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Ayme Ceh Kah

Défi
Ayme Ceh Kah

Honnêtement, pourquoi les gens se plaignent-ils des transports en commun parisiens ?
Quand on y réfléchit bien... je ne comprens vraiment pas pourquoi le métro est aussi mal-aimé.
Alors plutôt que de dire tout de suite que j'ai raison, autant te montrer pourquoi tu as tort, toi ! Oui, toi ! Qui oses te lamenter !
Oui, il y a énormément de personnes qui prennent le métro. Surtout en heure de pointe ! Les gens se collent, se frottent, tu sens les odeurs corporelles de tout le monde ! Dis Dieu merci ! Tu goûtes à la promiscuité humaine, humide, odorante ! C'est ça qui te fait te sentir vivant ! La chaleur humaine, il n'y a que ça de vrai ! Surtout en hiver ! Rien de tel qu'un corps transpirant d'un sportif ayant achevé son footing e frottant contre vous pour vous réchauffer !
Pardon, quoi ? Qu'entends-je ? Des pickpockets ? Meuh nan ! C'est leur emploi, tout aussi digne que le tien et le mien ! Considère que tu les aides dans leur travail en les laissant voler ton portefeuille et ton téléphone ! Penses-y. Ils te délestent des biens matériels ! Tu n'auras besoin ni de ton portable ni de tes cinq euros pour acheter tes clopes quand tu seras mort... donc autant les laisser s'en servir !
Ah, on passe au prix de l'abonnement qui augmente ? Je m'y attendais, jeune padawan ! Tu sais que plus le service est de qualité, plus c'est cher ? Comment fonctionnent les restaurants étoilés, les grandes marques ? Ils ne proposent que le meilleur ! Voilà pourquoi les prix sont élevés ! Dans le métro, tu rencontres du monde, tu étouffes presque mais quand tu en sors, tu ne peux qu'apprécier l'air frais ! Les stations de métro sont tellement bien qu'il y a même des personnes qui y dorment, tous les jours ! Les sièges doivent être confortables, il faudra que je teste un jour. Les gens y dorment si bien qu'ils y sont depuis des années.
C'est bon, je t'ai convaincu ? Non ? Une dernière chose pour t'achever de rentrer dans le côté lumineux de la force : quand tu cours pour choper un train, tu fais du sport ! Tu brûles des calories pour avoir de beaux abdos bien fermes ! Et quand le métro part sous tes yeux, dans tous les cas tu es gagnant, tu es arrivé à bon port et tu mets ta patience à l'épreuve ! Profites-en pour méditer !
Alors, qu'attends-tu ?
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Ayme Ceh Kah
Un pays gigantesque, deux royaumes que tout oppose.

L'une est une Princesse méprisée, haïe par tous. Constamment dans la fuite, ne tentant pas de redorer son image auprès des siens et ayant encore moins le courage de se donner la mort pour mettre un terme à ses souffrances. Dans ses veines circule l'essence noire des guerriers.

L'autre est un Prince sûr de lui mais cherchant sa place dans le monde, ayant fermé les yeux pendant de trop nombreuses années sur l'injustice et la souffrance de son peuple. Une prise de conscience, aussi douloureuse que nécessaire, le fera sortir de sa léthargie. Dans ses veines circule l'essence blanche des mages.

Deux êtres séparés par une faille immense coupant tout un pays en deux. Deux facettes d'une même pièce. Deux personnes différentes mais si semblables.

Tous les deux devront gouverner leurs royaumes respectifs et tous les deux abhorrent cette responsabilité. Mais leur destin est scellé à jamais. Personne ne leur a donné le luxe de choisir. Tous les deux sont condamnés à rendre leur propre vie meilleure, chacun de leur côté. Et ensemble, ils vont devoir s'entendre, se serrer les coudes, faire taire leurs peurs et leurs angoisses, renoncer à leurs rêves... pour l'avenir de Viraedra tout entier, car leur naissance les condamne.
