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toutendouceur

France.
toutendouceur
Imaginez un monde où il n'y aurait que des femmes. Naïa est institutrice et vie en colocation avec Charlotte et Edwina. Lors d'une balade en forêt, Naïa va se perdre et découvrir une communauté très étrange.

J'ai voulu imaginer comment les hommes et les femmes apprendraient à vivre ensemble, si ils se découvraient à l'âge adulte.

Attention ceci est une histoire avec de nombreuses scènes érotiques.
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toutendouceur
Histoire autobiographique, d'une relation entre une quadragénaire mariée et son collègue fraichement diplômé.
Il fut un ami et un confident pendant de nombreux mois. Mais petit à petit, tout à basculé. Elle se sentant revivre et lui laissant le flirt s'installer. Cette relation est devenue de plus en plus intime, même si la culpabilité a toujours mis une barrière entre eux.

J'ai écrit cette histoire pour comprendre et pour guérir, Je l'ai publié pour les même raison.
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toutendouceur
Vous trouverez ici plusieurs nouvelles. Elles mêlent les récits érotiques, au monde fantastique. Fantômes, mythologie, diable et même anges seront de la partie.
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toutendouceur
Je me suis pris au jeu de l'écriture en venant, écrire une partie de ma vie. Mais je veux chasser cette tristesse et utiliser mes souvenirs pour une nouvelle histoire. Cette fiction, suite de « Ne sois jamais sûre de rien », sera à mon goût, pleine de sensualité, d'échange et de surprises.
Comme les premiers lecteurs m'ont posé la question : Réel ou irréel ?
Je réponds par Irréel, comme ça pas de limites à mon imaginaire et mes fantasmes.
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toutendouceur
- Alors madame, savez-vous ce que vous devez faire ? - Oui Monsieur. - Répétez votre leçon pour moi. - Je dois porter les vêtements que Monsieur, m'a offert. Je dois rester assise sur ce lit les jambes écartées, offerte à Monsieur. Je ne dois ouvrir mes yeux à aucun prétexte. Je dois obéir à Monsieur. - C'est cela madame, vous êtes parfaite madame. Dites que vous êtes à moi. - Je suis à vous Monsieur. Ce moment, je l'avais organisé pour elle, car elle était ma création, ma plus belle œuvre. Deux mois avant, quand j'avais commencé à discuter avec Fred de Clara, j'avais imaginé ce scénario. J'adorais voir une femme offerte à un inconnu. Alors l'idée que Clara, vienne, dans cette chambre d'hôtel, et le laisse la caresser devant moi était devenu une évidence. Je savais que ma parfaite Clara finirait par accepter ma proposition, mais il fallait convaincre Fred. Nous étions devenus plus proches depuis peu et Fred passait parfois au domaine le lundi. Nous en profitions pour marcher et discuter longuement. - Dis-moi Fred, j'ai discuté avec Clara hier. - Ah et vous avez parlé de quoi ? - Je crois que nous avons parlé de toi ? - Tu crois ? dit-il gêné. - Oui, je crois, car Clara m'a avoué qu
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toutendouceur
