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Sansa33470
La flamme d'Hermès est une romance mythologique mettant en scène Hermès, dieu des voleurs et principal messager des dieux de l'Olympe, et son idylle avec une mortelle, Polymèle, fille de Phylas.

L'histoire est avant tout une fiction avec plusieurs passages inventés pour les besoins du récit.
Il ne s'agit que du premier jet, le récit fera l'objet d'une sérieuse correction/réécriture/relecture.
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Il s'agit d'une série de plusieurs acrostiches, traitant de toutes les thématiques possibles. Ils ne sont pas forcément liés entre eux.
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Il s'agit de toutes les nouvelles publiées sur la plateforme Short Editions, qui vient tout juste de changer de modalités et de format. L'ensemble des histoires évoque plusieurs registres: fantastique, historique, policier, thriller etc...

Les textes ont été corrigés plusieurs fois mais toute annotation est la bienvenue.
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Comment un visiteur dans un Musée se retrouve embarqué en plein XVème siècle !
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Une princesse voleuse et capricieuse fait son apprentissage de la vie.
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Défi
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Vole et va où tu veux Eternel sera ton voeu Repos bien mérité est de coutume Souris donc à cette nouvelle vie sans amertume. Les nuages t'accueilleront avec ferveur Eclatante et de bonne humeur. Couleurs joyeuses sont au rendez-vous Il est important de s'en soucier plus que tout. Et à présent le festin se trouve là-bas, Les apéros comme les gâteaux n'attendent que toi.
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Défi
Sansa33470
Je ne connaissais que son prénom : Fabrice. Je déambulais avec mon troupeau de chèvres sur un petit chemin, en plein cœur du Val d’Aoste, lorsqu’il apparut en uniforme sur son cheval au galop, le visage fatigué, accentué de cernes. Il vint à ma rencontre et me demanda son chemin ; il semblait perdu, triste et nerveux comme s’il s’était attiré des ennuis. Je lui proposai alors de l’amener au village voisin situé à deux kilomètres, une fois le troupeau ramené à la bergerie. Lorsque nous arrivâmes à l’entrée du village, je lui indiquai le nom de l’auberge principale. Lui, me fixait de ses yeux noirs et en effet, il me troublait. J’étais pourtant promise à Simon, un fils de berger que je devrais épouser deux jours après mon dix-huitième anniversaire. Peut-être ressentait-il le besoin d’avoir de la compagnie ou de se confier à quelqu’un, je ne saurais le dire. Toujours est-il que la situation était à la fois excitante et inattendue. Il me demanda mon prénom et je lui répondis « Angelica », lui rendant mon sourire. Que s’est-il passé ensuite ? Tout est allé très vite notamment cet instant où nous nous couvrîmes de baisers et de caresses dans le bois, non loin de la bergerie. Je criai plu
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Défi
Sansa33470
-Mademoiselle, vous m'entendez? Des bribes de voix me parvinrent peu à peu mais mon inconscience m'emprisonnait encore. Mes yeux s'ouvrirent progressivement puis une vision singulière s'offrit à moi. Deux hommes et trois femmes m'entouraient. Et à en juger par leurs blouses blanches, je n'eus aucun mal à réaliser que je me trouvais dans une chambre. Une chambre d'hôpital. Ce qui me frappa en premier lieu fut la blancheur immaculée des murs. Je mis un certain temps à me redresser sur ce lit, lui aussi très blanc. L'un des hommes, sûrement l'un des médecins en chef - la quarantaine et des yeux noirs perçants - s'adressa à moi d'une voix douce et, à ma grande surprise, dans un français parfait: -Mademoiselle, vous semblez revenir peu à peu à vous. Pouvez-vous me dire votre nom? La question me prit un peu au dépourvu, et je ne sus quoi répondre. Je lui retournai alors ma question: -Depuis combien de temps je suis ici? Et qu'est-ce qu'il s'est passé? -Presque un jour, lui répondit le médecin. Un jeune homme vous a retrouvé inconsciente sur le trottoir. Vous étiez allongée, recroquevillée sur vous-même. Il a jugé bon de vous amener ici. Votre regard m'indique que vous semblez perdu. J'ai
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Défi
Sansa33470