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Ayme Ceh Kah
Hello mon chéri. J’espère que tu prendras la peine de quitter ton ordi des yeux quelques instants pour jeter un coup d’œil sur ton ordi et remarquer que ta femme pense à toi, tout le temps… Cette escapade avec toi hier m’a littéralement épuisée… je m’en souviens encore comme si c’était… hier littéralement… tu te souviens ? Le moment qu’on a passé ensemble… Je ne pourrai jamais oublier… le fait même d’en parler me donne des frissons… Tu me manques trop… Je n’ai jamais osé t’en parler mais c’était ma première fois pour moi… il fallait que je le fasse… et avec le meilleur homme sur Terre, c’est-à-dire toi… je ne pouvais même pas rêver mieux. Tu étais là, surtout quand tu me caressais… tu m’as caressée le visage, puis le cou… tu étais si tendre et doux avec moi… Mais l’engin était long ! Trop long, trop dur, au point que j’ai eu peur que ça fasse vraiment mal… mais comme c’était la première fois et que tu ne me quittais pas des yeux, j’ai trouvé la force d’ouvrir la bouche et de l’accueillir… Il fallait que je le fasse, pour sentir cette chaleur pour la première fois dans ma vie. Tout le monde en parle mais moi je ne peux rien dire… il fallait vraiment que j’essaie. Je suis heureuse d’
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Ayme Ceh Kah
Je l’observe pendant qu’elle se déshabille lentement, comme pour entretenir la flamme, nourrir le brasier. A peine avait-elle laisser tomber son string que je me jette sur elle tel un sauvage. Nous basculons sur le lit. Je la dévore de baisers pendant qu’elle se crispe et se cambre. Je la sens se liquéfier à mon contact. Nous nous étions mis d’accord. Pas un mot. Pas un bruit. Autant mener l’affaire au plus vite. Je libère mon érection de mon boxer tandis que je la vois jouer avec sa partie sensible. Je prends ma troisième jambe dans ma main gauche et écarte ses jambes avec ma main droite. Je me mets en position, inspire et me laisse engloutir en elle. Je la vois se mordre la lèvre mais ne pas émettre le moindre son. Je m’active et laisse mon esprit s’échapper de mon corps tandis que mon bassin se mouvait. Aucune forme de plaisir. Physiquement je réagis. Il est normal que j’apprécie physiquement. Mais psychologiquement, j’étais loin. Loin. Très loin. Il me semble qu’elle aussi. Elle était sur le dos, les bras et les jambes écartés. Elle ne me regardait pas dans les yeux. Je ne me formalise pas plus que ça. Autant mener l’affaire au plus vite. Je sens la jouissance non-désirée monte
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Ayme Ceh Kah
Lorsque leurs lèvres se réunirent, un frisson lui parcourt l’échine. Le frisson le plus exquis qu’il n’avait jamais ressenti de toute sa vie. Elle sentirait presque son sang bouillir dans ses veines. Son souffle se mélanger à la sienne. Sa main se poser amoureusement sur sa joue rugueuse et l’effleurer avec la légèreté d’une plume. Leur baiser s’approfondit naturellement. Leurs langues engagent alors une danse endiablée connue d’eux seuls. Leurs mains se perdent dans la chevelure de l’autre. Elle lui mord tendrement la lèvre, comme pour marquer son territoire. Elle se presse contre lui sans détacher ses lèvres. Elle sent les deux grosses mains de son partenaire glisser doucement de sa nuque et se frayer un chemin sur son dos nu. Ce geste perce plus que jamais ses défenses. Elle est figée sur place et se laisse engloutir dans ce tourbillon de sensations qui lui donne le vertige. Une curieuse chaleur s’insinue au plus profond de son corps, ralenti par toute cette surcharge sensorielle. Leur baiser dure, dure, dure, comme si reprendre leur souffle était interdit. Elle voulait que le temps s’arrête, que cette tension au bas-ventre laisse place à quelque chose de plus sensuel, de plus s
