Suivez, soutenez et aidez vos auteurs favoris

Inscrivez-vous à l'Atelier des auteurs et tissez des liens avec vos futurs compagnons d'écriture.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
Image de profil de null

hervelaine

Je me prénomme Hervé et je suis passionné par beaucoup de sujet, étant curieux de tout.
Intéressé par le cinéma, j'avais commencé à écrire un scénario pour un film (une romance fantastique à multiple temporalité ; Moyen Âge, Révolution française, contemporaine essentiellement, et aussi le futur sous la forme de SF - très peu de chapitres).
Finalement, mon histoire est devenue un roman que j'ai terminé à 99.99%.
Cette histoire, d'abord basée sur une romance, explore presque tous les genres de la littérature ; romance, fantastique, voyage temporel, thriller, comédie, tragédie, humour, vaudeville, le but étant de faire parcourir toutes les émotions possibles,

J'espère que cette histoire extraordinaire deviendra un jour un film.
____________________

Je dois aussi avouer que je lis depuis ma plus tendre enfance. Je ne pourrais pas citer tous les auteurs, certains étant oubliés, mais quelques-uns ont influencé ma plume. Je pourrais citer ; Pierre Magnan (La Maison assassinée), Martin Winckler (Le chœur des femmes), Sarah Lark (Saga du nuage blanc), Amy Harmon (Ce que murmure le vent), Douglas Kennedy (La femme du Vème), Diana Gabaldon (Outlander), Agatha Christie (toute son œuvre), Claire Castillon (son style d'écriture), Iain Pears (Le cercle de La Croix) , Kathleen McGowan (la saga Madeleine), Dan Simmons  (L'échiquier du Mal, José Rodrigues dos Santos (La formule de Dieu), Andrea H. Japp (La dame sans terre), Katherine Neville (Le huit), Mathilde Asensi (Caton et autres), Ken Follett (Les piliers de la terre), Hervé Bazin (Vipère au poing), François Mauriac (je ne me souviens plus duquel), Maurice Druon (Les rois maudits), Bernard Simiot (Ces messieurs de Saint-Malo), Françoise Mallet-Joris (Les larmes), Patrick Suskind (Le parfum), Tatiana de Rosnay (Le cœur d'une autre), Maylis de Kerangal (Réparer les vivants) et bien d'autres... Beaucoup d'autres...

_____________________________CLUB VALENTINE (CV) _____________________________

Concernant le roman, il est déposé à la SGDL. Il s'agit d'une intrigue sentimentale, mélangeant la science et l’univers fantastique (que je différencie de la fantasy). L'ensemble du récit se situe à une époque contemporaine et se trouve mélangé à quelques pages de l'Histoire de France. De plus, plusieurs thèmes sont traités dans cette histoire a effet domino ; le monde de la mode, la médecine, la science, les expériences de mort imminente, la généalogie, l'ADN, l'archéologie, le mystère de la dame blanche, etc..
Pour paraphraser la formule utilisée par Michel Bussi dans son ouvrage « La fabrique du suspense », il s'agit d'un roman « total » où presque tous les thèmes de la littérature sont présents (ainsi que quelques courtes séquences relatives à la nature humaine, puisqu'il s'agit d'une histoire d'amour, voire passionnelle).