C’était une journée de travail atypique. Je la regardais déambuler dans les allées du magasin à la recherche d'élément de décoration pour aménager notre bureau. Nous avions pris notre après-midi pour trouver un meuble de rangement, mais aussi un grand plan de travail. Elle avait imaginé l’installer le long du mur Est, qui n’avait pas de fenêtre, à une hauteur d'un mètre vingt, pour que nous puissions y travailler debout sur de grands plans. — Tu as conscience que tout ne rentrera pas dans ma voiture, Marion ? — Oui oui, mais on devrait pouvoir se faire livrer. — Oui, effectivement, c’est une idée. — Et puis, avec le nouveau meuble de rangement, il n’y aura plus de dossier qui vont traîner sur le bord de la fenêtre. Et j’avais imaginé qu’on pourrait y mettre quelques plantes. J'en ai plusieurs chez moi, que je devrais pouvoir bouturer, dit-elle avec un petit air de chien battu, comme pour me supplier. — On pourrait aussi aller dans la jardinerie qui est juste à côté, et en choisir quelques-unes. — Tu es d’accord pour ajouter de la verdure ? ajouta-t-elle d’un air ravi. — Et pourquoi ne le serai-je pas ? — Philippe n’a jamais voulu entendre parler de ça. Il disait que c’était un lieu
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une histoire érotique de Noël
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Je suis là en train de frotter les assiettes et les couverts du repas. Comme à chaque fois, je m'oublie un peu. Mes mains bougent toutes seules, pendant que mon esprit vagabonde. Je finis en passant un coup sur l'évier et le plan de travail et enfin sur la table de la cuisine. Je mets un peu de musique en passant le balai que j'utilise comme micro. Et comme à chaque fois, je chante en playback. Je monte un peu le son, cette chanson d'Aznavour est tellement belle.
Même si elle raconte l'histoire d'un homme, je me retrouve dans ce personnage.
- Anita, baisse le son s'il te plaît, me crie Maman depuis sa chambre.
- Oui, Maman dis-je déçue.
- Et apporte moi un thé.
- Oui Maman.
Je mets à chauffer l'eau et finis de passer le balai.
J'arrive dans la chambre de ma mère, avec un petit plateau sur lequel est posé une tasse.
- Tiens je t'ai apporté ton thé.
- Et tu n'as pas mis un petit gâteau.
- Tu sais que le médecin te l'a déconseillé, Maman.
- Et tu crois que j'écoute toujours le médecin, Anita. Alors va me chercher un biscuit.
- Bien Maman. Tu pourrais dire merci quand même, marmonné-je.
- Quoi ?
- Non rien Maman. Je te rapporte ton biscuit.
- J'espère bien.
Et voilà ma maman dans toute sa gentillesse. Elle n'avait pas toujours été comme ça. Quand j'étais enfant, j'ai souvenir d'une maman aimante et douce. Et puis j'ai grandi et l'adolescence est passé par là avec son lot de conflit. Ayant toujours été très proche de mon père, c'était surtout avec ma mère que je me disputais. Et malheureusement pour ma mère, mon père prenait souvent ma défense. Jusqu'au jour où je suis allée trop loin. J'ai dit des horreurs à ma mère, pour une banale histoire de programme télé. Cette fois-là, mon père a voulu me remettre à ma place et je l'ai très mal pris. Je suis sortie de l'appartement en claquant la porte et j'ai marché de longue heure. Je ne suis rentrée qu'au petit matin, mais entre temps mon père avait décidé de prendre la voiture pour me retrouver.
