L’inspecteur Rodriguez est assis dans son bureau, plongé dans une profonde réflexion. Ses yeux sont rivés sur l’horloge qui, imperturbable, affiche 23 heures. Dans cette obscurité silencieuse, il ne peut s’empêcher de penser à l’enquête qui le captive, à la promesse de gloire et de reconnaissance qu’elle porte en elle. La famille Williams, une dynastie puissante et respectée dans la ville, est au cœur de cette affaire. Si Rodriguez parvient à prouver leur culpabilité, il sera propulsé sur le devant de la scène, au cœur de ces journaux tant convoités. En tant qu’inspecteur récemment promu au sein de la police de New York, il se doit de faire ses preuves, de montrer sa détermination sans faille. Alors qu’il se laisse emporter par ses rêveries, le doux son de son téléphone brise le silence. Sur l’écran, s’affiche le mot « Mon amour ». Un sourire se dessine sur son visage fatigué, tandis qu’il décroché. – « Salut mon amour », dit-il en se redressant. – « Toujours au travail ? » – « Oui, cette affaire me prend énormément de temps. » – « J'espère que tout cet effort en vaut la peine et que tu te rends compte de l'absence que tu nous imposes, à nos enfants et à moi. » – « Chérie, on en a

Mon recueil de poèmes

Mon moi...

Alors voilà ma parodie légère de "S'Il suffisait d'aimer" de Céline Dion Il suffisait de grignoter, de grignoter sans fin, Pour remplir cette bedaine, quel destin, c'est certain ! Les chips et les bonbons, ils m'ont ensorcelé, Mon régime s'est évaporé, mes jeans sont trop serrés. Il suffisait de résister, de dire non à la junk food, Mais j'ai cédé aux tentations, sous le charme de ces chips croustillantes. Mon corps s'est élargi, mes boutons ont proliféré, Il est temps de me reprendre, sinon je vais exploser. Il suffisait de la salade, de manger des légumes verts, Mais j'ai succombé aux pizzas, aux burgers, quelle perte ! Les donuts et les sodas, ils ont pris le contrôle, Je suis devenu une boule, oh la la, quel drôle de rôle ! Il suffisait de faire du sport, de bouger un peu plus, Mais j'ai choisi le canapé, le Netflix et le surplus. Ma silhouette a changé, mes pantalons ne me vont plus, Il est temps de me remettre en forme, de reprendre ma vertu. Pourquoi ai-je laissé la malbouffe gagner ? Je vais reprendre le contrôle, changer ma destinée. Adieu les sucreries, les hamburgers et les frites, Je vais retrouver ma santé, avant que tout ne m'invite. Il suffisait de dire stop, de repr

Alors pour ce défi je m’inspire d’un véritable bijou de la musique, une pépite signée Jean-Jacques Goldman et Sirima. Le lien:https://youtu.be/zFwaRmpzvjo « Là-bas »,un classique qui m’emporte vers un ailleurs, un havre de paix où je peux être moi-même. Les voix de Goldman et Sirima se mêlent avec une harmonie parfaite, créant une mélodie intemporelle qui résonne en moi avec émotion et profondeur. Malheureusement, l’histoire de Sirima est tragique. Deux ans après la sortie de la chanson, elle a été victime d’un feminicide, une fin violente qui a brisé le cœur de ceux qui l’aimaient. Son talent et sa douceur restent gravés dans nos mémoires, témoignant de son héritage artistique et de sa lumière éternelle. À travers cette chanson, je me sens connectée à Sirima et à tous ceux qui ont été touchés par sa musique. C’est un rappel poignant de la fragilité de la vie et de l’importance de chérir chaque instant. Cette histoire a inspiré mon âme créative à écrire un poème. Un hommage à cette belle Sirima, que j’ai choisi de nommer « Ima ». Ima Ima, étoile éclatante dans la nuit, Une voix mélodieuse, un talent qui luit. Dans le métro, elle chantait avec passion, Emplissant les cœurs de mille

Le soleil se lève, embrasant l'horizon, Le voyageur épuisé, revient à la maison. Dans ses yeux fatigués, des histoires se tissent, Un retour triomphant, où les cœurs se réunissent. Les souvenirs s'éveillent, doux échos du passé, Les rires, les larmes, les moments partagés. Les bras ouverts, l'attend un amour sincère, Des étreintes chaleureuses, des mots qui éclairent. Les émotions se mêlent, dans une danse subtile, L'amour, la joie, l'espoir, une symphonie fragile. Les larmes d'émotion, perles sur les joues, Le retour est un miracle, un nouveau rendez-vous. Le temps s'arrête, suspendu dans l'air, Le bonheur éclate, sans rien altérer. Le passé s'efface, l'avenir se dessine, Le retour est une victoire, une destinée divine. Dans ce chapitre clos, une nouvelle page s'écrit, Le voyageur renait, plus fort, plus épanoui. Son cœur vibrant, empli de gratitude, Ce retour, une promesse d'une vie en plénitude.

