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Amandineq

Bougue, Landes, France.
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Amandineq
Roxane, jeune diplômée de l'école d'infirmière, a des rêves et surtout de l'ambition. Major de sa promo, elle se voit déjà dans un service digne du travail qu'elle a fourni ces trois dernières années. Après avoir fait changer d'avis à son père sur son choix de carrière, elle sait qu'elle peut tout faire et pourtant... Roxane va devoir se confronter au marché du travail et aux difficultés d'être une jeune sans expérience. Après de multiples lettres de motivation, elle décroche un entretien d'embauche, mais pour une spécialité qu'elle n'aurait jamais envisagée : la Pédopsychiatrie.
Roxane le sait, les services de psychiatrie sont les plus mal vus par la profession, mais que faire quand aucune autre opportunité s'offre à vous ?

Réussira-t-elle à voir au-delà des clichés et à s'épanouir professionnellement dans un milieu qu'elle n'aurait jamais envisagé ? Comment son quotidien va t'il basculer ? Et si l'amour venait se mêler à tout ce remue-ménage ?
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Amandineq
Et voilà, Roxane l'a finalement eu cette proposition tant attendue.

Après toutes les péripéties qu'elle a vécue depuis son arrivée, c'est comme un souffle nouveau qui s'offre à elle. Elle en est persuadée, ni ses collègues, ni même Robin ne la feront changer d'avis.

Seulement, est-elle vraiment prête à tout laisser derrière elle ? Et si cette expérience inattendue l'avait fait mûrir et avait changé sa vision du soin ?
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Amandineq
Cara, 18 ans, s'apprête à faire sa rentrée à la fac.
Après des années à avoir été mise à l'écart de sa famille, elle revient sur Paris dans l'espoir de renouer avec ses frères. Après douze années d'absence, les liens avec son jumeau Nate ne sont pas au beau fixe et sa relation avec Simon, son demi-frère, est inexistante.
Mais rien n'est jamais simple et Cara va devoir se confronter à son père qui, de son côté, va tout mettre en oeuvre pour l'éloigner une nouvelle fois.
Les manigances de son paternel auront-elles raison des liens fraternels?
Comme pour chaque nouveau départ, tout est à construire.
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Défi
Amandineq


Mars 2023 , un matin au boulot le téléphone sonne.
" Bonjour, je m'appelle Timoté et je suis le prochain étudiant stagiaire de votre service"
"Mon dieu, encore un" avais-je pensé tout en donnant mes disponibilités pour une rencontre avant stage.
A cette période, tout était compliqué pour moi. Je revenais d'un arrêt maladie suite à un grave accident de la route, notre parcours PMA avec mon conjoint était au point mort et j'avais énormément de mal à supporter mes collègues au travail. Voilà que pour combler le tout, il fallait que je me rende disponible physiquement et psychiquement pour encadrer un étudiant pendant cinq semaines.
Habituellement, je suis de celle qui adore accueillir et transmettre aux stagiaires. Je pense même que c'est la base de notre métier de pouvoir accompagner les étudiants pour leur permettre un choix de service plus juste après l'obtention de leur diplôme infirmier. Seulement, à ce moment précis, je n'étais tout simplement pas en état de me farcir le boulot habituel avec la corrections des démarches de soins, les bilan de mi-stage et fin de stages et la visite de stage. J'avais fini par me faire violence pour ne pas laisser aux collègues un enième stagiaire à s'occuper alors que je revenais tout juste d'arrêt.
Le jour de notre première rencontre arrive, non sans nervosité de ma part. Je ne suis absolument pas du genre anxieuse lorsqu'il s'agit d'accueillir les étudiants, mais ce jour là, j'avais vraiment à coeur de ne pas faire mauvaise impression. Du coup, j'avais préparé mon laïus habituel et organisé toute la visite du service. Et puis tu es arrivé.
Instinctivement, j'ai de suite compris qu'avec toi ce serait différent. En apparence, pourtant, tout semblait collé au profil habituel : jeune de moins de vingt ans, un peu perdu de se retrouver dans un service qui ne ressemble pas à un hôpital et, même s'il était bien dissimulé, stressé de venir travailler auprès d'enfants autistes. Une heure trente, c'est le temps qu'il m'aura fallu pour te briefer pour ton premier jour de stage et pour comprendre que tu ne seras pas un étudiant comme les autres.
Ces cinq semaines à tes côtés, je les ai tout simplement kiffées (oui ok ce n'est pas très pro). Cela n'a rien à voir avec une question d'objectif que tu as atteint ou de devoirs bien rendus. En fait, grâce à toi je me suis rappelée pourquoi j'aimais tant encadrer. Chaque jour, tu m'as poussée à me dépasser de par ta volonté de savoir et ton envie de bien faire. Tu m'as permis de retrouver un sens à ce métier qui me plait tant mais que j'étais en train de perdre de vue.
J'ai aussi très vite appris à te connaitre, à te comprendre et à te décoder. Ce qui a fait de nous un sacré binôme. Tu m'as fait confiance, je t'ai épaulé. Une relation d'échange que je n'avais jamais eue l'occasion de développer avant.
J'ai aussi beaucoup retrouvé de moi, en toi. Je me suis revu à ton âge, dix ans avant, avec la fougue et la passion mais l'incompréhension face à ce milieu professionnel chaotique et peu valorisant. C'est le plus beau métier au monde et pourtant c'est le moins attrayant. Dans ton parcours, j'ai aussi recroisé l'adolescente que j'étais, celle qui m'a guidée vers ce choix de carrière.
Aujourd'hui, je suis riche de cette rencontre. Tu ne le sauras peut-être pas, ou peut-être te le dirais-je à l'occasion, mais tu m'as apporté bien plus que ce que j'ai eu à t'apprendre.
Il y a des rencontres qui deviennent des coups de coeur, et tu es de celles-ci. Je nous souhaites une longue vie.
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Amandineq


