Knoevenagel
Coucou! Merci de ta visite!
Je reprends l'écriture après une longue pause.
Mon but est de m'améliorer afin d'écrire des choses merveilleuses. Les critiques constructives et détaillées sont plus que bienvenues! N'hésitez pas, je ne me vexe pas facilement, tous les moyens sont bons pour perfectionner mon style avec vous!
J'espère que vous passerez un bon moment en me lisant, laissez un commentaire, donnez votre avis, rien ne me fais plus plaisir que de savoir ce que vous pensez de mes écrits, je prendrais la peine de vous lire en retour.
Certaines choses que j'écris décrivent des phénomènes bien réels et des histoires vraies (pour certaines), si vous avez envie d'en parler en MP, vous êtes les bienvenus.
Il m'arrive d'écrire des nouvelles violentes ou très tristes, lisez bien le texte en description avant.
D'autres nouvelles sont plus douces et tranquilles.
Œuvres
Je n'ai fait qu'écrire les idées qui me passaient derrière la tête pour en faire des récits courts et légers.
Ces nouvelles courtes n'ont aucun lien entre-elles et couvrent divers genres: science-fiction, thriller, épouvante, dystopie, fantastique, certaines sont mêmes inclassables.
Certaines feront l'objet de récits plus longs et plus étoffés.
Pourtant, il me semble indispensable de raconter ces anecdotes insolites qui, autrement, seront perdues à jamais. Dans ce métier qui m'ennuie et m'horripile, ces histoires de vie sont uniques, c'est une chance de les avoir vécues au cours de mon exercice. En ça je dois être reconnaissant, en ça je me doit de vous les raconter.
Certaines sont particulièrement douloureuses. Elles ont un rapport à la mort. A ma lourde responsabilité de gardien des poisons dans une société où l'on veut tout, tout de suite, sans les conséquences. Qui, pourtant, arrivent et se fichent de savoir que vous les avez recherchées sur internet et qu'elles ne faisaient pas si peur que ça.
J'ai vu des gens se foutre en l'air avec des médicaments pires que des drogues. Et des drogues pires que des médicaments. La détresse des uns, les blessures des autres. Les impasses thérapeutiques. Les erreurs que d'autres ont commises, et les miennes, dont je me souviendrais toujours.
La fois où j'ai failli tuer une patiente. La fois où un vieux monsieur triste m'a dit qu'il voulait mourir et qu'il voulait que je l'aide en lui donnant un toxique...
Et puis des choses plus légères et amusantes.
Probablement mal. Vous essayeriez de vous rassurer en vous disant que l'un des deux était un monstre. Que c'est de la faute de ceux qui vous ont mis dans cette situation.
A quel moment décideriez-vous de vous révolter? De ne plus jouer le jeu qui vous est imposé, au risque de provoquer encore plus de malheur?
Quant aux organisateurs de ces exécutions, se sentiraient-ils coupables où s'en laveraient-ils les mains? Après tout, ce ne sont pas eux qui appliquent directement la condamnation à mort.