Cher A J'espère que cette lettre trouve un écho sincère dans ton cœur, car aujourd'hui, je ne peux plus me taire. J'en ai marre, profondément marre de garder le silence, de laisser mes émotions se noyer dans un océan d'incompréhension. Chaque jour, je me suis pliée aux attentes des autres, à leurs jugements et à leurs exigences. J'ai réprimé mes pensées, mes opinions, mes aspirations les plus profondes. Mais cette mascarade a trop duré. Je refuse de me sacrifier davantage pour préserver une illusion de tranquillité. Je suis fatiguée de me cacher derrière un masque, de feindre un sourire alors que mon cœur est en lambeaux. J'ai besoin de m'exprimer, de crier ma vérité, même si cela dérange, même si cela bouleverse l'ordre établi. Je ne veux plus me taire face aux injustices, aux préjugés, à l'intolérance. Je veux défendre mes convictions, mes valeurs, avec toute l'énergie et la passion qui brûlent en moi. Je veux que ma voix résonne, qu'elle inspire le changement, qu'elle fasse bouger les lignes. Je sais que cela peut être effrayant, que cela peut entraîner des conséquences, des ruptures, des désaccords. Mais je préfère vivre authentiquement, en acceptant les défis et les obstacles

Assis dans un café chaleureux, Marc et son ami David se retrouvent après des années sans se voir. Les deux adultes se remémorent leur adolescence tumultueuse et se lancent dans une conversation remplie de souvenirs. Marc, les yeux pétillants de nostalgie, entame le récit : –Tu te souviens, David, de nos escapades audacieuses dans les rues de notre petite ville ? Nous étions inséparables, toujours à la recherche de nouvelles aventures. David sourit en hochant la tête. – Comment pourrais-je oublier ? On était comme les héros de nos propres romans d'aventure. Marc continue, enthousiaste. – Un été, on a eu l'idée folle de construire une cabane secrète au fond de la forêt. On a passé des jours entiers à rassembler des matériaux, à imaginer les plans les plus fous et à travailler dur pour donner vie à notre projet. – Cette cabane était notre refuge, un endroit où on pouvait échapper aux pressions du monde extérieur. On y passait des heures à discuter, à rire et à rêver de l'avenir. C'était un véritable sanctuaire, témoin de notre amitié indéfectible. – Mais notre cabane secrète était bien plus qu'un simple abri. Elle était le point de départ de nombreuses aventures. Tu te rappelles de no

J'ai essayé. Il était une fois, un lieu enchanté, Où les rêves prenaient vie, en vérité. Mais derrière ce monde aux couleurs éclatantes, Se cachait un prix, une vérité troublante. Les rêves s'épanouissaient, sans limites, Mais chaque souhait avait son tribut. Les étoiles brillaient, mais une à une, Elles s'éteignaient, leur lumière perdue. Les rires résonnaient, joyeux et légers, Mais les larmes coulaient, amères et salées. Chaque désir réalisé, chaque bonheur atteint, Laissait une empreinte, une part de soi éteinte. Et pourtant, l'appel de ce monde magique, Attirait les âmes en quête d'un destin unique. Car malgré le prix à payer, l'illusion dorée, Offrait un instant de bonheur, une éternité. Il était une fois, un endroit merveilleux, Où les rêves devenaient réalité, mais à quel prix ? Un choix à faire, entre l'ombre et la lumière, Entre le bonheur éphémère et la vie sincère.

Si j'étais une saison, je serais l'automne, avec mes couleurs chaudes et mes feuilles qui tombent avec style. Si j'étais un animal, je serais un chat, avec ma grâce et ma capacité à me détendre n'importe où. Si j'étais un pays, je serais l'Italie, avec ma passion pour la cuisine et ma joie de vivre. Si j'étais un véhicule, je serais une voiture décapotable, prête à partir à l'aventure à tout moment. Si j'étais un livre, je serais "Le Guide du Savoir-Vivre pour les Licornes", car même les créatures mythiques ont besoin de savoir comment se comporter. Si j'étais un personnage de fiction, je serais Hermione Granger, avec ma soif de connaissances et mon amour pour la magie. Si j'étais une célébrité, je serais Ellen DeGeneres, avec mon sens de l'humour et mon engagement pour la positivité. Si j'étais un dessin animé, je serais "Bob l'éponge", avec ma capacité à rester optimiste même dans les situations les plus folles. Si j'étais une chanson, je serais "Happy" de Pharrell Williams, car je crois que le bonheur est contagieux. Si j'étais un plat, je serais des tacos, avec ma combinaison parfaite d'épices et de saveurs. Si j'étais un dessert, je serais une tarte aux pommes, classique et ré

Le visage de Sarah, pâle et livide, se trouvait baigné par la lueur bleutée des gyrophares de la police. Elle se tenait en équilibre précaire au bord du précipice, ses mains tremblantes trahissant son état de choc, tandis que les agents, en quête de réponses, lui adressaient une série ininterrompue de questions pressantes. À l'aplomb du ravin, gisait le cadavre sans vie de son époux, Tom, son visage figé dans une expression d'horreur glaçante. Les policiers étaient perplexes face à ce meurtre apparent, mais Sarah, elle, avait une certitude implacable. Quelques semaines plus tôt, Sarah avait commencé à faire des découvertes troublantes dans la vie de Tom. D'énigmatiques appels téléphoniques, des réunions en catimini au bureau et des conversations dissimulées avaient éveillé ses soupçons. Elle avait alors décidé d'engager un détective privé pour éclaircir les zones d'ombre de la vie de son époux. Ce détective lui avait remis un rapport qui avait ébranlé les fondations de son existence. Tout avait débuté par des doutes grandissants dans l'esprit de Sarah. Tom rentrait fréquemment tard du travail, ses justifications vagues pour ses retards alimentant sa méfiance grandissante. Une perqu

J'avais juste besoin d'écrire.