A toi,
Celui à qui j'ai tant de fois écrit. Celui auprès de qui je me suis tant de fois confiée.
Aujourd'hui, pas de lettre d'amour, pas de mots doux, pas de joli sourire.
Aujourd'hui je me consume, je bouillonne, je m'enflamme.
Cette partie de moi, tu ne la connais pas. Tout le monde l'ignore.
J'ai cette facette, bien enfouie, qui pourrait tout envoyer valser constamment mais je me contente chaque jour de faire bonne figure car c'est ce que veut la société.
Mais qu'est-ce que je souhaite, moi ? Eh bien la vérité, simplement.
Alors désolée pour toi, mais tu vas être le premier à subir mes foudres.
Pourquoi toi ? Simplement parce-qu'il faut bien commencer quelque part et que quand j'ai vu ce défi, c'est ton nom qui est arrivé en premier.
J'ai toujours été ce genre d'ami qui arrondit les angles, qui gère les conflits, qui se plie aux émotions et aux changements d'humeur de chacun. En gros, celle qui s'adapte. Tout le monde me pense naïve, mais j'en suis clairement consciente et jusque-là cela ne me dérangeait pas d'avoir cette place, parce-que je pensais que cela était différent avec toi.
Onze ans, ça fait onze ans qu'on se connait et tout allait très bien mais tu es tombé amoureux. Merde ! Je ne l'avais pas vu venir et, c'est évident que même si tu m'avais dit " t'inquiète ça ne changerait rien entre nous" et bien tout à changer. Et tu sais pourquoi ? Parce-que dans ton comportement tout me rappelle que moi je ne partage pas les mêmes sentiments que toi. J'ai essayé, j'ai tout donné, je me suis pliée et adaptée, comme toujours. Mais je ne peux cautionner plus longtemps.
J'en ai marre de me sentir coupable d'être celle qui te rends malheureux.
J'en ai assez de me dire que tout serait plus simple si mes sentiments étaient sur la même longueur que les tiens.
Seulement, je ne suis pas un jouet. Rien ne se contrôle, même pas ma colère actuelle contre toi.
Ton changement d'attitude, tes périodes à m'ignorer, tes absences de réponse, tes propositions qui tombent à l'eau, tes invitations qui se finissent en lapin.... Je n'ai pas à payer pour des sentiments que je n'ai pas. Je n'ai pas à subir tes déceptions alors que je me suis déjà senti coupable pendant longtemps.
Aujourd'hui il est temps d'éclaircir les choses. Ce n'est qu'en écrivant cette lettre que je m'en suis rendu compte mais il est temps de faire un choix. Cette relation devient toxique et néfaste que ce soit pour moi ou pour toi. Alors soit on apaise les choses et on poursuit le chemin ensemble, soit nos chemins se séparent maintenant.
Il est temps pour moi de faire du ménage dans ma vie et d'avancer. Je n'hésiterais plus à laisser sur le bas-côté une relation qui me fait stagner. Je ne suis plus cette ado que tu as connue, mal dans sa peau et qui ne fait pas de vague pour ne blesser personne mais que tout le monde blesse en retour. Alors si c'est trop dur pour toi, cette amitié entre toi et moi, prends tes responsabilités et sois honnête envers toi-même et surtout envers moi.
Je ne resterais pas à t'attendre indéfiniment. Je te laisse déjà ce choix alors que d'autres n'auront pas cette chance.
Sans réponse de ta part, je fermerais le livre.
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Amandineq
En faisant un tour des textes que j'ai écrit depuis mon inscription ici, je me suis rendue compte que j'ai participé à pas mal de défi.
Afin de mettre un peu d'ordre dans mon profil, j'ai pris la décision de les regrouper dans une même oeuvre.
Je vous souhaites une bonne lecture
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Amandineq

