Guillaume Conpte
Je suis un jeune auteur, actuellement concentré sur la publication de ma saga littéraire de science-fiction :
Lazaria : l'empereur oublié
J'aime les sciences, la littérature et suis un amoureux inconditionnel de la langue française. J'ai des lunettes, si cela peut interesser quelqu'un !
J'apprécie également énoooooooormément les retours, qu'ils soient positifs ou négatifs ! Si vous pensez que mes écrits relèvent du génie, dîtes-le ! Cela vaut aussi si vous pensez que ce que j'écris ne vaut rien, et si vous avez envie de me recommander le suicide, ne vous gênez pas ;-) !
C'est toujours mieux que de lire sans rien dire, car alors ou est l'interêt de ce site?^^
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Œuvres
OBSOLETE
L'empire de Lazaria a été renversé, il y a 409 ans, par la bourgeoisie de la capitale Quantopolis, et remplacé par une démocratie impotente et véreuse. Le pouvoir est assuré, mais les intérêts du peuple n'y sont pas représentés. C'est dans cet univers qu'évolue Eolia Wähle, lieutenant de l'armée lazarienne et directrice du groupe de recherche militaire EXODUS.
Elle est secourue par le jeune Dieter, un pauvre garçon mendiant, d'un meurtre abominable. Mais cet étrange personnage semble cacher bien des mystères. Poursuivi par une malédiction depuis des siècles, Dieter est le dernier survivant, immortel, de la famille impériale. Il usera de tout les stratagèmes et de toutes les bassesses pour découvrir le secret de sa condition. Cependant, ses recherches l'emmèneront très profondément dans les fondements même de la république...
Quels secrets se cachent derrière la démocratie et la politique de Lazaria? Dieter découvrira-t-il un jour le pourquoi de sa malédiction?
"La couronne vengeresse" est le premier tome de "Lazaria : l'empereur oublié" !
Ceci est mon premier travail, je prendrai tout les conseils. J'ai essayé de donner une autre vision de la politique, éloignée de celle du méchant royaume sauvé par la démocratie, comme c'est aujourd'hui souvent le cas.
L'empire de Lazaria a été renversé, il y a 409 ans, par la bourgeoisie de la capitale Quantopolis, et remplacé par une démocratie impotente et véreuse. Le pouvoir est assuré, mais les intérêts du peuple n'y sont pas représentés. C'est dans cet univers qu'évolue Eolia Wähle, lieutenant de l'armée lazarienne et directrice du groupe de recherche militaire EXODUS.
Elle est secourue par le jeune Dieter, un pauvre garçon mendiant, d'un meurtre abominable. Mais cet étrange personnage semble cacher bien des mystères. Poursuivi par une malédiction depuis des siècles, Dieter est le dernier survivant, immortel, de la famille impériale. Il usera de tout les stratagèmes et de toutes les bassesses pour découvrir le secret de sa condition. Cependant, ses recherches l'emmèneront très profondément dans les fondements même de la république...
Quels secrets se cachent derrière la démocratie et la politique de Lazaria? Dieter découvrira-t-il un jour le pourquoi de sa malédiction?
"La couronne vengeresse" est le premier tome de "Lazaria : l'empereur oublié" !
Ceci est mon premier travail, je prendrai tout les conseils. J'ai essayé de donner une autre vision de la politique, éloignée de celle du méchant royaume sauvé par la démocratie, comme c'est aujourd'hui souvent le cas.
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Défi
Dans ma tête se suivent les notes, improbable symphonie de douceur et de joie. Amour, envie, paix et sérénité accompagnent avec tendresse la voix virevoltante de mon idôle, et son nom se marie idéalement avec le sentiment de sécurité qu'inspirent ses paroles. Ses justes paroles, oui, elles illuminent par leur justesse notre monde, et poussent les gens à danser ; Même moi, qui pourtant ne me sens pas de joie à l'idée de me déhancher,je ne peux empêcher le flot de bonheur qui innonde doucement mon corps. L'écoute des premiers instants de cette oeuvre me portent, et m'emportent dans des lieux inconnus et des temps passés, des temps heureux que regrettent nos parents. Les pantalons larges, les cheveux longs, les lunettes sondes et les combis à fleurs envahissent mon esprit, et alors que les premiers mots apparaissent comme par enchantement, c'est toute une époque qui se met à vivre sous mes paupières fermées.
Oubliés les ennuis immobiliers, les impôts et la pollution, place aux joies incommensurables des valses energiques sur les instruments traditionnels de l'époque ! Oh bonheur, de retrouver en de si brèves paroles les fragrances endormies des maisons de nos grands-mères, Bohneur de sentir à nouveau sur mon visage ridé les doux vents frais de l'automne, et Bonheur de respirer à pleins poumons les vêtements rayurés aux senteurs naphtalines ! Que ne donnerait-on pas pour se mouvoir à nouveau au son hypnotisant de nos années folles, nos années jeunesse, nos trente glorieuses à nous !
