Ce recueil contient tous les poèmes que j'ai écrit et que je souhaite partager avec vous. Ils sont pour la majorité l’œuvre d'une inspiration soudaine dont je ne suis que le représentant. Je ne suis pas de règle particulière, cependant cela ne m'empêche pas de suivre quelques règles d'écriture.

Eliott Greem est un jeune homme timide et qui n'a pas eu une vie facile. Il est toujours traumatisé par l'abandon de ses parents alors qu'il n'était qu'un petit garçon. Alors qu'il revenait d'un repas chez son meilleur ami, Edwin Dones, il est pris d'une crise d'angoisse dans laquelle il revit son traumatisme. Une fois la crise passée, épuisé, il s'endort sur le sol de son appartement où avant qu'il ne perde connaissance il va voir quelqu'un s'introduire chez lui.
Qui est cette personne? Quels sont ses intentions?
En tout cas, cet évènement va avoir un impact énorme sur la vie de notre protagoniste.

Je souhaiterai avoir des avis sur cette histoire afin de pouvoir m'améliorer par la suite.

Papi, dit une petite fille à l’air innocent, je suis las de jouer.
Veux-tu bien ,s’il te plaît, m’emmener loin d’ici ?
-Et pourquoi donc mon chou ? Il dit et sourit.
-Les enfants préfèrent jouer plutôt que de voyager,
Répond-elle avec sincérité.
-Voyager, dis-tu ? Mais où veux-tu aller ?
Demande-t-il incrédule.
-Loin d’ici, autre part, en un lieu très lointain, où le ciel est de pourpre et la mer d’étoile.

Tu étais jeune et beau quand tu es parti,
Soutenir ton pays tu m'avais dit.
Ce ne sera pas long tu verras !
Et comme beaucoup à ce moment-là,
Tu ne t'attendais pas à l'horreur du combat.
Des jeunes gens comme toi,
partaient à l'assaut,
en sachant pertinemment,
que la bataille leur serait fatale.
Tu t'es battu encore et encore,
Tu as vu des corps et des corps,
Tout en te chuchotant : « je ne suis toujours pas mort »
Un jour comme les autres,
Tu t'es élancé,
Mais la chance t'avait abandonné,
Un poumon on t'a perforé,
Et alors que tu t'étouffais dans ton sang,
Tu t'es rappelé ta promesse,
En un râle désespéré, te sentant impuissant,
Tu as supplié la mort de ne pas t'emporter.
Les minutes ont passé,
Le combat a cessé,
Les morts sont ramassés,
Parmi eux ton corps au regard terrifié,
Seront-ils oubliés ?
Non
Tu étais jeune et beau
Dans mon souvenir
Ce jour où tu es parti
Défendre ta patrie.

Je voulais juste qu’il se remémore,

Les moments passés sur ce port,

Où aucun de nous n’avait de torts.

Je ne suis que poussière, qu'un mouvement dans l'air, une mélodie ancienne, aussi belle qu'elle est mienne, un chuchotement furtif survolant les récifs, alors que tout n'est que silence, on peut bien dire ce que l'on pense.

Elle avait de belles dents blanches qu'elle montrait fièrement à tous ceux qui se trouvaient dans le train qui me ramenait chez moi après une longue et fatigante journée.

Elle sentait une sensation de brûlure dans ses jambes mais était incapable de s'arrêter. Elle ne devait pas s'arrêter. C'était un besoin primal, elle savait que si elle ne l'écoutait pas quelque chose d'affreux se produirait. L'air était frais et humide mais elle n'avait pas froid, au contraire, elle brûlait, elle suffoquait. Elle n'avait pas pris la peine de s'habiller et courait dans Paris dans sa robe de chambre, une vieille paire de sabot au pied. Le silence qui avait régné dans la ville jusque-là s'était retrouvé perturber par le claquement de ses sabots sur le pavé, le halètement irrégulier d'une personne en proie à un trouble profond et les battements de cœur qui frappaient contre la poitrine de la jeune femme.


Bonjour amis lecteurs, je vous remercie d'avoir pris le temps de vous arrêter pour lire cette histoire. Il s'agit de ma première tentative d'écriture d'un roman historique. Bonne lecture!

"C'est étrange," pensa-t-il, " Marie et Louis ne laissent jamais le portillon ouvert la nuit à cause des poules qui pourraient s'enfuir ou être volées sans qu'ils ne s'en rendent compte."

C'est à ce moment là qu'il réalisa que quelque chose n'allait pas, une odeur métallique s'était mélangée à celle, plus moite, de l'été. Il pouvait sentir le goût du fer sur sa langue, le goût du sang.

Mais bien sûr que je t aime!
Mais pourquoi un poème ?
J ai compris je me tais,
Mais par où commencer ?

Il s'agit d'un recueil de poèmes dont les thématiques sont deux ou trois mots choisis au hasard qui peuvent être utilisés dans leurs rédactions.

N'hésitez pas à commenter pour partager les idées que ces associations de mots vous procurent. Bonne lecture!

Il s'agit d'une petite fable écrite pour un ami qui m'avait donné pour thématiques:

"le prix de la liberté" et "le prix de la solitude"

Je vous souhaite une bonne lecture!