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Anna Walders

Anna Walders
Il y a quelques années de cela, en vidant le grenier de la maison familiale, j’ai trouvé, au fond d’une armoire plus que centenaire, un paquet de lettres et deux carnets de croquis de machines de chantier, le tout datant de la fin du XIXe siècle. Ce roman est directement inspiré des échanges épistolaires de cette époque entre un jeune ingénieur, embauché sur le chantier du canal de Panama, et sa famille.

Entre prouesses techniques, défis colossaux et tragédies humaines

C’est avant tout un roman d’aventure avec l’Histoire en toile de fond.
La construction du Canal de Panama, initiée par Ferdinand de Lesseps est restée dans les annales comme un scandale financier hors norme, assorti d’une faillite mémorable, principalement dû à des problèmes de financement et à la sous-estimation des défis sanitaires, notamment le paludisme et la fièvre jaune.

Le canal a été bâti au prix de la sueur et du sang de plus de 75 000 travailleurs venus des quatre coins du globe. Les conditions de vie difficiles, les maladies et les accidents ont coûté la vie à environ 6 000 d'entre eux. Cependant, cette œuvre titanesque a également été un creuset de cultures, où des communautés d'origines très diverses ont partagé leur quotidien, formant un melting-pot culturel unique en son genre.

Certains personnages comme Henriette Calvet et Paul Gauguin ont bien existé, tout comme F. Martorana (apparenté à une « grande famille » maffieuse célèbre en Sicile, et d’autres aussi pour lesquels j’ai modifié les noms car il y a encore, pour certains d’entre eux, des descendants vivants.

La recherche documentaire, faite à temps perdu, a duré 5 ans.

Bonne lecture
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Anna Walders
Cette nouvelle de 15 pages relate l'inondation du Rhône de 1848 qui fut l'une des plus importantes crues du XIXe siècle avec celle de 1856. Ce qui explique en partie le titre de ce texte.
Mais cet événement dramatique n'intervient dans le récit que pour régler une histoire de famille compliquée qui aurait pu se dérouler de nos jours. Car en dehors de l'époque et du siècle, rien ne change vraiment : ni les familles ni les conséquences catastrophiques des inondations...
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Anna Walders
Une journée d'été caniculaire du côté d'Avignon, plutôt banale.
Cette nouvelle aurait pu s'intituler : "Une hirondelle m'a dit"...
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Anna Walders
J’ai découvert ce graffiti lors de l’exposition organisée par le Centre des monuments nationaux (2018) dans neuf lieux différents, dont le château de Vincennes où, jusqu’au XIXe siècle, il y a eu beaucoup de prisonniers politiques. 

C’est aussi celui qui m’a donné l'envie de raconter, sous forme de nouvelle, ce qui se cache derrière cette inscription sibylline qui orne, parmi d'autres, l'un des murs du Fort de Vincennes.

Le graffiti, geste spontané tel un griffonnage d’écolier, ne s’inscrit pas forcément dans une démarche artistique. Geste libérateur, d’évasion, de revendication, il est aussi la marque d’un évènement mémorable ou bien, il a simplement rythmé le quotidien de personnes emprisonnées.

Aujourd’hui le graffiti connaît un regain de popularité car il est associé au street-art, mais on oublie que ces inscriptions datant parfois de plusieurs millénaires, sont des témoignages historiques qui ont beaucoup à raconter...

Bonne lecture.
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