
Prisca Plessard
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"Trois mois. Un médecin (ou la mère, -sans ?- faire exprès), se trompe en faisant une erreur médicale en "aspirant" mes tympans pour guérir d'otites répétées. Trauma lié à la bassine du bain, je ne supporte pas que celle-ci soit remplie. Plus tard j'aurais l'image d'un abuseur devant moi dans ce bain, la mère à côté. Mais c'est trop flou pour que je crois à un réel souvenir. Vers l'âge de cinq, six ans la mère veut m'accuser à sa place d'un vol qu'elle a commis dans un hypermarché de la ville. Je me vois contrainte d'avouer la vérité aux agents de sécurité. Cours par correspondance. La mère me refuse tout contact avec l'extérieur, les voisins, dont une amie d'enfance qui vient jusque chez moi demander une sortie à la mère qui refuse, se montrant agressive avec nous. Je suis mes cours comme une machine, du matin au soir, je les recopie mais ne comprends rien. Elle se montre agressive, commence à me frapper et me crie dessus. La grand-mère maternelle. Elle m'oblige à tracer à main levée les fleuves de France alors qu'il est huit heures du soir. La mère rentre de l'usine et me tabasse jusqu'à ce que je me retrouve à terre, après m'avoir tirée les cheveux. Elle crie ; la grand-mère reg
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Ce "Dictionnaire du Pervers Narcissique" est une œuvre unique en son genre, conçue comme un miroir tendu aux manipulateurs et une bouée de secours pour leurs victimes. Structuré sous forme d’abécédaire, cet ouvrage s’adresse d’abord aux pervers narcissiques eux-mêmes, exposant sans détour leurs stratégies, leurs failles et la toxicité de leurs comportements.
Mais il est aussi un exutoire pour ceux qui ont souffert sous leur emprise. En découvrant cette première partie, les victimes y trouveront une forme de soulagement, une revanche symbolique sur les abus subis : chaque mot, chaque définition dévoile sans fard la vraie nature du manipulateur, mettant en lumière son hypocrisie, ses mensonges et son besoin maladif de contrôle.
La seconde partie, quant à elle, leur est entièrement dédiée. Elle offre un espace de compréhension et de reconstruction, permettant à chacun de poser des mots sur ses maux et de se libérer, lettre après lettre, de l’emprise toxique.
Cet ouvrage est une arme pour ceux qui veulent voir clair, se reconstruire et ne plus jamais être la proie d’un prédateur psychologique.
Mais il est aussi un exutoire pour ceux qui ont souffert sous leur emprise. En découvrant cette première partie, les victimes y trouveront une forme de soulagement, une revanche symbolique sur les abus subis : chaque mot, chaque définition dévoile sans fard la vraie nature du manipulateur, mettant en lumière son hypocrisie, ses mensonges et son besoin maladif de contrôle.
La seconde partie, quant à elle, leur est entièrement dédiée. Elle offre un espace de compréhension et de reconstruction, permettant à chacun de poser des mots sur ses maux et de se libérer, lettre après lettre, de l’emprise toxique.
Cet ouvrage est une arme pour ceux qui veulent voir clair, se reconstruire et ne plus jamais être la proie d’un prédateur psychologique.
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Il y a injonctions, prévention et saturation. Quand j'entends encore "manger 3 fruits et légumes par jour" déjà que je n'arrive pas à finir mon assiette... Entre jambon et saucisson je pense que ça va être encore ma fête. "Non, ma fille, je te déconseille de faire des nuits blanches" / "La nuit c'est fait pour dormir"... Bon, c'est vrai, c'est l'inconvénient quand on ne peux plus masquer les cernes, c'est le pire, j'avoue. Je suis grande mais c'est une malédiction. La pleine lune me donne des frissons. Alors je sature à force d'interdictions, d'injonctions, d'humiliations, de "je t'aurais prévenue.." et que ma plume est à bout. Ou taboue...
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Plongez dans un univers où chaque mot éclaire les recoins de l'âme.
Dans 100 Phares, l'auteur vous invite à traverser des récits tantôt lumineux, tantôt sombres, reflets d'une introspection sincère et d'une quête d'authenticité.
Écriture viscérale et poésie brute, cette œuvre unique dévoile un chemin entre vulnérabilité et résilience, pour mieux saisir la lumière dans l'obscurité.
A lire seulement si vous n'avez pas froid aux yeux...
Dans 100 Phares, l'auteur vous invite à traverser des récits tantôt lumineux, tantôt sombres, reflets d'une introspection sincère et d'une quête d'authenticité.
Écriture viscérale et poésie brute, cette œuvre unique dévoile un chemin entre vulnérabilité et résilience, pour mieux saisir la lumière dans l'obscurité.
A lire seulement si vous n'avez pas froid aux yeux...
