cachés. Les preuves de ses activités ne sont pas encore faciles d’accès, mais j’avance. »
Alix le scrutait, cherchant à démêler la vérité dans ses mots.
— Alix : « Des failles, il y en a. Mais n’oublie pas que Noémie connaît ce jeu mieux que personne. Nous devons rester vigilants. »
Un soir, alors qu’il classait des dossiers, Holan tomba sur un document dissimulé, codé. Il le glissa discrètement dans sa poche, sentant l’adrénaline monter. Plus tard, en sécurité, il consulta le document. Le titre, « Opérations Panthère », lui donna des sueurs froides. Il découvrit des informations stupéfiantes, et réalisa l’étendue des ramifications de Noémie.
Bien que Yorgen soit désormais au cachot, il semblait toujours en mesure de fournir des informations. En analysant les documents, Holan comprit que les connexions internationales de Noémie n’étaient pas limitées à Paris. Elle disposait de comptes cachés en Suisse, alimentés par un réseau complexe de fonds, et de contacts dans les Balkans, où elle se fournissait en armes grâce à des trafiquants albanais liés à des tribus locales – la tribu même dont Yorgen était issu. Elle recrutait aussi des hommes d’origines diverses, parmi lesquels des gitans albanais, constituant ainsi une armée informelle et prête à tout.
Cette découverte accrut la tension pour Holan. Noémie était bien plus redoutable qu’il ne l’avait imaginé. Elle s’appuyait sur un réseau d’envergure internationale, prêt à agir.
À son retour au quartier général, Holan fit son rapport à Leblanc. Alix et José étaient là, suivant chaque mot avec attention. Leblanc, toujours impassible, écouta le détail des révélations.
— Leblanc : « Bien joué, Holan. "Opération Panthère" confirme ce que nous soupçonnions : Noémie Le Guen est plus qu’un danger local. Elle a des connexions qu’il faudra neutraliser sans failles. »
Alix murmura, comme pour elle-même, les yeux rivés sur Holan :
— Alix : « Ce dragon va bientôt tomber. »
José, silencieux, hocha la tête. Dans son esprit, il pensait à ses camarades disparus, Ernesto et Maximo. Ce n’était pas seulement une mission ; c’était la promesse d’une revanche.
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Malik Michel El-Suisse

Partie 1 : Ce que représente Le Petit Prince

Pour moi, le Petit Prince, c’est un personnage vraiment marquant. Un gamin venu d’ailleurs, un extra-terrestre, qui pourtant a des airs d'humain, comme un miroir de nous-mêmes. Il est simple, pur, un peu naïf, et c’est ça qui fait qu’on s’attache à lui tout de suite. À travers ses yeux, on voit le monde autrement, comme si on pouvait encore le regarder avec innocence, sans les filtres de la vie d’adulte.

Ce qui me touche le plus, c’est sa relation avec sa rose. Pour lui, elle est unique, même si elle a son caractère et ses caprices. Ça me fait penser à une histoire d’amour, une vraie. Il accepte ses défauts, il l’aime comme elle est, fragile mais précieuse. Ce lien entre eux, c’est comme une leçon sur ce qui compte : la fidélité, la patience, l’attachement. Ça nous rappelle qu’aimer, ce n’est pas juste admirer, c’est aussi accepter l’autre dans tout ce qu’il a d’imparfait.

Les adultes que le Petit Prince croise dans son voyage – le roi, le vaniteux, le buveur, et tous les autres – ça me fait penser à des gens qu’on connaît tous. On a tous vu des gens comme ça, chacun enfermé dans ses obsessions et ses travers, incapable de s’en libérer. Et quelque part, on se retrouve en eux aussi. Eux, ils sont coincés dans leurs certitudes, figés dans leur façon de voir les choses. Ils ont tellement été conditionnés qu’ils ne voient même plus le monde tel qu’il est vraiment. C’est la vision des adultes qui oublient de se demander : "Et si c’était autrement ?"

Le désert, c’est pareil. Dans cette histoire, il y a quelque chose dans l’immensité de ce vide qui me fascine. Quand on est dans le désert, on se rend compte à quel point on est tout petit. On est face à soi-même, dans ce silence qui remet les idées en place. C’est comme un rappel de l’essentiel, de ce qui compte vraiment.

Et puis, j’ai découvert Le Petit Prince un peu par hasard, en voyant Les Trois Frères des Inconnus. C’est en tombant sur cette comédie que j’ai eu envie de lire cette histoire, et ça m’a bien marqué. Ce que je retiens surtout, c’est ce message : il faut se défaire de nos idées toutes faites, retrouver ce regard d’enfant qu’on perd trop vite. Il faut être capable d’aller au-delà des apparences.

Ça me rappelle une scène de Le Monde de Sophie, un bouquin qui raconte l’histoire de la philosophie d’une façon assez unique. À un moment, le père de Sophie veut montrer à sa fille qu’il faut rester curieux, alors il fait semblant de “voler” pendant que sa femme a le dos tourné. Elle se retourne, voit rien, et pense que c’est impossible, mais Sophie, elle, y croit, elle est captivée. C’est une scène qui dit que parfois, faut garder cette ouverture d’esprit, cet émerveillement pour le monde qui nous entoure.

