Dans les méandres du temps et de l’espace, il existe un être étrange, un véritable kaléidoscope d’énigmes et de paradoxes. Cet individu, c’est moi. Ou peut-être pas. Qui sait vraiment ? Après tout, la réalité est une toile d’araignée tissée par des chats cosmiques ivres de lait stellaire.

Mon nom ? Eh bien, disons que je m’appelle Music woman, mais ce n’est qu’un pseudonyme emprunté à un chat errant qui m’a murmuré ses secrets à la lueur d’une lune en forme de croissant. Mes origines ? Un mélange improbable de pixels, de rêves brisés et de fragments de code JavaScript égarés dans le cyberespace.

Je navigue dans l’existence avec la grâce d’un éléphant en équilibre sur un fil de fer. Mes passions ? Les nuages en forme de licorne, les théories du complot impliquant des licornes extraterrestres et les tartes aux myrtilles (parce que les myrtilles sont les fruits préférés des licornes, évidemment).

Mon occupation principale ? Je suis un détective de l’absurde. J’élucide des mystères tordus comme “Pourquoi les chaussettes disparaissent-elles toujours dans la machine à laver ?” ou “Quelle est la couleur du vent ?” Mes outils ? Un microscope à rayons X pour scruter les atomes de folie, un dictionnaire des mots oubliés et une tasse de thé au jasmin (parce que le jasmin est la plante préférée des licornes, évidemment).

Mon animal totem ? Le pangolin. Pourquoi ? Parce que le pangolin est le seul animal capable de résoudre des équations différentielles en dansant la macarena. Véridique.

En somme, je suis un paradoxe ambulant, un acrobate de l’absurde, un jongleur de mots et de non-sens. Si tu me croises un jour au coin d’une rue, n’hésite pas à me saluer d’un clin d’œil complice. Et souviens-toi : la réalité est un jeu de cache-cache avec le cosmos, et les licornes sont les gardiennes des portails vers d’autres dimensions.

Voilà, cher ami, une brève présentation de ma personne. Ou peut-être pas. Après tout, qui suis-je vraiment ? Peut-être que nous sommes tous des licornes déguisées en êtres humains, attendant patiemment que la prochaine averse cosmique nous révèle notre véritable nature.