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C’est ce que je préfère, généralement. Ne pas trop faire de vagues. En parlant d'océan, ça me donne des idées. Enfin, je sais que j'ai été prise pour une imbécile, essayer de lutter n'y changera rien. Cette seule pensée me met hors de moi et, malgré mon comportement habituellement affable, je claque violemment la porte de l'agence en sortant. Je croyais que cette petite mort venait de la routine, de mon quotidien devenu fade. Mais en réalité, c’était l’affaire de mon couple. Charlène & Matthieu, tu parles. Nous avions mis six mois à préparer ce déménagement, mais avec tout ça, aujourd’hui me semble le bon moment pour partir. Même seule. Car je ne veux plus les voir, ni revoir chaque jour cet environnement figé qui m’étouffe jour après jour. Je veux partir loin. Très loin. En parlant de vagues, disais-je… Est-ce qu’à tout hasard je pourrais filer jusqu’à la côte atlantique, moi qui suis déjà au volant de cette Mini Austin ? Pas si sûr. Mais je m’en fiche royalement : l’important n’est pas là. Il faut que je me sauve. Ayant enfin retrouvé les clés de voiture, enfouies au fond de mon sac à main, je m’arme de courage, m’empare de la bouteille d’eau restée au frais dans le coffre et m’i
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Ce document n’est pas un rêve utopique. C’est une réponse pragmatique à un constat : la France peut se réparer par elle-même, sans dépendre d’un État omniprésent ni de dettes infinies. Il s’agit ici d’un modèle circulaire, une boucle vertueuse, où chacun contribue selon ses moyens et gagne en retour. Une économie basée sur l’échange équitable, la reconnaissance, la solidarité locale et le bon sens. Ce n’est pas à l’État de tout financer, mais à lui de faciliter, autoriser, connecter, via des outils simples : plateformes, accès, reconnaissance légale. Le reste vient du terrain, des citoyens eux-mêmes. Une économie utile et réciproque Chaque citoyen, retraité, artisan, étudiant, salarié, entrepreneur… peut apporter une pierre à l’édifice : partager un savoir, écrire un livre utile, cultiver, aider, réparer, former… En retour, il ou elle reçoit une reconnaissance concrète : un revenu local (points échangeables), un logement gratuit ou solidaire, un accès facilité à des biens essentiels (produits locaux avec annuaire spécialisé des producteurs eux-mêmes, transport, culture), ou la publication et diffusion de ses créations. Et voici d'autres exemples concrets de mesures citoyennes et so
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Savez-vous pourquoi le site "Atelierdesauteurs.com" a autant de popularité ?
Parce qu'il est avant tout notre sauveur.
Pensez à tous ceux qui se battent chaque jour pour faire entendre cette petite voix qui, avec humilité et sagesse, les pousse à agir pour un monde meilleur.
Celui du partage de connaissances, de la culture qui se perd, la lecture que beaucoup de jeunes délaissent au profit de la modernité.
Faut-il vraiment en passer par là ? Bannir notre essentiel ?
Scribay est l'un des rares outils qu'il nous reste, à nous autres pour faire connaître nos oeuvres, notre singularité, faire vivre nos personnages, tout en ayant l'opportunité de s'améliorer grâce aux corrections des autres membres.
Mais peu à peu nos écrits se perdent et se meurent, car vous n'êtes pas là, contrairement aux dysfonctionnements et beugs informatiques au sein du site qui semblent se multiplier ; des auteurs se fatiguent, le moral n'est pas bon, certains qui voyaient la lumière en s'abonnant au site se retrouvent au bord de la falaise.
D'autres tombent dans l'angoisse, sans compter ceux qui utilisent l'écriture et la lecture comme thérapie...
Car il semblerait que le site soit au bord, lui aussi, de la faillite.
Auriez-vous besoin d'un ou d'une volontaire pour gérer la communauté ? Un ou une bénévole ?
Ce ne sont que des exemples d'idées pour faire avancer les choses, cela dit, vous seuls être maître à bord.
Donc nous avons besoin de vous, ne nous oubliez pas dans votre quotidien car nous serons toujours prêts à monter dans votre navire, quels qu'en soient les sacrifices.
Chers éditeurs, représentants, responsables, nous sommes dignes de vous conduire à destination à travers les flots, mais nous devons savoir où nous allons, ensemble.
