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Ayme Ceh Kah

Après plusieurs mois de tergiversions, j'ai enfin sauté le pas.

En espérant que mes oeuvres, créées avec mes tripes, mon coeur et mon âme, trouvet écho dans les vôtres.

N'hésitez surtout pas à me donner vos avis, vos impressions, vos critiques. Tout est bon à prendre tant que c'est constructif. Car rien n'est possible sans une bonne fondation, solide, sans faille...

Toutes mes oeuvres sont protégées et les droits déposés.

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"J'aime" reçus

Œuvres

Ayme Ceh Kah

Honnêtement, pourquoi les gens se plaignent-ils des transports en commun parisiens ?
Quand on y réfléchit bien... je ne comprens vraiment pas pourquoi le métro est aussi mal-aimé.
Alors plutôt que de dire tout de suite que j'ai raison, autant te montrer pourquoi tu as tort, toi ! Oui, toi ! Qui oses te lamenter !
Oui, il y a énormément de personnes qui prennent le métro. Surtout en heure de pointe ! Les gens se collent, se frottent, tu sens les odeurs corporelles de tout le monde ! Dis Dieu merci ! Tu goûtes à la promiscuité humaine, humide, odorante ! C'est ça qui te fait te sentir vivant ! La chaleur humaine, il n'y a que ça de vrai ! Surtout en hiver ! Rien de tel qu'un corps transpirant d'un sportif ayant achevé son footing e frottant contre vous pour vous réchauffer !
Pardon, quoi ? Qu'entends-je ? Des pickpockets ? Meuh nan ! C'est leur emploi, tout aussi digne que le tien et le mien ! Considère que tu les aides dans leur travail en les laissant voler ton portefeuille et ton téléphone ! Penses-y. Ils te délestent des biens matériels ! Tu n'auras besoin ni de ton portable ni de tes cinq euros pour acheter tes clopes quand tu seras mort... donc autant les laisser s'en servir !
Ah, on passe au prix de l'abonnement qui augmente ? Je m'y attendais, jeune padawan ! Tu sais que plus le service est de qualité, plus c'est cher ? Comment fonctionnent les restaurants étoilés, les grandes marques ? Ils ne proposent que le meilleur ! Voilà pourquoi les prix sont élevés ! Dans le métro, tu rencontres du monde, tu étouffes presque mais quand tu en sors, tu ne peux qu'apprécier l'air frais ! Les stations de métro sont tellement bien qu'il y a même des personnes qui y dorment, tous les jours ! Les sièges doivent être confortables, il faudra que je teste un jour. Les gens y dorment si bien qu'ils y sont depuis des années.
C'est bon, je t'ai convaincu ? Non ? Une dernière chose pour t'achever de rentrer dans le côté lumineux de la force : quand tu cours pour choper un train, tu fais du sport ! Tu brûles des calories pour avoir de beaux abdos bien fermes ! Et quand le métro part sous tes yeux, dans tous les cas tu es gagnant, tu es arrivé à bon port et tu mets ta patience à l'épreuve ! Profites-en pour méditer !
Alors, qu'attends-tu ?
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Ayme Ceh Kah
Un pays gigantesque, deux royaumes que tout oppose.

L'une est une Princesse méprisée, haïe par tous. Constamment dans la fuite, ne tentant pas de redorer son image auprès des siens et ayant encore moins le courage de se donner la mort pour mettre un terme à ses souffrances. Dans ses veines circule l'essence noire des guerriers.

L'autre est un Prince sûr de lui mais cherchant sa place dans le monde, ayant fermé les yeux pendant de trop nombreuses années sur l'injustice et la souffrance de son peuple. Une prise de conscience, aussi douloureuse que nécessaire, le fera sortir de sa léthargie. Dans ses veines circule l'essence blanche des mages.

Deux êtres séparés par une faille immense coupant tout un pays en deux. Deux facettes d'une même pièce. Deux personnes différentes mais si semblables.

Tous les deux devront gouverner leurs royaumes respectifs et tous les deux abhorrent cette responsabilité. Mais leur destin est scellé à jamais. Personne ne leur a donné le luxe de choisir. Tous les deux sont condamnés à rendre leur propre vie meilleure, chacun de leur côté. Et ensemble, ils vont devoir s'entendre, se serrer les coudes, faire taire leurs peurs et leurs angoisses, renoncer à leurs rêves... pour l'avenir de Viraedra tout entier, car leur naissance les condamne.
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Ayme Ceh Kah


Je l’observe pendant qu’elle se déshabille lentement, comme pour entretenir la flamme, nourrir le brasier. A peine avait-elle laisser tomber son string que je me jette sur elle tel un sauvage. Nous basculons sur le lit. Je la dévore de baisers pendant qu’elle se crispe et se cambre.
Je la sens se liquéfier à mon contact.
Nous nous étions mis d’accord. Pas un mot. Pas un bruit. Autant mener l’affaire au plus vite.
Je libère mon érection de mon boxer tandis que je la vois jouer avec sa partie sensible. Je prends ma troisième jambe dans ma main gauche et écarte ses jambes avec ma main droite. Je me mets en position, inspire et me laisse engloutir en elle. Je la vois se mordre la lèvre mais ne pas émettre le moindre son. Je m’active et laisse mon esprit s’échapper de mon corps tandis que mon bassin se mouvait.
Aucune forme de plaisir. Physiquement je réagis. Il est normal que j’apprécie physiquement. Mais psychologiquement, j’étais loin. Loin. Très loin. Il me semble qu’elle aussi. Elle était sur le dos, les bras et les jambes écartés. Elle ne me regardait pas dans les yeux. Je ne me formalise pas plus que ça.
Autant mener l’affaire au plus vite.
Je sens la jouissance non-désirée monter en moi. Je sens ses muscles se crisper au fur et à mesure que mes mouvements devenaient plus brutaux, plus rapides. Je la vois ouvrir la bouche en grand et prendre une grande goulée d’air tandis qu’elle explosait autour de moi, palpitant encore quelques secondes avant de relâcher ses jambes. Je ne m’arrête pas pour autant, pas avant de ressentir cette fausse euphorie et de me déverser en elle sans retenue.
Nous nous étions à peine regardés. Mais mon sort était scellé. Elle me tenait entre ses mâchoires. Plus de retour en arrière possible.
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs

Pourquoi écrivez-vous ?

Parce que j'aimerais en faire mon métier. On m'a toujours dit qu'un emploi qui nous passionnait n'était pas vraiment un métier. J'aimerais vivre de ma plume et de mon imagination.
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