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Chancos

Chancos
C'est le périple imaginaire et submergés d’émotions d'Ariston, un homme solitaire en proie à un gouffre sur l'astre psychologique et une descente professionnelle issues du stress, dont il succombe à un moment particulier de son existence à la tentation perfide de la cigarette. Dans cette confrontation acharnée, ses deux enfants, les bien aimants Véphurnia et Enestor, se dressent à ses côtés, et érigent un rempart contre cette dépendance. Avec le soutien sans précèdent de son maître d'œuvre, Adhipo, et d'autres personnages emblématiques, Ariston fait preuve d'une stratégie audacieuse pour se libérer des relations de dépendance du tabac.
Cependant, l'histoire ne se soucie pas seulement d'être une lutte physique. L'esprit retors d'Ariston, réticent à accepter tout compromis, transforme cette quête en un champ émotionnelle d'une sincérité poignante. Chaque page est une confrontation avec les ténèbres spirituelles de son psyché, chaque victoire une éclatante lumière de résilience. Cette version transcende les frontières du récit ordinaire et propulse le lecteur dans un tourbillon d'images évocatrices inoubliables.
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Chancos
Découvrez et soyez charmés par la nature profondes des aspects de la vie Max(cigarettev vie trépidante, mystère et plein d autres éléments d accroche tels une métaphorse de sa psyché, de ses relationsavec lui même)). E.n outre,Il veille sur le respect civiledes règles et redessine l'art par la musique.
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Je m attaque à un autre grand thème : les boissons. A la mesure de mes capacités, je souhaite faire vivre une épopée où les contrevenants paraîtront progressivement dans le récit. Bonne joie de lire. Le récapitulatif du récit paraîtra prochainement.
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Chancos
Pandoro, un être prolifique dans son réseau social, évolue dans des relations de soumissions dont l'issue lui est toujours préjudiciable. Son altruisme infrangible le conduit à adopter une poule Xelopet, dont la destinée semble prédestinée à une fin précoce. Les discussions s'ensuivent avec sa femme, Eluna, sur le sort de cette volaille.

Lorsqu'il découvre que sa femme envisage de s'en débarrasser, Pandoro met en œuvre une cascade de stratégies ingénieuses pour la convaincre de garder la précieuse Xelopet. Son dévouement est si intense qu'il décide de modifier la dynamique trop soumise de sa relation conjugale. Il fait appel à Perduta, la magnifique belle-sœur de Pandoro et sœur d'Eluna, pour apporter une nouvelle perspective.

Ce trio improbable se lance dans une série de péripéties rocambolesques et entraîne le lecteur dans un tourbillon d'intrigues et de rebondissements. Entre les négociations cocasses, les retournements de situation inattendus et les moments de purs plaisirs, le lecteur est transporté dans un univers où la surprise et l'amour se mêlent de manière surprenante.

Découvrez le livre pour vivre l'histoire extraordinaire de Pandoro, un homme déterminé à sauver bien plus qu'une simple poule, mais plutôt son équilibre familial et le dynamisme de ses relations sociales.
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L'invisibilité de petites parcelles de jugement. Sacro-saint inspirant? A vous de le dire
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Une matinée agréable dans le parc de Ronsester, les grives pinçaient leurs amies parentes de leurs becs rêches et acérées afin de nous rendre compte, à nous, de l'arme puissante qu'était leur instrument de torture au milieu de leur visage. Quel bec! Défendre, attaquer, amuser, geindre! Ce petit détour, subtilement amené, à travers la sauvagerie naturelle, nous indiquait qu'une journée agréable allait se produire pour les plus sages et intelligentes créatures au monde : les licornes qui, comme les grives, acéraient leurs cornes au milieu du front mais protégeaient leurs semblables des terribles prédateurs qu'étaient l'ignoble avarice, le gourmet égoïste, le virevoltant désintéressement. Possédant chacun leurs innombrables adeptes, prêts à défendre leurs vices, les licornes allaient, quant à elles, combattre ces troubles fêtes. Rien n'était acquis à l'avance, et mon histoire contera l'épopée d'une princesse licorne, Véluvia, à la croisée des chemins des tensions du monde teinté de réalité. Et la question demeurera : est-ce que les licornes ont fini par exister et triompher du mal?
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Antonio marchait, emmitouflé dans un anorak très protecteur. Mais comment allait il se hisser au haut de cette montagne, lui, qui, avait un mal fou à retenir sa douleur vive autour du cou par le froid et le vent impétueux? Si bien que même les charognards guettaient le moindre de ses faux pas. Il se mettait à regarder devant lui mais devant il y avait la paroi. Alors, Antonio atteignit le sommet. Ce fut si subite qu'il n'eut pas le temps d'avoir la peur au ventre. Se faisant, il cherchait un endroit où il aurait pu passer la nuit et crier :"Victoire", devant les roches, seul et humide. Tergiversant, se rendant compte de sa solitude, il décida de téléphoner mais malheureusement son téléphone ne marchait pas. Alors, là, il eut ce coup de génie : redescendre et retrouver les siens. S'arrachant à sa condition, mutilé par le froid, il ne vit plus le jour. Antonio mourut au haut de cette montagne et en guise de fin heureuse, il monta dans le ciel étoilé. Une stèle allait être érigée au pied de la montagne pour ce vieux combattant et briscard que la nature avait arraché à la vie si froidement. Ces partisans l'appréciaient énormément pour son renouveau et son changement.
Chaque année, on commémorait sa destinée et son destin qui avait fui en une traînée de poussière. Des dons et des sacrifices financiers lui étaient rendus pour tout ce qu'il avait représenté de bon, de loyal et de sincérité. Ces partisans l'appréciaient énormément pour son renouveau et son changement.

