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1483 : au sein de la forteresse de Neufchâtel, en Normandie, une jeune femme, accusée faussement de sorcellerie, est immolée par le feu.
2013-2020 : Olivier, astrophysicien, s’éprend d’Isabelle, une prof de français, lors d’une visite au musée d’Orsay.
Mais qu’est-ce le hasard lorsque chacun d’eux constate que leur famille possède une ancienne horloge normande quasiment identique, sur lesquelles d’étranges inscriptions, datant de la Révolution française, ont été gravées sur la boiserie ?
Cette idylle improbable va les entraîner dans une quête intemporelle et spirituelle, laquelle va produire des bouleversements considérables en raison d’évènements étranges qui vont apparaître, d’abord chez la jeune femme, puis sur Olivier qui se sent contraint d’enquêter sur ce qui leur arrive.
Les étranges horloges seraient-elles la cause de ce que subissent les amoureux ? Qui est réellement cette mystérieuse dame blanche qui hante une vieille ferme cauchoise détenue par les parents d’Oliver ? S’agit-il d’une vieille légende ou d’une supercherie ?
Leur soif de connaître la vérité va les emporter dans les méandres de l’histoire de France et le dénouement de cette intrigue habitera l’esprit d’Olivier très longtemps, car il deviendra le dépositaire d’un lourd secret qui modifiera profondément sa vie.
2013-2020 : Olivier, astrophysicien, s’éprend d’Isabelle, une prof de français, lors d’une visite au musée d’Orsay.
Mais qu’est-ce le hasard lorsque chacun d’eux constate que leur famille possède une ancienne horloge normande quasiment identique, sur lesquelles d’étranges inscriptions, datant de la Révolution française, ont été gravées sur la boiserie ?
Cette idylle improbable va les entraîner dans une quête intemporelle et spirituelle, laquelle va produire des bouleversements considérables en raison d’évènements étranges qui vont apparaître, d’abord chez la jeune femme, puis sur Olivier qui se sent contraint d’enquêter sur ce qui leur arrive.
Les étranges horloges seraient-elles la cause de ce que subissent les amoureux ? Qui est réellement cette mystérieuse dame blanche qui hante une vieille ferme cauchoise détenue par les parents d’Oliver ? S’agit-il d’une vieille légende ou d’une supercherie ?
Leur soif de connaître la vérité va les emporter dans les méandres de l’histoire de France et le dénouement de cette intrigue habitera l’esprit d’Olivier très longtemps, car il deviendra le dépositaire d’un lourd secret qui modifiera profondément sa vie.
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Défi
« Où suis-je ? Que m’est-il donc arrivé ? » Dans la petite pièce où elle se découvrait, Alix parvint à se lever malgré la douleur qui lui tenaillait le poignet. Cette douleur inattendue lui rappela qu’elle se trouvait dans un taxi lorsque celui-ci s’était volontairement encastré dans une boutique de chaussures sur le boulevard Saint-Michel. Reprenant peu à peu ses esprits, elle déroula le film qui s’était joué juste avant et au moment de l’accident. Ainsi, elle se souvenait qu’elle échangeait quelques mots aimables avec la conductrice qui se prétendait de son bord politique, car elle l’avait reconnue, avait-elle affirmé, lorsque le taxi avait changé soudainement de direction, montant sur le trottoir et évitant des promeneurs, pour aller se fracasser contre cette malheureuse boutique. Le choc avait été particulièrement violent. La vitrine avait littéralement éclaté, distribuant les morceaux de verre sur le trottoir. Peu après, sauveteur était intervenu, ouvrant la portière de droite pour la sortir du véhicule. Mauvaise pioche, car Alix avait vite compris que ce sauveteur n’en était pas un puisqu'il s'était assis à ses côtés pour lui entraver les poignets, tandis que la conductrice l
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Défi
En pleine nuit, des individus encapuchonnés me sortent du lit et m’obligent à les suivre jusqu'à un vieux corbillard tiré par d’étranges chevaux. Là, l’homme qui semble être leur chef me fait une clé du bras qui me contraint à me diriger vers un cercueil vétuste… À cet instant, les idées les plus sombres me parcourent l’esprit. Que me veulent-ils exactement ?