Je n'oublierais jamais la tête de ma mère quand l'hôpital a appelé. Nous n'avons jamais pu arriver à temps et il est mort, seul. Un chauffard lui avait grillé la priorité à droite et avait embouti la voiture violemment.
Ma mère m'avait ensuite reproché sa mort et je ne pouvais qu'être en accord avec elle.
Tout s’est compliqué ensuite. Je venais d'avoir dix-huit ans et après mon bac, je devais entrer dans une école pour être décoratrice. Mais Papa n'étant plus là, le nouveau budget familial avait tout remis cause. Je me suis inscrite dans une fac et j'ai fait des petits boulots de serveuse. Ma mère qui n'avait jamais travaillé, c'est mise à faire quelques ménages. Il était déjà compliqué de travailler après les cours et de réviser, mais la situation s’est aggravée. Ma mère est tombée dans une grave dépression et n'a plus décollé de son lit. Dans ces conditions, il m'était impossible de tout assumer et il fallait faire rentrer de l'argent pour nous nourrir. Pour commencer, j'ai arrêté mes études. Je trouvé un bar où je pouvais gagner bien mieux ma vie, mais où il me fallait m'asseoir sur quelques-uns de mes principes.
C'est comme ça que le Candy est devenu ma deuxième famille. Ce bar pour danseuses exotiques avait l'avantage d'avoir des pourboires généreux et de n'être qu'à dix minutes à pieds de chez moi.
Bien sûr, j'ai menti à ma mère et je ne lui ai pas dit où je travaillais. Je ne lui ai pas dit non plus quand je suis passé de serveuse à strip-teaseuse. J'ai juste mis de côté un peu plus d'argent, en espérant qu'un jour, je puisse quitter ma mère.
- Bon, il arrive ce biscuit.
- Oui Maman.
Si seulement j'osais lui dire, mais j'ai honte de vouloir l'abandonner.
- Tiens, maman, ton biscuit.
- Il est tout petit.
- Il n'y a plus que ça, j'irais faire les courses demain matin. Là, je vais bientôt devoir me préparer pour aller travailler.
- Ton travail te prend trop de temps et je m'ennuie toute seule dans ce vieil appartement.
- Tu devrais faire des activités, sortir, plutôt que de rester tout le temps alitée.
- Mais tu sais que je n'en ai pas la force.
- Je suis sûre que si, Maman. Je ne serais pas toujours là pour m'occuper de toi, tu sais.
- Comment ça, tu veux abandonner ta mère ? Tu as rencontré quelqu'un ? Tu me l'as caché ?
- Mais non Maman, je n'ai rencontré personne et je n'ai pas prévu de partir. Mais un jour, je vais bien devoir voler de mes propres ailes.
- Je crois que ce jour-là, je mourrai.
- Mais non ne dit pas ça.
Et voilà le petit couplet culpabilisateur, comme à chaque fois que je lui parle de partir. S’en suivent en général des larmes et des cris et comme à chaque fois, je finis par lui dire que je ne partirais pas, pour me débarrasser de cette discussion pesante.
C'est pour ça que j'aime le Candy. Personne ne cherche à me manipuler, les choses sont claires. Je danse et en échange, on me donne un bon salaire et parfois même de très jolis pourboires.
D'ailleurs, il est l'heure, maintenant.
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N'avez vous jamais eu envie de changer quelques moments de votre vie.

