
Prisca Plessard
Ce ne sont que des mots.
Mais les mots sont mes armes.
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œuvres
3
défis réussis
146
"J'aime" reçus
Œuvres
"Trois mois. Un médecin (ou la mère, -sans ?- faire exprès), se trompe en faisant une erreur médicale en "aspirant" mes tympans pour guérir d'otites répétées. Trauma lié à la bassine du bain, je ne supporte pas que celle-ci soit remplie. Plus tard j'aurais l'image d'un abuseur devant moi dans ce bain, la mère à côté. Mais c'est trop flou pour que je crois à un réel souvenir. Vers l'âge de cinq, six ans la mère veut m'accuser à sa place d'un vol qu'elle a commis dans un hypermarché de la ville. Je me vois contrainte d'avouer la vérité aux agents de sécurité. Cours par correspondance. La mère me refuse tout contact avec l'extérieur, les voisins, dont une amie d'enfance qui vient jusque chez moi demander une sortie à la mère qui refuse, se montrant agressive avec nous. Je suis mes cours comme une machine, du matin au soir, je les recopie mais ne comprends rien. Elle se montre agressive, commence à me frapper et me crie dessus. La grand-mère maternelle. Elle m'oblige à tracer à main levée les fleuves de France alors qu'il est huit heures du soir. La mère rentre de l'usine et me tabasse jusqu'à ce que je me retrouve à terre, après m'avoir tirée les cheveux. Elle crie ; la grand-mère reg
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Ce "Dictionnaire du Pervers Narcissique" est une œuvre unique en son genre, conçue comme un miroir tendu aux manipulateurs et une bouée de secours pour leurs victimes. Structuré sous forme d’abécédaire, cet ouvrage s’adresse d’abord aux pervers narcissiques eux-mêmes, exposant sans détour leurs stratégies, leurs failles et la toxicité de leurs comportements.
Mais il est aussi un exutoire pour ceux qui ont souffert sous leur emprise. En découvrant cette première partie, les victimes y trouveront une forme de soulagement, une revanche symbolique sur les abus subis : chaque mot, chaque définition dévoile sans fard la vraie nature du manipulateur, mettant en lumière son hypocrisie, ses mensonges et son besoin maladif de contrôle.
La seconde partie, quant à elle, leur est entièrement dédiée. Elle offre un espace de compréhension et de reconstruction, permettant à chacun de poser des mots sur ses maux et de se libérer, lettre après lettre, de l’emprise toxique.
Cet ouvrage est une arme pour ceux qui veulent voir clair, se reconstruire et ne plus jamais être la proie d’un prédateur psychologique.
Mais il est aussi un exutoire pour ceux qui ont souffert sous leur emprise. En découvrant cette première partie, les victimes y trouveront une forme de soulagement, une revanche symbolique sur les abus subis : chaque mot, chaque définition dévoile sans fard la vraie nature du manipulateur, mettant en lumière son hypocrisie, ses mensonges et son besoin maladif de contrôle.
La seconde partie, quant à elle, leur est entièrement dédiée. Elle offre un espace de compréhension et de reconstruction, permettant à chacun de poser des mots sur ses maux et de se libérer, lettre après lettre, de l’emprise toxique.
Cet ouvrage est une arme pour ceux qui veulent voir clair, se reconstruire et ne plus jamais être la proie d’un prédateur psychologique.
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Il y a injonctions, prévention et saturation. Quand j'entends encore "manger 3 fruits et légumes par jour" déjà que je n'arrive pas à finir mon assiette... Entre jambon et saucisson je pense que ça va être encore ma fête. "Non, ma fille, je te déconseille de faire des nuits blanches" / "La nuit c'est fait pour dormir"... Bon, c'est vrai, c'est l'inconvénient quand on ne peux plus masquer les cernes, c'est le pire, j'avoue. Je suis grande mais c'est une malédiction. La pleine lune me donne des frissons. Alors je sature à force d'interdictions, d'injonctions, d'humiliations, de "je t'aurais prévenue.." et que ma plume est à bout. Ou taboue...
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs
Pourquoi écrivez-vous ?
J'écris parce que j’aime cela, parce que c’est devenu ma thérapie, un refuge où le temps s’efface. Parce que j’éprouve un plaisir profond à apprendre l’art de conter, de partager des histoires et des mots avec les autres. Parce que dans cet univers, je trouve enfin le respect dû à mon hypersensibilité et que je me reconnais parmi d’autres auteurs aussi nombreux que sur ADA. Parce que j’aime les mots, leur musique, leur pouvoir. J’aime sculpter la langue française, jouer avec ses nuances, tisser des récits et insuffler des messages, pour voir si quelque part, d’autres esprits résonnent à l’unisson avec les miens. Parce que lorsque j’écris, il n’y a ni masque ni faux-semblant. Juste moi, pleinement, intensément.
Listes
Avec Rêves (Roman terminé), Sarah ou la fin des combats, Salt and Flower, Sur la route du bonheur, Une danse avec La Mort - Tome 1, la rose noire de Tian-Jin, Comme un air de déjà vu...