Comme dans Le Monde de Sophie, Le Petit Prince me pousse à remettre en question ce que je crois savoir, à regarder le monde avec un regard neuf, prêt à y voir ce qu’on n’attendait pas. Parce que, qui sait, peut-être que ce qui paraît impossible cache juste un peu de beauté qu’on avait oubliée de voir.

Partie 2 : Analyse d'un passage du Petit Prince

Les passages qui me claquent le plus dans Le Petit Prince, c’est quand il tombe sur le buveur et le géographe. Deux types paumés chacun à leur façon, mais qui me parlent direct, parce qu’ils me renvoient à des bouts de moi, de ma vie, de ce que j’ai croisé.

Le buveur, c’est tout ce cercle vicieux de l’addiction. Le gars picole pour oublier qu’il picole, et voilà, ça tourne en boucle. Moi, autour de moi, j’ai vu tellement de gens dans ce délire-là. Et pas que les autres, moi aussi j’y ai goûté. Le shit, c’était mon truc. Quelques taffes pour déconnecter, te mettre un voile sur le monde, sur toi-même, comme pour oublier ce que t’as en face. Mais en vrai, t’oublies rien : tu t’enfonces dans la même boucle que le buveur. C’est ça qui fait flipper chez lui, ce type, c’est comme un miroir où tu vois ta propre cage, celle que tu portes sans t’en rendre compte. Il s’en fout, lui, il est là-dedans, il sait même plus pourquoi il a commencé. Il subit, point barre. Et c’est ça, le pire.

Et puis, y a le géographe. Lui, il me touche pas pareil. C’est plus lumineux, ça me parle d’un autre truc. Quand j’étais môme, on bougeait pas des masses, toujours les mêmes coins, mais moi, je voyais plus loin. Dans ma chambre, y avait des atlas, une mappemonde, des encyclopédies. C’était là que je partais en voyage, dans ma tête. Je feuilletais les pages comme si c’était une aventure, un ticket pour l’ailleurs. La géographie, c’était ma porte vers le monde, même si mes pieds quittaient jamais vraiment le quartier.

Le géographe, lui, il reste planté là, les yeux dans ses bouquins, à étudier le monde sans jamais aller voir. C’est ça, son truc : il raconte les voyages des autres, sans en faire un seul. Ça me rappelle quand j’étais gosse et que je traçais des itinéraires imaginaires sur mes atlas. Ce type, malgré ses lunettes de rat de bibliothèque, il a une sacrée curiosité planquée sous ses airs de fonctionnaire. C’est cette envie d’en savoir plus, de bouffer le monde du regard, même si ça reste dans la tête.

Au final, ces deux-là, ils m’ont appris chacun un truc. Le buveur, il m’a fait piger que si tu restes enfermé dans tes petites habitudes, dans tes conneries, tu finis par devenir ta propre prison. Et le géographe, lui, il m’a rappelé cette soif de l’ailleurs, cette envie de voir ce qu’il y a derrière la ligne d’horizon, même si ça reste un rêve.

Partie 3

Retrouvez Votre Âme d’Enfant – Et Si Vous Pouviez Encore Regarder Le Monde Avec Des Yeux Nouveaux ?

Imaginez un instant. Vous vous réveillez un matin, sans l’épaisseur des années, sans le poids des soucis et des habitudes. Vous ouvrez les yeux sur le monde comme si c’était la première fois. Les couleurs semblent plus vives, les sons plus clairs, et chaque détail, même le plus simple, devient un sujet d’émerveillement.

Oui, vous avez bien lu. Revenir à cet état d’esprit où chaque journée est une aventure, où chaque rencontre est une découverte, où chaque question devient une porte ouverte sur l’infini. Un peu comme ce qu’avait le Petit Prince, vous vous souvenez ? Cet enfant venu d’ailleurs, pour qui chaque planète et chaque personnage étaient une nouvelle leçon, un nouveau trésor.

Alors, imaginez, juste pour un instant, retrouver cette capacité à s’étonner. Imaginez pouvoir regarder les étoiles comme des mystères, les fleurs comme des êtres vivants, et même les inconnus que vous croisez comme des personnages hauts en couleur. Imaginez ne plus seulement « voir » ce qu’il y a autour de vous, mais ressentir, vibrer, explorer.

Pourquoi Se Contenter de Voir Quand On Peut Ressentir ?

Enfants, nous avions tous ce talent, cette capacité à transformer une flaque en océan, une cabane en forêt enchantée. Mais avec le temps, la routine, les règles, on finit par perdre cette vision. Et sans s’en rendre compte, on se ferme, on laisse notre curiosité s’éteindre, et on passe à côté du vrai.

Nous vous offrons une occasion unique de retrouver cette flamme. Pas besoin de mode d’emploi, pas besoin de formation. Tout ce qu’il vous faut, c’est une volonté : celle de regarder le monde sans jugement, sans idée préconçue. Vous serez surpris de ce que cela changera dans votre vie, dans vos relations, et même dans votre vision de vous-même.

L’Expérience de Voir « Avec Le Cœur » – Accessible à Tous

Imaginez pouvoir vous reconnecter à cet émerveillement que vous aviez enfant, retrouver ce regard neuf qui rend chaque chose unique. Ce n’est pas un luxe, c’est un retour à l’essentiel. Et tout le monde peut le faire.

Alors, pourquoi attendre ? Le monde a encore des choses à vous dire, et il n’y a pas de meilleur moment pour recommencer à écouter.
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