Certaines choses auraient pu être différentes, auraient dû être différentes.

Depuis que je suis petite, je m'invente des histoires pour m'endormir, peut-être comme tout le monde, je n'en sais rien. Alors pour une fois, je vais les écrire ici.

Chacune de ses histoires courtes fait suite à un chapitre de " Ne sois jamais sûre de rien ". Alors bienvenu dans ses histoires paralelles.
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Je regarde ma peau
La plaie s’est refermée
Elle a laissé un fil
Ligne blanche délicate

Les années estompent
La souffrance passée
Et les doux souvenirs
Apaisent mon cœur brisé

Cascade émotionnelle
Mon âme joue la gamme
D’une sonate éternelle
Aux notes légères et graves

Le piano qui résonne
Et le violon léger
Accompagne ma vie
Pour toute l’éternité


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J’ai posé un pied sur la scène, mais elle tremble. Pourtant j’ai espéré ce moment et j’ai travaillé d’arrache-pied pour cet instant.
Devant moi, la salle est pratiquement vide. Au fond, se rongeant les ongles, ma mère. Derrière un pupitre, les personnes qui tiennent ma vie entre leurs mains.
Mon cœur bat, mes mains sont légèrement moites et j’ai l’impression de respirer à travers un tuba.
Mais à quelques pas de moi, un jeune homme, muni de tout un attirail audio me demande, s’il peut lancer la musique. Comment puis-je dire non ? Alors machinalement j’acquiesce avec un battement de paupière.
Mon dieu !
Impossible de reculer maintenant. Je prends une grande inspiration et avance le plus fièrement possible. Bonjour Mademoiselle. Bonjour, dis-je dans un souffle imperceptible. Bonjour, dois-je répéter, mais plus fort ce coup-ci. Pouvez-vous vous présenter ?
Une fois les premières questions passées, je sens la pression légèrement redescendre. J’ai même réussi à placer un peu d’humour, pour faire croire à ma parfaite assurance. Mais c’est maintenant que je dois leur prouver qu’ils ont besoin de moi.
Je me mets en position. La main droite sur mon épaule gauche, posée sur une jambe, quand l’autre est tendue derrière et que ma tête est baissée. Les quelques secondes qui passent, avant que la musique ne soit lancée semblent durer une éternité.
Si, si, sol… Les notes du piano raisonnent et pénètrent mon corps, elles le nourrissent même. Comme une poupée mécanique, mes bras, mes jambes se mettent à bouger, comme portés par ce carburant d’ondes sonores. Je m’envole maintenant, tournant et sautant avec force et délicatesse mêlées. Piqué, piqué, pointé, tour à droite, tour à gauche… attention à ce saut… Il est passé. C’était le seul passage que je redoutais. Je suis parfaitement détendue et tout le stress, accumulé depuis ces derniers mois, s’échappe en une bouffée qui m’exalte. Jamais mes mouvements n’ont été aussi fluides et précis, mes sauts plus hauts et gracieux. Je ne ressens aucune fatigue ni douleur. Je suis portée par le bonheur de faire ce que j’aime le plus. Je me surprends même à finir par quelques mouvements totalement improvisés et opportuns.
Un genou à terre, ma poitrine qui se soulève à chaque inspiration profonde, je suis dans un état second. Mademoiselle, dit une voix que je ne perçois qu’après sûrement plusieurs interpellations. Mademoiselle, répète l’homme derrière son pupitre.
Je relève la tête et souris. Ma mère semble aux anges et je devine sur ses joues des larmes, des larmes de joie.
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Je l'ai fait. Cela semblait impossible au premier abord, voir fou ou suicidaire, mais pourtant je l'ai fait.
Et pourtant je les voyais insistants, me tendant les bras pour que je me lance.
Mais j’étais persuadé qu’ils surestimaient mes capacités.
Déjà le sol c’est super loin de ma tête. En plus j’ai des tout petits pieds boudinés.
- Allez viens mon chéri tu peux y arriver, me répétait ma mère.
- N’aie pas peur je vais te rattraper, lançait mon père.
Oui c’est toujours ce qu’on dit, pensais-je, mais la semaine dernière tu me tenais la main et je me suis affalé quand même comme une merde, tu as juste failli me déboiter l’épaule en tirant sur mon bras.
Bon ok, ils semblent maitriser la technique, mais, soyons honnête, leur tête est toute petite par rapport au reste de leur corps. Moi, la mienne est énorme, un culbuto à l’envers.
Donc, je pense que je vais attendre que ma tête dégonfle avant de me lancer.
C’est pareil, les couches, on en parle de ce truc énorme entre mes jambes. Comment veux-tu que j’arrive à les bouger convenablement ?
Allez, insiste !!! Comme si la répétition de cette phrase en boucle va me pousser à faire un pas.
Bon c’est simple, je fais un pas, je me casse la gueule et tu comprendras que la marche c’est pas fait pour moi. Et toi le barbu, je te jure que si tu me rattrapes pas je te mords dès que ton épaule est à ma portée.
Bon… je me lance. Déjà j’essaye de décoller mon pied et franchement c’est carrément galère. Peut-être avec l’autre côté ?
Ouais ça ne va pas mieux. Ou alors j’y vais cache. Je fonce et j’essaye d’attraper mon père à la volée.
Non mais je suis sûr il va encore merder.
En même temps tout à l’heure, j’y étais presque, le pied s'est presque décollé d’un millimètre.
Juste un pas, un tout petit pas et si nécessaire je tombe sur ma couche. C’est pas excessivement douloureux
Un, deux et trois.
Oh putain !!! J’ai réussi. C’est un truc de fou.
T’es contente Maman, mais clairement pas autant que moi.
Youhou.
Allez je suis un fou, je tente le gauche…
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