Merci
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Oui, André, on imagine. Donc je ferais bien de m'y mettre, moi, en isolement. Le Covid m'a montré tous les avantages dont personne ne parle : t'es plus obligé de croiser le connard de l'openspace ni même tous ceux que tu peux pas saquer. Je ferais bien de me mettre à bouffer des pissenlits, aussi. Apprendre à tirer au fusil, pêcher ou faire pousser des trucs. A moi les explosifs, ma spécialité, mais chut ! Espèce de pyromane, va. La vengeance d'une harcelée se transforme en harceleur. Je me prépare, lentement mais sûrement, à braver la connerie humaine. Ceux qui ne sont jamais sortis de la maternelle. C'est moi ou ça rime ? Survivre, non, mais vivre comme une mauvaise herbe, oui. Le credo pour les jeunes paumés qui... quoi ? Ne sauraient pas quoi faire en temps de guerre ? Mais attends, c'est eux qui foutent le bordel. Décidément, on marche sur la tête. Et y'a que les fous de mon espèce pour tenter d'entrevoir une solution. Créer un manuel, encore faut-il savoir le lire et l'écrire. Ma façon à moi est aussi dingo que mon cerveau de millefeuille. L'habitude. Des douches froides, du manque de sommeil, des efforts physiques à l'extrême, manger des cailloux, boire, fumer, trop, ne rien
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Le plus important. Se tromper de mots équivaut à un film qui finit en queue de poisson. Un poisson écoeurant pour le lecteur qui ne voudra plus jamais entendre parler de vous ni de vos histoires. Aussi pour nous aider nous les auteurs multipotentiels, savez-vous qu'il existe plusieurs types de dictionnaires ? Dictionnaires des synonymes, bien sûr mais aussi analogiques, visuels, d'usage des bons mots, justement, et pas n'importe lesquels, de l'Académie Française... cette même institution misogyne qui ne cesse de rejeter Nothomb, serait-ce parce qu'elle conserve cette obsession étrange du mot "pneu" dans ses ouvrages ? Dommage, parce que personnellement quand je ne trouve pas le bon mot je l'invente. C'est ce qui caractérise mon écriture, bien propre à ma façon de pensée. Ce truc n'existe pas encore ? Voilà c'est fait, l'ombière : le fait de passer de l'ombre à la lumière. Je plaisante, bien sûr. Mais en revanche il est vrai que j'aimerais beaucoup inventer des expressions, des groupes de mots, pour ajouter un autre style à mes récits. Provoquer l'ordre établi en montrant ma touche personnelle pour se différencier de la masse, comme lorsqu'un artiste découvre une nouvelle technique.
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1. Danser en lavant la vaisselle ou en faisant le ménage Parce que quitte à récurer une assiette, autant twerker avec dignité. Beyoncé en pantoufles ? C’est moi. 2. Prendre un bain… …Mais sans gel douche digne de ce nom. Franchement, les huiles essentielles sentent la forêt en deuil. Je cherche encore LA potion magique. Suggestions bienvenues. 3. Lire & écrire Quand mon moral n’est pas au fond du bac à litière. Sinon, je pense fort à lire. C’est déjà pas mal. 4. Prendre Doudou dans mes bras Quand il ne fait pas sa diva poilue. Le câlin parfait existe, il ronronne et pèse 6 kg. 5. Faire de la couture Avec des bouts de tissus d’occasion, des aiguilles magiques et parfois du fil… quand j’ai les moyens. (Un jour j’habillerai les chats du monde entier. À suivre.) 6. Faire du VTT version ninja Pédaler à fond pour semer les abrutis. — Turbo activé : bim, j’ai échappé à trois remarques sexistes et un vieux pervers. C’est du sport, c’est de l’art. 7. Me ressourcer dans la nature Quand je trouve un coin sans harceleurs en goguette. Spoiler : c’est rare. Mais je me bats. Je suis une guerrière chlorophyllée. 8. Faire des achats en ligne J’adore flâner virtuellement. Mon panier est souvent plus
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On a tort de dire que les gens ne changent pas. On apprend forcément de nos erreurs. Et ceux qui ne le souhaitent pas sont juste stupides, et comme on dit il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. Ce qui est positif, quand on sait que la plupart des "gens" sont intelligents... N.B. ceux qui sont dotés d'un esprit critique, pour dire ceux qui ont encore un cerveau. Donc oui, moi-même j'ai changé, et dû à des dommages collatéraux dont il est inutile de se défaire. Parce que chacun porte sa croix, chacun sa responsabilité. Ceux qui ne changent pas sont soit ignorants soit pervers. Mais non, je plaisante, les cons changent car ils deviennent de plus en plus cons, à ressasser les derniers potins au lieu de se trouver une vie tout simplement, et les pervers changent de comportement pour trouver de meilleures tactiques de perversion... N.B. de connerie et de bassesse humaine. Il n'y a pas meilleur déchet que les raclures de bidets, mais si on les exterminait de la terre en les faisant griller au four, les gens n'oseraient plus du tout changer n'est-ce pas ? Alors ? Qui dit vrai ? J'ai eu raison de changer, moi, la brebis égarée devenue galeuse ? Ben oui, tarta gueule à la réc
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Voici tous mes textes plus ou moins courts que j'ai préféré rassembler en un seul morceau pour ne pas encombrer mon profil et que mes lecteurs se concentrent sur l'essentiel, à savoir mes romans, mon recueil de nouvelles félines, mes guides pratiques et autres.
Dommage que je ne puisse pas garder chaque commentaire mais je garde en mémoire tous ceux qui m'ont aidée et qui y ont participé.
Merci !
Dommage que je ne puisse pas garder chaque commentaire mais je garde en mémoire tous ceux qui m'ont aidée et qui y ont participé.
Merci !
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