Coucou toi,
Un peu nul comme début n'est-ce pas ? Je t'imagine déjà rire alors que je n'aie même pas commencé à parler du plus important. Tiens, venons y justement.
Aujourd'hui on me propose un défi, écrire une lettre à un amour. Cela aurait été bien trop facile de faire une énième déclaration à mon conjoint alors j'ai pensé à toi.
Au début, cela me paraissait simple. Je me suis dit " Vas-y Amandine, fait ce défi ça va être rapide!" et pourtant, plus les mots s'étalent devant moi, plus je me perds dans ce que je voulais te dire à la base.
En même temps, on le sait bien toi et moi, on a toujours tout compliqué entre nous. On aurait pu s'en tenir à une relation amicale Homme/Femme pour continuer à montrer à tous ces idiots que cela existe mais non, les sentiments s'en sont mêlés.
Il est temps pour moi de t'ouvrir mon coeur et de te dire tout ce que j'ai tu pendant des années. La vérité, c'est que j'ai carrément craqué pour toi, dès la première rencontre. Tu représentais tout ce que j'attendais : la gentillesse, la bienveillance et le soutien sans faille. Plus j'apprenais à te connaître, plus j'avais cette envie irréfléchie de passer encore plus de temps avec toi. C'était comme une drogue, un besoin vital. Et tout cela, je l'ai compris tellement trop tard.
Pourtant, j'avais bien conscience de tes sentiments à mon égard. En fait tout le monde le savait et me le disait, mais moi je me cachais derrière l'amitié car j'avais trop peur de donner raison aux autres qui nous voyait déjà en couple. Oui, la fierté m'a vraiment fait défaut mais il n'y avait pas que cela. En un rien de temps, tu es devenu si important pour moi que je ne voulais pas tout gâcher avec une histoire qui nous aurait peut-être détruits.
Le monde est fait de "et si" qui nous pourrissent et nous hante. Aujourd'hui, j'espère à travers cette lettre effacer tous les regrets qui m'animent depuis dix ans. Je t'entends déjà " ça ne sert à rien de vivre sur les regrets ma p'tite. Il faut avancer" mais tu le sais, tu es bien plus fort que moi pour tourner la page.
Je n'ai qu'une certitude, je pourrais aimer tous les hommes qui passent dans ma vie, tu resteras mon âme soeur. Et nous le savons bien, les personnes qui sont faites pour être ensemble se retrouveront quoi qu'il arrive. Alors à bientôt, dans un autre jour ou dans une nouvelle vie.
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Amandineq