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J’avais un peu envie de m’amuser un peu. Je me sentais terriblement joueuse ce soir. Heureusement que j’avais un armoire rempli de tenues toutes plus sexy et aguicheuses les unes que les autres. J’opte pour la traditionnelle tenue d’infirmière. J’attache mes cheveux en un chignon serré, mets mes lunettes, enfile mes talons hauts. J’en connais un qui ne va pas résister ce soir. Je quitte la salle de bains et me dirige vers le salon. Je fais bien attention à faire claquer mes talons hauts sur le parquet. L’ours qui me servait de petit ami était avachi devant son ordinateur, en train de jouer à jeu dont je me rappelais même pas du nom. Dès l’instant où il pose les mains sur moi, je vois l’expression de son visage changer. Devenir plus dure, plus animale. Il se lève précipitamment de son fauteuil de gamer mais je m’étais déjà dirigée vers la chambre sans lui adresser un regard de plus. Je m’installe gentiment sur le lit, croise les jambes et compte jusqu’à quatre avant de le voir débarquer comme un taré. Ça ne rate pas. Quatre secondes plus tard la porte de la chambre s’ouvre en grand et je vois mon homme nu, furieux de désir et déjà en érection. Je souris intérieurement. Mon petit man
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Ayme Ceh Kah
- Ce n’est pas parce que je suis indisposée que je ne peux pas te faire plaisir, mon chéri. Je m’allonge à côté de l’homme de mes rêves, lequel était également couché sur le dos, les mains croisées derrière sa tête. - Fais de mon corps ce que tu veux, dit-il avec un grand sourire. Je me redresse subitement, lui tourne le dos et le chevauche. J’enlève la ceinture et déboutonne son pantalon avant de me débarrasser de son boxer. Je l’entends soupirer et remuer derrière moi. - Interdiction de me peloter. C’est moi qui bosse, ce soir. Il éclate de rire et cesse de bouger. Je sors un préservatif de ma poche et caresse doucement sa virilité. Il gémit de plus en plus fort et cela m’encourage à continuer mes gestes tendres. Je m’arrête, déchire l’emballage du préservatif, le sort et coince l’embout entre mes dents. Je me penche vers son sexe en érection et la prend en pleine bouche, faisant glisser le préservatif le long de sa hampe. Je parviens jusqu’à la base de son pénis, ayant déroulé l’entièreté du préservatif. Le goût fraise au latex du préservatif n’était franchement pas agréable… mais je fais avec. Je suis, en fait, très fière de moi.
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Je m’étire les jambes, me lève et m’éloigne de mon bureau, harassée par ma journée de télétravail. Une demi-douzaine de conf calls. Quatre dossiers à traiter. Je n’en peux plus. Je suis une véritable boule de nerfs. En enlevant mes écouteurs sans fil, soulagée que mon week-end me tend enfin les bras, je réalise à quel point je suis seule dans mon studio. Seule et épuisée. J’ai mal au crâne. Mon corps est tout engourdi. Il faut que je trouve un moyen de me calmer. Il faut que je me détende avant de me fracasser la tête contre le mur le plus proche pour faire passer ma migraine. Je file vers ma chambre, me dirige vers ma table de chevet en en sort mon joujou préféré. Mon joujou tout rose, tout mignon, avec une grosse tête vibrante. Je me défais de tous mes vêtements, m’allonge sur mon lit et allume mon joujou tout rose, tout mignon, avec une grosse tête vibrante. Je le sens vibrer dans ma main. J’écarte les jambes et sors un petit peu mon bourgeon de sa cachette. Sans attendre, dans ma quête désespérée du plaisir, je plaque la grosse tête vibrante contre mon bouton. Tout mon corps est parcouru d’un frisson. Je m’empare de mon sein gauche, joue avec mon téton. Pendant que je me tortur
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- Ainsi, Schopenhauer décrivait la volonté comme étant la « chose en soi » cachée dans la profusion des phénomènes, elle est l'essence intime du monde… Je n’écoutais pas le cours de philosophie et ne prenais même pas la peine de cacher mon ennui. J’avais décidé de m’installer à une place stratégique – au fond du fond de la classe – afin que personne ne remarque que je piquais sérieusement du nez. Encore deux heures et quarante-quatre minutes et je pourrai enfin respirer. Encore fallait-il survivre aux deux heures et quarante-quatre minutes. La seule chose intéressante dans tout cet enfer ? Lui. Dispensant le cours. Il était juste trop… trop, quoi. Trop parfait. Mon fantasme absolu. Une grande taille. Une mâchoire carrée. De beaux yeux bleus pénétrants. Des pectoraux saillants sous sa chemise blanche serrée. Un sourire Colgate. Des cheveux blonds comme les blés. Toute à ma contemplation de ce dieu grec, je ne le remarque pas me regarder avec un air désapprobateur, son livre de cours dans les mains. Merde. Grillée. Je me ressaisis très vite et m’empare de la première chose qui me tombe sous la main. Un crayon à papier. Foutue pour foutue, ça fera l’affaire. Je fais mine de prendre de