____________________

Et puisque j’y suis et sans trop spoiler l'histoire, cette intrigue sentimentale va se fondre dans l'irrationnel à travers le personnage d'Isabelle Tuttavilla (alias Isabelle Bohon), une prof de français, laquelle invite Olivier Prevel, polytechnicien et docteur en astrophysique, à un vernissage au musée d'Orsay.
Au cours de la visite, tout dérape en raison de l'exubérante personnalité de la jeune femme. En fin de soirée, Isabelle se sent obligée de raccompagner Olivier chez lui (après qu'il eut fêté son anniversaire avec elle). À l'intérieur d'un appartement cossu, elle se rend compte de la présence d'une bien surprenante horloge, car celle-ci est étonnamment comparable à celle que possède sa mère dans un moulin qui se situe en Normandie. De plus, sur celle qu'elle visionne, il s'avère que ce meuble présente d'étranges inscriptions au cœur du corps en bois. À l'issue de longues interrogations sur l'existence de cette horloge dans l’appartement, Isabelle et Olivier vont tomber en amour et vont apprendre à se connaître. Si Olivier, par sa formation scientifique, se veut rationnel et cherche toujours à apporter des explications satisfaisantes, on ne pourrait pas dire que ce soit la même chose d'Isabelle qui, elle, est habitée récurremment par des rêves inquiétants provenant du passé, puisqu'il lui semble revivre les derniers instants d'une femme qui fut condamnée à mort pour sorcellerie et qui fut brûlée vive au sein de la forteresse de Neufchâtel.
Au fil des jours heureux, la réalité va prendre le dessus, les deux amoureux s'obligeant à enquêter sur la matérialité de deux horloges jumelles, ce qui va les entraîner dans les méandres de l'histoire de France ; Moyen Âge au sein de la forteresse de Neufchâtel-en-Bray et au cours de la Révolution française. Ce qu'ils vont découvrir va les surprendre, surtout Olivier qui ne pourra pas dévoiler à sa dulcinée un lourd secret qu'un prêtre lui aura révélé, ce qui aura des conséquences pour le couple et ce qui entraînera des effets domino pour eux et quelques-uns de leurs proches.

8
œuvres
4
défis réussis
16
"J'aime" reçus

Œuvres

Défi
hervelaine

« Où suis-je ? Que m’est-il donc arrivé ? »
Dans la petite pièce où elle se découvrait, Alix parvint à se lever malgré la douleur qui lui tenaillait le poignet. Cette douleur inattendue lui rappela qu’elle se trouvait dans un taxi lorsque celui-ci s’était volontairement encastré dans une boutique de chaussures sur le boulevard Saint-Michel.
Reprenant peu à peu ses esprits, elle déroula le film qui s’était joué juste avant et au moment de l’accident.
Ainsi, elle se souvenait qu’elle échangeait quelques mots aimables avec la conductrice qui se prétendait de son bord politique, car elle l’avait reconnue, avait-elle affirmé, lorsque le taxi avait changé soudainement de direction, montant sur le trottoir et évitant des promeneurs, pour aller se fracasser contre cette malheureuse boutique. Le choc avait été particulièrement violent.
La vitrine avait littéralement éclaté, distribuant les morceaux de verre sur le trottoir. Peu après, sauveteur était intervenu, ouvrant la portière de droite pour la sortir du véhicule.
Mauvaise pioche, car Alix avait vite compris que ce sauveteur n’en était pas un puisqu'il s'était assis à ses côtés pour lui entraver les poignets, tandis que la conductrice lui appliquait un mouchoir chloroformé au niveau de sa bouche et de son nez.
« Tout a dû se passer très précipitamment, je présume. Chacun était déjà à son poste pour me faire tomber dans un piège. »
Alix se leva de son lit. Elle s’aperçut qu’on l’avait déshabillée pour lui enfiler une sorte de tenue de sport et que ses pieds étaient nus. Près de la porte, d'apparence blindée, une paire de crocs lui était destinée pour empéchér toute fuite. Une petite lucarne indiquait qu'il faisait jour et que le temps était maussade.
« Impossible de fuir par cette fenêtre ni de courir avec ce type de sabots en plastique ! »
Prenant de l’assurance, elle arpenta la pièce et découvrit un petit réduit dans lequel se trouvaient un évier et un vulgaire seau de toilette. Elle repéra aussi, au-dessus de la porte, une caméra qui la surveillait.
« Pas de toilettes dignes de ce nom ? »
Ouvrant le robinet, elle eut envie de boire un peu de cette eau fraîche pour découvrir son goût.
« Mais qui donc a eu l’audace de m’enfermer ici, dans ce lieu carrément sordide ? »
Dans son esprit, les ravisseurs pouvaient être nombreux, car chacun y avait des intérêts.
Profitant de son isolement, elle souhaita assurer un besoin naturel, devenu maintenant pressant. Baissant le pantalon, elle aperçut un large bandage au niveau de sa cuisse.
« J’ai donc été blessée dans l’accident… Qui m’a soignée ? Et si c’était un coup de José ? Cela pourrait être celui de Hodan aussi, à moins que Noémie Le Guen ait appris que je manigançais contre elle pour prendre la direction du parti… à moins que… »
5
5
12
2
Défi
hervelaine

En pleine nuit, des individus encapuchonnés me sortent du lit et m’obligent à les suivre jusqu'à un vieux corbillard tiré par d’étranges chevaux. Là, l’homme qui semble être leur chef me fait une clé du bras qui me contraint à me diriger vers un cercueil vétuste… À cet instant, les idées les plus sombres me parcourent l’esprit. Que me veulent-ils exactement ?
5
4
0
0
Défi
hervelaine

Pour ce défi, j'ai choisi un extrait du chapitre 15 du roman "Les amants de l'éternité" .

