Il est facile d'être poussé à écrire. J'ai été influencée dès mon plus jeune âge.
Pour moi tout a commencé lorsqu'on m'a dit d'écrire dans un journal de bord, et ce tous les jours.
C'est chiant au début mais on s'ennuie moins quand on est en pleine campagne, pendant les longues journées de vacances d'été à glander, et c'est calme.
Reste toujours les cahiers de vacances, mais à choisir on préfère toujours la liberté.
Car c'est cela écrire, c'est se retrouver dans un monde à part quand la réalité devient trop douloureuse, parfois.
C'est parler avec les mots, mais que pour soi, quand on a la chance et la certitude de ne pas être lue.
Une coach à qui j'ai exposé le problème m'a conseillée d'écrire par-dessus mes phrases pour rendre le tout illisible.
Je me régale quand je sais que je garde pour moi l'argent que je pourrais dépenser chez les psys.
Nécessité d'être influencée ou influencée de cette nécessité ?...