Quand j'avais quinze ans, je devais être au collège autour de la 3ème.
J'aurais aimé écrire que j'ai adoré mes années collèges et que mon quinzième anniversaire a été merveilleux. Foutaise !
Petit blonde dans un collège ZEP ( zone d'éducation prioritaire) de banlieu parisienne et grosse tête de la classe. On ne peut pas dire que j'ai la côte auprès de mes camarades. Chaque jour le même calvaire : se lever, aller en cours, supporter et rentrer. Les coups bas, on me les a tous fait, enfin je crois, donc plus rien de peut me surprendre.
Je vagabonde, d'une journée à l'autre. Je tais ma souffrance que ce soit à l'école ou bien à la maison. De toute façon l'ambiance chez moi n'est pas au beau fixe. Avec ma mère s'est le festival des prises de tête, avec mon frère et ma soeur je n'ai pas la patience et mon père, et bien faudrait déjà le voir. Alors pourquoi mettre encore plus de feu aux poudres en parlant de ce que je vis à l'école. De toute façon c'est d'une banalité déconcertante. Il faut une tête de turc et ils m'ont choisit, c'est comme ça partout non ?
Mon bol d'air je le retrouve dans la danse. Trois fois par semaine c'est la délivrance. Quand j'y suis j'oublie tout. J'oublie ma mère, son caractère de cochon et ses ambitions pour moi. J'oublie mon père, son boulot qui me l'enlève du lundi au vendredi. J'oublie mon frère et ma soeur qui se disputent constamment et qui font un bruit pas possible. Et j'oublie le collège, ces journées difficiles où je ne suis que l'ombre de moi même car je sais bien que si je venais à exploser je me ferais virer tant j'aurais de compte à régler.
Je ne garde pas de bons souvenirs de ma quinzième année. Elle est arrivée comme une année de trop dans mon ecosystème déjà ravagé par les précédentes depuis mon entrée au collège. J'ai perdu confiance en tellement de chose, en moi pour commencer. Je suis devenue cette fille mal dans sa peau, incapable de nouer une relation saine et stable et surtout vide d'émotion.
Aujourd'hui j'ai trente ans et je ne danse plus. Cela me manque bien sûr, mais la vie d'adulte ne permet pas toujours de poursuivre ses rêves d'enfants. En revanche, je continue à me reconstruire car les vestiges de mon passé ont fait quelques ravages. Dieu merci, j'ai fait des rencontres qui 'mont évitées le pire et surtout j'ai renouer avec ma famille. Mais intérieurement, je saigne encore. Mon corps ma bataille mon fléau. Même avec les regards bienveillants qui m'entourent, je reste cette ado au milieu de la cours pointé du doigt. C'est dure, mais c'est ma réalité. Alors qu'un jours peut-être cette douleur s'apaisera. Pour le moment elle me poursuit, silencieuse, se rappelant à moi de temps à autre.
Quinze ans, ce n'est pas le bonheur tous les jours.
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Amandineq


Il était une fois, un monde où les rêves devenaient réalité, mais à quel prix ?
Oui, oui, vous avez bien lu. Ici pas de contes de fées. La devise de ce monde est similaire à la phrase fétiche de Rumplestiltskin, personnage de la série Il était une fois : " Magic always come with a price" ( La magie a toujours un prix).
Il y a des centaines d'années, la planète Terre a connu la plus grande pluie d'astéroïdes jamais vue depuis l'apparition de l'Homme. Parmi ces cailloux, tout droit arrivés de notre galaxie, se sont glissés de minuscules particules semblables à de jolies paillettes dorées. Bien que, d'après nos manuels d'histoire, le spectacle ait été époustouflant, ces paillettes ont bouleversé l'écosystème en apportant la magie.
Non, nous ne sommes pas tous devenus de grands sorciers capables d'invoquer n'importe quel élément de la nature ou avec un pouvoir de guérison incroyable. A la place, cette poussière s'est emparée de ce qu'il y a de plus précieux en nous : nos rêves.
Tout jeune adulte atteignant sa majorité doit absolument arrêter de rêver. Si cela venait à arriver, le rêve serait exaucé mais le revers serait terrible. Aussi fort est le rêve, aussi violente est la chute. C'est ainsi que de nombreuses personnes, en rêvant de grand amour, ont perdu le reste de leur famille dans un tragique accident ou en rêvant d'argent, ont finalement fini séniles et internées en psychiatrie dès leur réveil.
Pour éviter cela, le monde a radicalement changé. Tous les Disney, film d'amour et Contes de fée ont été retirés des plateformes de streaming, des rayons DVD et des bibliothèques. Les industries du Film et du Livre ne commercialisent plus que des histoires d'horreur sans amour ni amitié : en gros des boucheries de deux heures. Fini aussi le shopping et la mode, tout le monde est vêtu exactement pareil, quel que soit le Pays. Seules les couleurs diffèrent d'un continent à l'autre. Idem pour les voitures et les maisons. En gros, tout ce qui ne relève pas de la génétique doit être exactement similaire d'un foyer à l'autre. Certaines lois ont même été votées pour déterminé le nombre d'objets connecté dans un foyer, le salaire unique et universel quelle que soit la profession ou encore le nombre d'enfants. Enfin, les études supérieures sont imposées en fonction de la région dans laquelle tu vis car chacune à son université propre. Concernant l'amour, au diable les sentiments ! Nous sommes revenus au temps des mariages arrangés sauf que là, c'est pire, c'est un numéro qui choisit pour nous. Chaque naissance est répertoriée au niveau régional. Tous les ans à compter du premier janvier les tableaux se renouvellent et on y inscrit le premier bébé fille, le premier bébé garçon, le deuxième bébé fille .... Ainsi, à notre majorité on nous présente la personne du sexe opposée ayant le même numéro que nous. Donc si je suis le bébé fille numéro trente, j'épouserais le bébé garçon numéro trente. Nous n'avons pas à réfléchir, le destin s'en charge pour nous. Bien sûre la science n'étant pas toujours équitable, il y a souvent plus de filles que de garçons ou inversement. Là alors, nous avons la création de couple gay. Et si, suite à cela, il reste une âme solitaire, nous avons le couple monoparental.
En fait, tout est construit pour que l'Homme n'ait pas à réfléchir et donc n'ait pas d'envi.
Bien sûr, cela semble beau et utopique mais il n'y aurait pas d'histoire si cela était le cas. L'homme reste un être de nature insatisfaite et moi, eh bien, je suis de celle qui n'entre pas dans les cases toutes faites.
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Amandineq


