Tharus4.6
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Thrian Vohsk est un simple adolescent originaire de la planète Taanab dans la bordure intérieure. Agriculteur comme son père, celui-ci voit contre son gré les temps changer dans la galaxie… L'ordre 66 et la création de l'Empire de Dark Sidious, anciennement Chancelier suprême, vont détruire les rêves du jeune fermier. Privé de tout ce qu'il aime, son voyage forcé à travers la galaxie sera un long périple où la survie et la découverte du passé mystérieux de sa famille ne font qu'un.
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Après cinq ans de lutte acharnée, l'Empire du Nord est enfin en paix. Le roi Aorka suite à un pacte durement acquis avec des forces mystérieuses, devient comme ses ancêtres jadis, Seigneur des Ombres. Pouvoir au passé divin, mais aux retombés funestes, Aorka ne lègue à sa fille, que de terribles secrets dont les multiples vérités peuvent anéantir la paix sur tout le continent. Mais caché là où le chaos complote, une ombre dont le passé se mue à celui d'une jeune princesse veut faire son retour tandis que la vengeance gronde contre les ennemis d'un roi dorénavant bien faible. Le destin est ainsi bien incertain pour l'Empire au bord de l'effondrement.
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Information : je ne connais pas le nom de la personne qui a fait l'image de la page de couverture, mais je la créditerais lorsque je le saurai.
N'hésitez pas à laisser un commentaire, ça m'aiderait beaucoup et j'y répondrais dès que je pourrai.
Laissez un "j'aime" si les chapitres vous plaisent ! À très bientôt ;)
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Information : je ne connais pas le nom de la personne qui a fait l'image de la page de couverture, mais je la créditerais lorsque je le saurai.
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Défi
On regarde le temps qui passe. Un moment qui nous échappe. Le temps qu'on ne peut rattraper, car si vite consumé. Je suis là tranquille, sous la chaleur d'un jour, et je regarde le temps. Pourtant, il est invisible, on ne peut ni le voir, ni le toucher. Mais je l'observe, j'admire comment il passe aux grès des actions fugaces. Il n'a pas de goût ce temps, mais il me paraît amer. Car j'aurai pu profiter et aimer passer les moments qu'un monde différent aurait pu créer. Mais je suis dans le mien et je regarde le temps qui passe. Viens à l'observation l'ennui. Un ennui cruel, certain pourrait dire mortel. Mais il ne me tue pas, je n'en suis pas las d'être là. Parce que j'ai des choses à faire après que ce temps passe. Pour moi, c'est le temps mort. Alors que les minutes s'enchaînent, je suis là et j'écris. Mon monde s'arrête. Rien pour me ramener aux péripéties simples de la vie qui se déroule sous mes yeux. Sûrement une chose peut-être... Que le temps passe.
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Défi
Chagrin d'une âme incomplète sur un lit de deuil. Loin de toi mon amour, tout s'efface. Mes rêves, mes pensées futures, mon envie. Car tu les as dérobés à mon emprise. Je ne peux mentir à moi-même, déjoué mes sentiments. Ma frustration est grande loin de ton charme spirituel... physique. Mon sourire succombe alors que le temps passe. Ces journées, solitaire, où je ne pense qu'à toi. Je cherche une plaine ou cacher mon chagrin. Tu ne dois pas le voir et sourire, ne pas penser au mal que tu m'affliges. Car c'est une belle malédiction et je lutte face à elle. Celle dont l'amour, préoccupe les passions. Ce n'est pas une souffrance, car on aime sans détruire. Pourtant, le chaos règne et je ne peux m'en réjouir. Je serai face à toi bientôt et te dirais sûrement. Comment la solitude sans toi fut pesante. Le cadeau que tu me donnes par ton amour, est un plaisir que j'adore sans retenue.
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Défi
Avachis sur ma chaise, j'écrivais enfin les dernières lignes de ce foutu livre. J'aimais ce que j'avais écrit, mais ce côté perfectionniste voulait tout reprendre pour tout réécrire. La nuit était tombée, froide, sombre, une nuit d'hiver tout à fait normal. Une fatigue semblait s'enraciner alors que je réfléchissais toujours à un moyen d'en finir avec ce combat de mots. Mais la fatigue était bien plus forte. Mon dos droit se courbait tel un arc qui venait d'être étiré, et ma tête chuta sans que je ne puisse sentir que je quittais l'instant présent. Cette noirceur qui avait pris le contrôle de mon regard, avait recouvert sur ma conscience un voile qui ne me permit plus de contrôler mon corps. Je dormais à poings fermés. Mais quelque chose n'allait pas. Ce n'était plus le clavier de mon ordinateur que je sentais, mais la brise légère d'un vent frais. J'étais allongé sur un sol rocailleux et ma tête ne semblait plus envahie par mon épuisement quotidien. J'ouvrais les yeux et fus immédiatement surpris, car je n'étais plus chez moi. Il s'agissait d'un endroit dont la ressemblance frappante à quelques dessins de ma conscience, me fit presque reconnaître l'endroit inconnu. Sous une nuit é
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