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Défi
Pour ce défi, j'ai choisi un extrait du chapitre 15 du roman "Les amants de l'éternité" . J’avais essayé de décourager ses ambitions, bien qu’elle fût loin de m’être indifférente, la belle Astrid. Elle m’avait embrassé sur la bouche, et en quête d’une échappatoire, je lui avais proposé de nous balader au parc Monceau, dans l’espoir de lui refroidir les esprits. Modifiant mon plan, je l’avais entraînée vers la station Malesherbes, puis l’avais invitée à prendre le métro, direction place du Châtelet. Là, la providence nous avait fait dériver vers les berges de la Seine. À ses côtés, je me sentais vraiment dépité, tandis que je fouillais dans mon imagination, recherchant une issue pour contrarier son obsession du moment, mais comment lui faire changer d’idée ? Que lui confesser ? Visiblement heureuse par notre promenade sur les quais, pouvais-je lui avouer que je partageais la couche d’une femme un peu plus âgée qu’elle ? Comment aurais-je pu me douter qu’Astrid s’était entichée de moi, alors que je lui avais déjà refusé un baiser le jour même où elle était devenue bachelière ? Depuis la seconde, je l’avais toujours considéré comme la petite sœur qui me manquait. Mon sentiment s’appar
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Défi
Après que l’architecte et les deux gamines se furent retirés, je m’étais attelé à la tâche, sortant les livres de leur boîte pour les classer sur les rayonnages, suivant les étiquettes collées à la fois sur les traverses et sur les couvercles des cartons, sous l’œil vigilant d’Aurore qui aidait et veillait au bon ordonnancement. N’est-ce pas dans la dernière ligne droite qu’interviennent les catastrophes, m’avait déjà affirmé l’oncle Alexandre ? Je pouvais en témoigner puisque c’est de l’échelle à roulettes solidement arrimée au plafond que j’étais tombé de haut, m’étalant de tout mon long sur le dallage après avoir percuté mes épaules et la colonne vertébrale sur l’une des chaises. Presque assommé, j’étais resté allongé sur le sol, ne pouvant ressentir ni mes membres ni mon dos. Immobilisé, j’avais constaté que mon pantalon avait été déchiré et que je saignais au niveau de la cuisse en raison de la peau qui avait été arrachée. J’avais bien essayé de me relever, vociférant contre ma chaussure qui avait ripé en descendant la marche. Le bruit sourd avait alerté Aurore qui s’était précipitée pour me porter secours. Tous ces souvenirs sont demeurés vivaces dans ma mémoire : Aurore, aya
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Je suis consterné par ce qui m’atteint au plus haut point. L’oncle Alexandre a repéré ma liaison avec Isabelle. Depuis quelques jours, il me surveille en douce et a fait part de sa découverte à Mère qui a sauté dans le premier avion en partance pour Paris. Mon sommeil est fortement agité. Je me réveille, tourne dans le lit, constate qu’Isabelle est bien présente à mes côtés. J’essaie de me rendormir en collant ma peau contre la sienne. Je passe un bras sous l’oreiller. Ma tentative d’assoupissement est embrouillée, tandis que je plonge dans un rêve éveillé. Mon oncle Alexandre convoque le Tribunal… Il veut me soutirer moult explications sur l’idylle que j’ai nouée avec une femme qui, paraît-il, affiche toute la beauté du monde… Ma chère mère, qui s’est transformée en redoutable agent secret, a déjà enquêté sur celle qui partage mon existence et confirme les informations de l’oncle. Désormais, Mère n’ignore plus que ma bien-aimée a posé à moitié dévêtue pour un peintre. À partir de ce prétexte, elle s’est installée devant son bureau pour établir un rapport circonstancié, celui-là même que l’oncle Alexandre lit minutieusement au juge avant d’affirmer : « plus je regarde cette femme,
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J'étais disposé à répondre au défi de @paname@, concernant un portrait peu flatteur. Mais lorsque j'ai souhaité le publier, j'ai bien vu que je ne respectais pas les contraintes. Je vais donc le déposer à part. Le portrait suivant est une relique découlant d’anciens textes liés au roman « Les amants de l’éternité ». Depuis, il a été abondamment retravaillé et intégré dans la version actuelle, en plus courte et à une place différente. Il concerne Germaine Verdier dite Gueule-de-Broc, épouse Debeaulieu, un personnage inventé. Le contexte : Olivier est invité dans un petit village normand et va apercevoir une personnalité locale qui avance dans sa direction. À ce moment précis, il va la croiser, sait déjà à qui il a affaire. En esprit, il va débiter une sorte de litanie… _____________ « Gueule-de-Broc, je ne connais pas encore, mais j'ai la ferme volonté de te découvrir. D'ailleurs de loin, je t'ai tout de suite reconnue. Certains te décrivent comme une sorcière. Tu sais, je pavoise en prononçant cela. Mais je t'assure que tu as devant toi un esprit cartésien. Du moins, restons modeste, je me range de ce côté-là. J'ai l'impression que tu es une femme originale, pas une mauvaise femme.
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Extrait du chapitre 12 "Coeur de troubadour "du roman "Les amants de l'Éternité". Isabelle a glissé un petit billet dans la pochette de la veste d'Olivier. Aimer, c’est conjuguer, Les verbes qui font frissonner, Nos âmes et nos cœurs tout entiers, Goûter nos baisers, Découvrir nos corps, Caresser nos peaux, Regarder nos yeux, Explorer nos âmes, Et mourir de désir, Pour brûler de plaisir… C’est simplement nous adorer, Comme nous sommes, Main de velours, Cœur de troubadour, Alors amour pour toujours. Isabelle
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