J’avais essayé de décourager ses ambitions, bien qu’elle fût loin de m’être indifférente, la belle Astrid. Elle m’avait embrassé sur la bouche, et en quête d’une échappatoire, je lui avais proposé de nous balader au parc Monceau, dans l’espoir de lui refroidir les esprits.
Modifiant mon plan, je l’avais entraînée vers la station Malesherbes, puis l’avais invitée à prendre le métro, direction place du Châtelet. Là, la providence nous avait fait dériver vers les berges de la Seine. À ses côtés, je me sentais vraiment dépité, tandis que je fouillais dans mon imagination, recherchant une issue pour contrarier son obsession du moment, mais comment lui faire changer d’idée ? Que lui confesser ? Visiblement heureuse par notre promenade sur les quais, pouvais-je lui avouer que je partageais la couche d’une femme un peu plus âgée qu’elle ? Comment aurais-je pu me douter qu’Astrid s’était entichée de moi, alors que je lui avais déjà refusé un baiser le jour même où elle était devenue bachelière ? Depuis la seconde, je l’avais toujours considéré comme la petite sœur qui me manquait. Mon sentiment s’apparentait-il à de l’amour platonique ? Seule Anne-Liesse pourrait répondre, m’aurait affirmé Isabelle.
Maintenant, si j’en étais arrivé à cette situation ambiguë, c’était à cause d’Astrid qui, outre son désir de rester vierge jusqu’à son mariage, n’avait jamais envisagé de vivre une romance avec moi pendant notre scolarité. Au début des vacances d’été, j’avais pu faire la connaissance de Vanessa avec qui j’avais commencé à flirter, mais après qu’elle eût disparu de la circulation, sans laisser d’adresse, j’avais recherché un sens à mon existence en me réfugiant dans la plus profonde des solitudes. C’est de nouveau Astrid qui m’avait tiré de ma léthargie, ce qui nous avait permis de nous rapprocher davantage en devenant les meilleurs amis du monde jusqu’au jour où j’ai compris qu’elle entamait une démarche affective qui nécessiterait le temps qu’il lui faudrait.
À proximité du pont des Arts, Astrid m’avait suggéré de traverser la Seine pour rejoindre l’École supérieure des Beaux-Arts par la rue Bonaparte. Sur les quais, riant aux éclats, sautillant à cloche-pied sur les pavés disjoints, marchant à reculons, sans doute devait-elle pressentir de futurs moments heureux en ma compagnie ? Comment s’expliquer franchement lorsque s’installent des pépites de désir dans les yeux de votre meilleure amie qui, dans sa douce folie, prenait des risques inconsidérés en longeant la margelle bordant la Seine ? Cela m’avait obligé à lui saisir le poignet de peur qu’elle ne glisse et tombe dans l’eau trop froide à cette époque de l’année. Sa main fusionnée dans la mienne, nous étions remontés sur le quai des Tuileries pour franchir le fleuve. Cette idée n’avait pas été la meilleure qui soit, car le résultat n’avait pas été à la hauteur de mon espérance, ayant vécu ce jour-là un véritable vaudeville.
Je garde encore en mémoire les jambes d’Aurore tricotant à toute allure sur la passerelle pour venir à ma rencontre. Erreur de ma part, car elle s’était ruée comme une furie sur la pauvre Astrid qui ne comprit pas la raison de cette gifle magistrale qui l’avait envoyée valdinguer contre un réverbère. Bouche bée devant la tournure qu’avait prise cette balade improvisée, ce fut à mon tour de recevoir une raclée. Il me fut impossible de contrer Aurore qui avait enchaîné les soufflets sans que je puisse les empêcher. Les promeneurs s’étaient alors arrêtés instantanément, braquant leurs yeux sur nous. En moins de temps qu’il ne fallait pour le dire, j’avais pu découvrir une jeune comtesse au caractère docile, transformée en véritable tigresse, faisant tournoyer son sac à main dans les airs pour me le lancer à la figure. Si j’avais réussi à esquiver la première attaque, je m’étais demandé comment parer la seconde. C’est bien grâce à la réaction heureuse d’Astrid, qui avait récupéré ses esprits, que j’avais pu éviter le choc. J’avais vu ma vaillante camarade se précipiter sur Aurore, stylée et bon chic bon genre, pour lui administrer des coups de poing et de pieds en rafale. N’en restant pas sur cet avantage, Astrid avait agrippé l’agresseuse par le cou, la faisant trébucher sur le tablier du pont. Aurore, qui ne s’était pas laissée impressionner par la jouvencelle, s’était vite rattrapée, s’accrochant au chemisier d’Astrid qu’elle déchira sauvagement.
Considérant le quiproquo qui se tenait devant moi, j’avais dû jouer les arbitres, recherchant désespérément à isoler deux demoiselles de bonne famille qui voulaient en découdre comme si leur propre survie en dépendait. Tandis que les gifles et les coups de pied pleuvaient dans toutes les directions, j’avais ressenti une vive douleur dans les parties génitales, n’ayant pu éviter à temps l’escarpin de la comtesse. C’est après avoir repris mon souffle contre le lampadaire que j’étais parvenu à séparer les deux belligérantes qui se traitaient de noms d’oiseaux. Après la mêlée, je les avais dévisagées séparément : l’une, Aurore qui, affichant un œil au beurre noir, récupérait le contenu de son sac à main qui s’était éparpillé autour d’elle ; l’autre, Astrid qui pleurait contre le réverbère, son chemisier lacéré et entrouvert, la manche arrachée. Pendant que les badauds comptaient les points, je tentais de réajuster la tenue de ma camarade pour cacher le téton qui transparaissait à travers son soutien-gorge, Aurore continuait de vociférer, vomissant tout son fiel à mon encontre. Sans que je puisse donner un seul éclaircissement ou exprimer un mot, la comtesse repartit dans la direction opposée afin de rejoindre son appartement de la rue du Bac. J’étais resté auprès d’Astrid pour la réconforter. Vexée et meurtrie d’apprendre que son assaillante était ma maîtresse depuis presque deux ans, Astrid s’était enfuie vers l’École des Beaux-Arts. Je présume que c’est peut-être grâce à cet épisode qu’elle s’orienta vers les arts plastiques. J’obtins de ses nouvelles lorsque Paul m’envoya un faire-part quelques années plus tard, découvrant avec grand étonnement le mariage d’Astrid avec mon meilleur ami.
1
4
6
4

