
JOSDI JOSEPH MBUMBA MBUMBA
Un esprit créatif aux multiples facettes : de la plume au pixel, du code au mic' !
Né un 24 janvier 2003 au sein d'une famille de six enfants à Matadi, au cœur du Kongo Central, je suis JOSDI-JOSEPH MBUMBA MBUMBA, mais sur la scène artistique, vous me connaissez sous le nom de YESIAMROIZER. Fils de Boniface MBUMBA MBUMBA PLAMERJOS, un homme de valeurs qui m'a beaucoup appris, et de Bérénice BULENDOLO NZITA MAMOU, ma source d'inspiration inépuisable, mon parcours est une riche mosaïque de passions.
Aujourd'hui étudiant à l'illustre Université de Kinshasa (ex-Lovanium), au sein de la faculté des Sciences et Technologies, je me plonge avec enthousiasme dans le monde fascinant des Mathématiques, Statistiques et Informatique. Cette rigueur scientifique nourrit mon autre grande passion : le développement web et mobile, où je transforme les idées en réalité grâce au pouvoir du code.
Mais mon âme d'artiste ne s'arrête pas là ! Infographiste passionné, je manie les outils numériques pour donner vie à des univers visuels captivants. Et lorsque l'inspiration me saisit, je deviens YESIAMROIZER, le rappeur, jonglant avec les mots, le flow et la profondeur pour partager mes histoires et mes visions du monde.
Mon parcours académique, marqué par l'obtention d'un diplôme en Latin Philosophie au Complexe Scolaire Éclair/Inga, témoigne de ma soif insatiable d'apprendre et de comprendre les complexités de notre existence. Aujourd'hui basé à Kinshasa, cette ville bouillonnante est une source constante d'énergie et d'idées pour toutes mes créations.
À travers mes écrits, je vous invite à explorer un univers unique où les rimes percutantes rencontrent l'élégance des algorithmes, où la puissance de la création visuelle s'harmonise avec la logique implacable du code. J'ai hâte de partager avec vous mes textes et d'échanger sur ce voyage artistique et intellectuel. Soyez les bienvenus dans mon atelier !
Œuvres
À travers les méandres des relations, il observe non pas une flamme éternelle, mais un flux incessant de sentiments : l'attirance fugace, la tendresse éphémère, la passion brûlante mais rarement durable. Ces émotions vibrantes, ancrées dans le présent, sont la véritable étoffe de nos liens, bien loin des constructions idéales que nous nommons "amour".
Tandis que certains s'épuisent à vouloir contrôler l'incontrôlable, à emprisonner l'onde changeante des sentiments dans des vœux et des attentes, d'autres formes d'affection se dessinent en contrepoint : l'amour parental, instinctif et profond, le lien spirituel, inébranlable dans sa foi. Ces relations d'une essence différente interrogent la fragilité de nos liaisons amoureuses, souvent emportées par le courant du temps.
Suivez le parcours de cet observateur singulier, naviguant à travers les espoirs et les désillusions de ceux qui cherchent l'amour avec une foi aveugle, ou peut-être en quête de sa propre vérité émotionnelle. "L'Éphémère Étreinte des Sentiments" est une exploration audacieuse de la nature véritable de nos affections, une invitation à contempler la beauté et la mélancolie de nos liens au rythme incessant du présent.
Question pour les lecteurs :
Et si l'amour que nous croyons étreindre n'était qu'une danse éphémère de sentiments, une illusion nécessaire pour traverser la fugacité de l'existence ?
Chapitre 1 : L'Aube du Châtiment décrit comment Fredoski en est arrivé à la solitude. Des silences et des désaccords progressifs l'ont éloigné des autres, sans qu'il ne prenne conscience de la gravité de la situation. La solitude s'installe comme une sentence inattendue.
Chapitre 2 : La Décision Fatale relate le moment où Fredoski décide d'embrasser pleinement cette solitude, la considérant comme son châtiment. Il choisit de se couper du monde, rompant les liens et s'isolant volontairement, dans un acte de résignation.
Chapitre 3 : L'Épreuve de l'Absence explore les difficultés initiales de cet isolement. Contrairement à ce qu'il imaginait, l'absence des autres se fait cruellement sentir. Fredoski lutte contre le manque et la tentation de revenir en arrière, mais son orgueil le retient.
Chapitre 4 : La Quête de l'Hermitage montre comment Fredoski tente de s'adapter à sa solitude. Il trouve des occupations et apprend à vivre seul, mais cette adaptation reste fragile, marquée par la nostalgie et le désespoir. Il cherche à transformer son isolement en un refuge, un ermitage intérieur.
Chapitre 5 : L'Étreinte Finale décrit les dernières années de Fredoski, où la solitude est devenue totale et acceptée. Les souvenirs s'estompent, et le monde extérieur lui devient étranger. Il finit par mourir seul, sa solitude étant son châtiment ultime et définitif.
En résumé, le roman suit le cheminement de Fredoski vers un isolement complet, initialement subi puis choisi comme punition, et se termine par sa mort solitaire, accomplissement tragique de son châtiment.
Le titre, "L'émotion n'a pas besoin d'être brouillonne," pose d'emblée votre position. Vous affirmez que la profondeur des sentiments peut être transmise avec clarté et précision, et que l'accessibilité à un large public, y compris les plus jeunes, est une force, non une faiblesse.
Votre réponse utilise un ton parfois ironique, parfois direct, mais toujours compréhensible. Vous invitez les critiques à dépasser leur préjugé sur la forme pour se concentrer sur le fond, sur l'émotion que vos mots cherchent à transmettre. Vous soulignez que l'authenticité humaine peut s'exprimer avec une langue maîtrisée et que juger un texte sur sa "propreté" superficielle revient à ignorer le cœur de l'histoire.