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J’adorais quand il prenait soin de moi. Il souffle doucement dans mon cou pour me faire frissonner. Avant de descendre sans épargner le moindre centimètre carré de ma peau. Il faisait tourner sa langue de velours sur mes tétons durcis par le plaisir, me malaxait la zone autour de mon vagin. Je l’entendais grogner contre ma poitrine. Ses ongles effleuraient l’intérieur de mes cuisses tandis qu’il mordillait carrément mes mamelles. Je ferme les yeux et me laisse porter par toutes ces sensations. Je ne bougeais pas d’un iota. Lui faisait tout le travail. Il prend mes fesses à pleines mains et les presse fermement. Je le sens soudain s’allonger sur moi, de tout son poids. Son pénis en érection était contre mon vagin humide. Très lentement, il frotte son sexe contre le mien. Doucement d’abord, puis de plus en plus fort. Je ne tiens plus et m’active à répondre à ses provocations en me frottant à lui avec la même vigueur. Je sens le plaisir monter de plus en plus vite sans que je puisse rien faire pour contrôler mon orgasme imminent.
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Ayme Ceh Kah
Pour une fois, j’avais envie d’inverser les rôles et mon chéri était d’accord. Ça partait d’un pari idiot et totalement stérile… comme quoi l’homme était le seul à s’activer pendant un rapport, tandis que la femme recevait sans faire le moindre effort. C’est faux. Et je vais le prouver. Mon chéri est donc à quatre pattes, le cul bien tendu vers moi (il a toujours voulu essayer, c’est une bonne occasion). J’étais derrière lui, pourtant un bel objet appelé gode-ceinture. J’ai passé un très long moment à le préparer avec le plus de patience et de douceur possible. Je l’ai lubrifié comme il le fallait, en écoutant ses impressions, en analysant ses soupirs. J’insérais mes doigts dans son anus en faisant bien attention à ne pas y aller de manière brusque. Tout était une question d’écoute. Lorsque lui-même se sentait réellement à l’aise, j’ai compris que c’était le moment. - N’oublie pas le safe word. Il hoche la tête. - A n’importe quel moment. Il hoche une fois de plus la tête et dandine légèrement son postérieur, comme pour me provoquer. Je mets la blinde de lubrifiant sur le sexe en plastique, de la même manière que mon homme lorsqu’il se fait du bien devant moi. De haut en bas. Vaut
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Ayme Ceh Kah
L’endorphine se dissipait peu à peu dans mes veines. Je me sentais à la fois super bien et super fatiguée. J’avais toutes les difficultés du monde à garder les yeux ouverts. Je m’étire dans le lit. A peine ai-je fini que je sens deux bras chauds et puissants enlacer mon corps nu et moite. - Il faut que j’aille prendre une douche, dis-je en tenant de me dégager de son étreinte. Mais il me gardait fort contre lui. Il enfouit son nez dans mon cou. - Attends… Le bout de son nez me chatouille. Je me contorsionne en riant. - Restons encore un peu comme ça, tu veux bien ? Je cesse de me débattre et réponds à son câlin. Je sens les battements de son cœur ralentir peu à peu pour se calquer avec les miens. - Ne crie pas aussi fort la prochaine fois, rit-il en me caressant les cheveux. Je lève vivement la tête vers lui, faussement outrée. - Pardonne-moi d’apprécier tes coups de reins à leur juste valeur, répliqué-je. Je pose un rapide baiser sur son front. Il passe ses ongles sur mon dos, ce qui me donne des frissons de plaisir. Je n’avais même pas remarqué que la musique continuait de tourner sur son portable. Une musique tout ce qu’il y a de plus chill… tout ce que j’aime après les acrobati
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