Questionnaire de l'Atelier des auteurs

Pourquoi écrivez-vous ?

Parce que j'avais commencè à architecturer un scénario pour le cinéma. Finalement, ayant découvertle plaisir d'écrire, j'ai composé un roman à partir de ce scénario initial.

Listes

Avec Moscou sur Garonne (terminé), Le Pendentif, L'Affaire Nicole Dunham et Autres Crimes, Mélodie au couvent, Le diable à table...
Avec Le baron, Comme une longue plainte., L'extraordinaire secret de Justin (Tome 1), Terreurs courtes, La jeune fille et le loup, Les guerriers et la sorcière, La mystérieuse petite fille, La mystérieuse petite fille, La Garde 13 : Le Retour d'un Fantôme, L'antéchrist, L'antéchrist : les origines, Ainsi soit-Elle, Les arbres millénaires - partie 1, Ce qu'il m'a pris, Les Fantômes du Brightwell's, Expérience d'hypnose régressive, Au fantôme que j'ai aimé, Histoires Diaboliques, Du Châtiment à la Damnation, Les neuf portes, Les Ombres, Le Polar Hotel, Le Manoir des Temps Enfuis, Petites Commandes & envies érotiques 2, Mariages, fantômes & malédictions, Murmures dans la brume, Oddinary...
Avec Meurtre sur Scribay, Dans les pas d'Ilka, Deux mondes...
0