David Watine
Où étais-tu quand je fondais la terre ?
Alors que les étoiles du matin éclataient en chants d'allégresse,
Et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ?
Job 38.4-38.7
Personne en situation de handicap, je suis née en 1976, à peu près un mois avant le début du printemps.
J'ai, je le sais, en mon for intérieur, un panorama assez large. J'aime plus que je ne déteste. Dès lors, curieux de tout, je fais pousser les multiples passions qui occupent mon existence.
Autrefois sportif, comédien, je suis, désormais, reconnu "inapte au travail".
Sans situation professionnelle, je cultive avec sagesse la terre où l'on fait naître les histoires.
J'écris. Je creuse le sillon de ce moyen de communication.
J'aime lire. Je dévore les romans et autres bouquins philosophiques.
Mais plus que tout autre chose, j'aime le cinéma.
Là-dessus, laissez-moi, vous faire découvrir l'extrait d'un film. Il se trouve qu'il englobe toute ma pensée.
Voyez un peu de moi entre ces lignes...
"Les religieuses nous ont appris qu’il y avait deux chemins pour traverser la vie.
Le chemin de la nature et le chemin de la grâce.
On doit choisir lequel suivre.
La grâce ne cherche pas sa satisfaction. Elle accepte d’être ignorée, oubliée, rejetée.
Elle accepte les insultes et les coups.
La nature, elle, ne pense qu’à sa satisfaction et à convaincre les autres d’y œuvrer aussi.
Elle aime les traiter avec arrogances, imposer sa volonté, elle trouve des raisons d’être malheureuse quand le monde rayonne tout autour d’elle et que l’amour sourit à travers toute chose.
Les religieuses nous ont appris qu’aucun de ceux qui suive le chemin de la grâce ne connaitrait jamais le malheur.
Je te serais fidèle quoi qu’il advienne".
Terrence Malick
The TREE of LIFE
Œuvres
« Ami, mon nom est Joseph Dedzer. J’ai au demeurant, en ce jour d’anniversaire, trente-trois ans ; et d’ici peu de temps je ne serai plus de ce monde. Laisse-moi te léguer mon histoire à la logique corrompue. Celle d’un homme aux mille et un talents découvrant le jour de sa mort que celui-ci n’a pas vécu. Tel sera mon récit. Vois entre tes mains le manuscrit d’un lâche où tout commence par une chaude soirée d’été, une soirée qui fit chavirer ma vie à jamais… »
Telle une rivière qui coule au coeur de l'océan laissez-vous porter par le courant d'une intrigue enchanteresse, telle sera la promesse de DEUS EX MACHINA.
Cependant, si vous ne connaissez en aucun cas ces deux chefs-d’œuvre de l’art contemporain, « La soif de vengeance selon Charly le barje sur son camarade de classe Lazare Zaraïdjan » est la plus belle des invitations afin de les découvrir.
Déjà l’empire des défunts vous tend la main.