Ouverture des yeux à 08h35-9h00 grand maximum. Une journée tranquille en somme. Le petit déjeuner à la cool avec des tartines de beurre et de confiture à la pomme. Et ensuite la douche, choix des fringues. Une petite escapade à cultura pour un nouveau livre, une réécriture de Roméo et juliette cette fois-ci. Plus tard dans la journée, petit ménage de la maison avant le repas. Pourquoi pas un début de visionnage de la série live action One Piece après ? Vers l’heure du goûter, une caresse à mon chat fana de ses boîtes de viandes gourmet. La nonne 2 au cinéma pour le soir, chouette idée ! Pas de film d’horreur sans les mains derrière le visage… Retour à la maison et dîner rapide, sans une trop grosse faim. Grosse envie du premier chapitre mais les paupières en vrac. Sommeil imminent. Le lendemain, rebelote avec le petit déjeuner mais autre chose de prévu ensuite. Des courses et de l’entretien au planning. Rien dans la boîte aux lettres. L’après-midi, lecture, écriture, film et art-thérapie. Toute une petite tranche de vie sympa avant la réapparition du travail et des semaines plus rapides. Ce week-end, probablement une promenade à vélo, un peu de sport aussi et la continuité des acti
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Défi
Sansa33470
Ses petites ailes grisonnantes étaient trempées. Une pluie torrentielle était tombée alors que Lili et son coq de mari, Titi avaient quitté le poulailler clandestinement en début d’après-midi. Les deux amants avaient prévu de s’enfuir le plus loin possible, là où les humains qui leur tenaient lieu de propriétaire, ne pourraient jamais remettre la main sur eux. Une fois qu’ils furent suffisamment loin de leur prison, Lili et Titi ralentirent la cadence. Ils aspiraient à la liberté depuis si longtemps et la vie dans la basse-cour n’était plus envisageable. Titi n’arrivait plus à chanter correctement à l’aube tellement l’angoisse de se faire couper le cou était palpable. Lili, quant à elle, rencontrait des difficultés pour pondre de nouveaux œufs. L’envie de partir se fit de plus en plus sentir même au péril de leurs vies. Tous les deux s’étaient aimés dès leur première rencontre et l’un ne ferait absolument rien sans l’autre. Leur amour était indestructible. Lorsque la nuit tomba, les deux volatiles se trouvaient dans un petit sous-bois. L’air était frais mais la pluie avait cessé son déluge. -Lili, écoute moi…on devrait peut-être se reposer pour la nuit. On se cachera dans des buiss
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Sansa33470
Nouvelle que j'avais écrite et publié librement sur Short-Edition. J'avais vu une vidéo youtube qui m'avait pas mal inspirée. 5 Juin 1975. L’enregistrement battait son plein dans la salle. Des sons de guitares, batterie et claviers résonnaient au rythme des reprises de morceaux déjà composés et recommencés encore et encore. David avait intérêt à se dépêcher. Aujourd’hui, c’était le grand jour : son mariage avec Ginger. Il avait hâte de ce moment. Avant de commencer le mixage de Shine On You Crazy Diamond, le groupe fit une pause. Nick, le batteur alla aux toilettes. David fit alors quelques raccords avec sa guitare tandis que Rick le claviériste alla se chercher un café. Quant à Roger, il était parti cinq minutes pour s’entretenir avec leur producteur. Les studios d’Abbey Road avaient fortement viré au calme après la séparation de John et sa bande. Heureusement, les Floyd avaient remis un peu d’humeur surtout depuis leur arrivée en 1967. Alors que le groupe était revenu et que Roger allait dire quelque chose – étant donné que Roger aimait s’exprimer – la porte de la salle s’ouvrit. Un homme corpulent, chauve, accompagné d’une poche plastique apparut à l’entrée. Il avait l’air hagar
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Friedrich enseignait le latin à l’université de Cologne, à défaut de n’avoir pu enseigner le Grec. Depuis l’enfance, la Grèce Antique le fascinait, sans doute à cause des histoires que lui contait sa grand-mère, elle-même férue de la richesse du passé. Hélas, il n’avait jamais eu l’occasion de s’y rendre, trop occupé qu’il était à batailler pour se payer un job d’été afin de financer ses études latinistes. Agé de quarante ans, il occupait un poste enviable de maître de conférences et était plutôt apprécié de ses étudiants, de par sa pédagogie et la capacité d’allier théorie et pratique. En parallèle, il était bien décidé à se rendre en Grèce une fois dans sa vie, et ce n’était pas sa femme, Kyra, qui s’y opposerait, bien qu’elle préférât la période de la seconde guerre mondiale. Cette année-là donc, ils partiraient pour trois semaines dans le pays des philosophes grecs, de Périclès et de bien d’autres personnalités célèbres de par les siècles. La période idéale pour voyager se situait entre le début du mois d’Avril et celui de Juin car la chaleur devenait très vite intenable. Lorsque Friedrich et son épouse arrivèrent la première semaine, ils décidèrent d’entamer un circuit des île
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