Et les notes s'enchaînent, au fil d'une mélodie flottante qui n'en finit plus, un quotidien mobilisateur s'empare de nos âmes et les fait s'envoler dans des cieux blancs et bleus, qui ne connaissent pas la guerre. Paix, paix, paix, déposons nos armes à nos pieds, renvoyons chez elles nos armées, jetons à terre nos boucliers, claquons des doigts et frappons du pied...
L'un contre l'autre, nous chantons en coeur, à l'unisson dans le souvenir impérissable de nos chagrins et de nos amours, pour qu'à jamais unis sous le drapeau de France, nous puissions crier, encore et toujours...
Musique !
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Défi
Une relation toxique peut s'exprimer de différentes manières : un amour non réciproque, une situation de domination sentimentale, une amitié trahie. Les exemples sont légions, mais ils concernent la plupart du temps des adultes expérimentés, qui comprennent que leur relation ne leur apporte rien de bien correct au niveau personnel. Immaginons donc comment un simple enfant peut vivre ce genre de relation.
Tiens, prenons un enfant (moi, au passage), à l'école primaire, dont le groupe de faux-culs qui lui servent d'amis sont tantôt sur la défensive, tantôt dans les rangs de l'opresseur. Que penser de tels amis? Un jour, les voilà à vos côtés pour vous défendre, le jour d'après ils pactisent avec l'ennemi pour revenir vous prêter serment d'amitié le lendemain. Plus toxique comme relation, la mort n'est pas loin.
Oui, c'est bien ce genre de relation que j'ai eu, fut un temps. Un groupe de pseudos-copains, composé d'une grande perche bipolaire, d'un nain psychotique et d'un suiveur attardé. Oh, ils allaient bien ensemble tout les trois, là n'était pas le problème. Le vice réside dans le fait qu'ils tournent autour du petit moi, s'amusant de ses réactions et de sa tendre naïveté piétinée.
Le plus idiot des attardés dans cette histoire, c'est peut-être bien moi. Jamais, en cinq dures années de harcèlement, je n'ai compris leur petit manège. Je ne me préoccupais que du fait d'avoir des amis, ce qui était assez extraordinaire pour moi à l'époque, et oublais leurs phases de trahison succéssives. L'un dira que je suis trop bon, l'autre entendra que je suis trop con. Je me placerais plutôt à la limite des deux, le petit innocent qui ne comprend pas qu'on le batte et qui utilise la main de son agresseur pour se relever. Je vois aujourd'hui cela comme un syndrôme de Stockolm germant, mais peut-être était-ce simplement mon envie desespérante de reconnaissance et d'intimité amicale.
Je parlais plus haut du nain psychotique. J'en garde un souvenir précis, une image en haute résolution, en couleurs et en trois dimensions. Je revois très nettement sa tignasse brune et entends sa voix nasillarde comme s'il me parlait.
Non, je mens, je ne vois son visage que parce qu'autour de moi traînent des photos de classe où il apparaît, et son timbre de voix m'est parfaitement inconnu aujourd'hui. D'ailleurs, je m'en fous. Ce son insupportable a disparu de mon esprit, tant mieux, qu'il en reste séparé.
Toujours est-il que cet idiot, que j'appellerai Pierre-Henri par respect pour son anonymat, fut le plus vicieux de tous. Il plaisantait avec moi lors des récréations, me maltraitait en classe l'heure d'après et m'éclatait la colonne vertébrale avec un ballon de basket entre midi et quatorze heures. Quant au lendemain, eh bien...l'exacte répétition de la journée précédente. Une alternance sans fin de gentillesse et de crasses les plus mauvaises.
Aujourd'hui, leur en veux-je?
Au grand détriment de ma fierté et de mon égo, je ne peux me résoudre à les haïr. Déjà parce que les enfants sont cruels de nature, ensuite parce qu'eux même regrettent aujourd'hui, peut-être, ce qu'ils ont fait. Enfin parce que le pardon est le terreau de l'oubli et du bohneur. Mais surtout parce que je les ai assez détesté comme cela ces sept dernières années.
Je ne souhaite pas l'enfer, même à mes pires ennemis, mais je pense qu'il pourrait leur servir de leçon de leur chatouiller les fesses quelques secondes avec ces flammes eternelles, histoire de les confronter au contraste du desespoir et du soulagement auquel ils m'ont soumis.
Merci !
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs
Pourquoi écrivez-vous ?
J'écris car j'aime traduire des idées en paroles.
Listes
Avec Sombre parfum, Catharsys...