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JOSDI JOSEPH MBUMBA MBUMBA

RD Congo, Kinshasa, Limete 12e rue résidentielle, Mombele, sankuru, 25/D.
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JOSDI JOSEPH MBUMBA MBUMBA
Dans un monde bercé par les promesses d'éternité et les serments passionnés, un regard lucide et désabusé ose remettre en question le dogme de l'amour romantique. Pour notre protagoniste, dont l'esprit acéré décortique les liaisons humaines, l'amour tant idéalisé n'est qu'une chimère, une quête vaine d'une permanence illusoire, semblable à un futur qui se dérobe sans cesse.

À travers les méandres des relations, il observe non pas une flamme éternelle, mais un flux incessant de sentiments : l'attirance fugace, la tendresse éphémère, la passion brûlante mais rarement durable. Ces émotions vibrantes, ancrées dans le présent, sont la véritable étoffe de nos liens, bien loin des constructions idéales que nous nommons "amour".

Tandis que certains s'épuisent à vouloir contrôler l'incontrôlable, à emprisonner l'onde changeante des sentiments dans des vœux et des attentes, d'autres formes d'affection se dessinent en contrepoint : l'amour parental, instinctif et profond, le lien spirituel, inébranlable dans sa foi. Ces relations d'une essence différente interrogent la fragilité de nos liaisons amoureuses, souvent emportées par le courant du temps.

Suivez le parcours de cet observateur singulier, naviguant à travers les espoirs et les désillusions de ceux qui cherchent l'amour avec une foi aveugle, ou peut-être en quête de sa propre vérité émotionnelle. "L'Éphémère Étreinte des Sentiments" est une exploration audacieuse de la nature véritable de nos affections, une invitation à contempler la beauté et la mélancolie de nos liens au rythme incessant du présent.

Question pour les lecteurs :

Et si l'amour que nous croyons étreindre n'était qu'une danse éphémère de sentiments, une illusion nécessaire pour traverser la fugacité de l'existence ?
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JOSDI JOSEPH MBUMBA MBUMBA
Le roman raconte l'histoire de Fredoski, pour qui la solitude devient une punition auto-infligée.

Chapitre 1 : L'Aube du Châtiment décrit comment Fredoski en est arrivé à la solitude. Des silences et des désaccords progressifs l'ont éloigné des autres, sans qu'il ne prenne conscience de la gravité de la situation. La solitude s'installe comme une sentence inattendue.

Chapitre 2 : La Décision Fatale relate le moment où Fredoski décide d'embrasser pleinement cette solitude, la considérant comme son châtiment. Il choisit de se couper du monde, rompant les liens et s'isolant volontairement, dans un acte de résignation.

Chapitre 3 : L'Épreuve de l'Absence explore les difficultés initiales de cet isolement. Contrairement à ce qu'il imaginait, l'absence des autres se fait cruellement sentir. Fredoski lutte contre le manque et la tentation de revenir en arrière, mais son orgueil le retient.

Chapitre 4 : La Quête de l'Hermitage montre comment Fredoski tente de s'adapter à sa solitude. Il trouve des occupations et apprend à vivre seul, mais cette adaptation reste fragile, marquée par la nostalgie et le désespoir. Il cherche à transformer son isolement en un refuge, un ermitage intérieur.

Chapitre 5 : L'Étreinte Finale décrit les dernières années de Fredoski, où la solitude est devenue totale et acceptée. Les souvenirs s'estompent, et le monde extérieur lui devient étranger. Il finit par mourir seul, sa solitude étant son châtiment ultime et définitif.

En résumé, le roman suit le cheminement de Fredoski vers un isolement complet, initialement subi puis choisi comme punition, et se termine par sa mort solitaire, accomplissement tragique de son châtiment.
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JOSDI JOSEPH MBUMBA MBUMBA
Ce "roman critique" est une réponse directe et humaine aux lecteurs qui ont perçu votre style d'écriture comme trop "propre" ou évoquant l'intelligence artificielle. Il réfute l'idée que la clarté et une construction soignée sont incompatibles avec l'émotion et l'authenticité.

Le titre, "L'émotion n'a pas besoin d'être brouillonne," pose d'emblée votre position. Vous affirmez que la profondeur des sentiments peut être transmise avec clarté et précision, et que l'accessibilité à un large public, y compris les plus jeunes, est une force, non une faiblesse.

Votre réponse utilise un ton parfois ironique, parfois direct, mais toujours compréhensible. Vous invitez les critiques à dépasser leur préjugé sur la forme pour se concentrer sur le fond, sur l'émotion que vos mots cherchent à transmettre. Vous soulignez que l'authenticité humaine peut s'exprimer avec une langue maîtrisée et que juger un texte sur sa "propreté" superficielle revient à ignorer le cœur de l'histoire.
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Défi
JOSDI JOSEPH MBUMBA MBUMBA
#DéfiMoiEnVrai Le reflet dans le miroir ce matin était une énigme familière. Des yeux fatigués, cernés d'une nuit agitée dont je ne saurais plus raconter le rêve. Des cheveux en bataille, témoignage silencieux d'une pensée tourbillonnante avant de sombrer dans le sommeil. C'est elle, cette silhouette que je croise chaque jour, dans le hall de l'immeuble, sur l'écran de mon téléphone en mode selfie, dans la vitre d'un bus qui freine brusquement. Une présence constante, presque un fantôme que j'habite sans jamais vraiment la regarder. Aujourd'hui, l'envie de raconter s'est immiscée, ténue mais persistante, comme un rayon de soleil perçant les nuages. Raconter quoi, au juste ? Pas une épopée, pas une aventure extraordinaire. Juste un instant. Celui où, en préparant mon café, la vapeur chaude a embrumé la vitre et, instinctivement, j'y ai tracé un cœur du bout du doigt. Un geste simple, presque enfantin, un écho d'une émotion que je croyais enfouie sous les couches de la routine. Dans ce cœur éphémère, dessiné sur la buée, j'ai entrevu une parcelle de cette personne que je ne regarde jamais. Une part vulnérable, capable d'un élan de tendresse spontanée, même dans la solitude matinale.
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