Portrait nature
1. Si tu étais un animal, tu serais... : un loup ou un chien

2. Si tu étais une plante (fleur, arbre...) : une Orchidée

3. Si tu étais un élément : le vent

4. Si tu étais une pierre précieuse ou non : la pierre philosophale ( oui c'est un mythe mais j'espère que ça fonctionne)

5. Si tu étais une saison : sans hésiter c'est l'été. Je ne susi absolument pas une fille de la pluie ou de l'hivers

6. Si tu étais un moment de la journée: le matin

7. Si tu étais un des cinq sens : le toucher

Portrait lieux
8. Si tu étais un pays: Les Etats-Unis ( desolée ça fait cliché)

9. Si tu étais une ville: Difficile. Dinstinct j'aurai dit New-York mais je dirais plutôt Miami.

10. Si tu étais une planète: Terre

11. Si tu étais un paysage: La plage

12. Si tu étais une pièce de la maison: Un bureau

Portrait objet
13. Si tu étais un objet du quotidien: un ordinateur

14. Si tu étais une marque de voiture : Seat

15. Si tu étais un vêtement: un maillot de bain

Si tu étais un moyen de locomotion : un avion

Portrait culture
16. Si tu étais un livre : Hunger Game

17. Si tu étais un personnage de fiction: Dean Winchester ( Supernatural)

18. Si tu étais un mot : Espoir

19. Si tu étais un film: La saga Harry Potter

20. Si tu étais une célébrité; MIchel OBAMA

21. Si tu étais un dessin animé: Code Lyoko

22. Si tu étais un super pouvoir : transplanage

23. Si tu étais une créature légendaire / imaginaire: une sorcière ( pas du genre boutonneuse... plutôt à la Hermione)

24. Si tu étais un jeu vidéo: Pokemon

25. Si tu étais une chanson: trop dur... Lucie de Pascal Obispo

26. Si tu étais un style de musique: latine

27. Si tu étais un instrument de musique: une harpe

28. Si tu étais une photo: un couché de soleil

29. Si tu étais un art: la danse

30. Si tu étais un événement historique: la prise de la Bastille
Portrait gourmand
31. Si tu étais un plat: une tartiflette

32. Si tu étais un dessert : des crèpes

33. Si tu étais une friandise : des tagada pink

34. Si tu étais un fruit : framboises

35. Si tu étais une boisson: pina colada

36. Si tu étais une odeur: celle du café le matin
Portrait Loisir
37. Si tu étais un loisir créatif: l'écriture

38. Si tu étais un sport: le football

39. Si tu étais une fête: le 14 juillet

40. Si tu étais la lettre idéale: A

41. Si tu étais de la papeterie ou un accessoire de papeterie: un stylo plume
Portrait un peu plus perso
42. Si tu étais un chiffre ou un nombre : 2

43. Si tu étais un bruit: l'eau qui coule

44. Si tu étais une devise : Le bonheur se trouve dans tous les aspect de ta vie, il suffit simplement d'en prendre conscience.

45. Si tu étais un hashtag: #positiveattitude

46. Si tu étais une mauvaise habitude: le grignotage

47. Si tu étais une qualité: La bienveillance

48. Si tu étais un gros mot: merde

49. Si tu étais une émotion: la joie

50. Si tu étais un plaisir : un repas de famille
Portrait loufoque
51: Si tu était un super sens : je ne sais
52 Si tu etais un super pouvoir : deja dit plus haut
53 Si tu étais un super héros : docteur Strange
54 Si tu étais un supervilain : Maléfique
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