Se métamorphoser en Antonio signifiait un dur labeur et une volonté sans faille même face à la mort. Tous pouvaient espérer un jour devenir un héros si le destin de chacun comportait des similitudes avec Antonio.
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Sapeva di essere un mostro, una persona fatta di sangue blu e pelle bruciata. E ora Piliop andava in prigione per aiutare suo figlio Histeyn a sollevare al piu presto il peso dell’amato veleno. La predisposizione di suo figlio a essere un umano pericoloso e velenoso è davvero pericolante per il mondo. Piliop, alla fine delle parole con Histeyn, mostrava il suo interesse per essere amato come un uomo gentile e pieno di consapevolezza. Che cosa poteva dire al padre che sarebbe tornato per lunghi periodi oscuri dal tenebro del veleno? Histeyn, questo colosso dal piede macchiato di sangue, non conosceva l’orizzonte del sole. Ma l’imprevedibilità dell’amore lo rendeva forte e capace di dominare le tenebre e la luce. Non aveva mai avuto scelta tra l’amore di un padre e l’affetto di una madre, con la brutalità dei superpoteri di fare il male o il bene che Histeyn possedeva fin da piccolo.
Fin dall’infanzia, Hystein aveva sviluppato una malattia. Questa gli causava una sofferenza psicologica, soprattutto perché non poteva essere identificata come un male visibile nel suo organismo. Prostrava la sua schiena da un dolore colossale. Come avrebbe potuto versare tante lacrime, tanta malinconia se non fosse stato per un legittimo dispetto della sua miseria inaccettabile? Il nostro giovane eroe possedeva piedi così grandi che poche persone osavano avvicinarsi a meno di quindici centimetri. Sebbene la sua mobilità ne traesse vantaggio, non riusciva a rassegnarsi alla vista così poco ordinaria di quelle ampie palme.
Ma di quei piedi, gli spettava nasconderli in stivali appuntiti e ricoperti, bordati di cuoio. Questi ultimi erano stati confezionati da lui per il comfort, da sua madre per l'estetica e da suo padre per la praticità. La magia, generata dalla flessibilità e dalla forza insita nelle sue misure, gli conferiva il potere di percorrere chilometri senza affaticarsi, senza sudare. Come faceva? Come ci riusciva? In un curioso gioco di pensieri, Hystein pensava intensamente ai luoghi che desiderava raggiungere e, con un battito dei piedi, si ritrovava ai confini delle terre bramate.
Ma non era tutto il potere che possedeva. Dalla trasformazione fisica alla mutazione, le sue mani sollevavano grandi pesi e frantumavano le minuscole particelle all'interno. Nell'innocenza della sua età, Hystein aveva visto crescere le estremità delle sue braccia in modo più che impressionante. Esse pesavano, da sole, due o tre chilogrammi. Come i suoi piedi, non capiva perché una madrina ben intenzionata gli avesse permesso di usare le sue palme onnipresenti in modo diverso dagli altri. Eppure, la forza era con lui. Credeva che le sue mani potessero aiutarlo a combattere e a lottare contro i nemici di suo padre. Una schiaffo da parte di Hystein, inflitto, e si trattava di un volo planato, staccando i piedi da terra con un capogiro come segno di ringraziamento.
Hystein aveva trasformato la sua vita in un cupo passato e presente. Si trovava nel carcere di Brigenela per aver ucciso due uomini. Questi erano sospettati di aver tentato di derubarlo del suo sacco di monete d’oro. In un’intensa rabbia, Hystein aveva inflitto, non lontano dalla sua casa, ferite mortali agli organi vitali di entrambi. Catturato sul fatto, non aveva opposto resistenza alla polizia locale. Fino ad oggi, in quelle celle, le sue straordinarie capacità richiedevano qualcosa di più. Esigevano una libertà maggiore. Il suo destino era stravolto; un futuro da mostro lo attendeva. Piliop, che si sentiva vicino in pensiero a suo figlio, aveva una profonda comprensione dei trasferimenti dissociativi della personalità ambivalente della propria carne. Questi erano causati dai suoi comportamenti durante la rabbia, la gioia o persino la noia. Recandosi al capezzale del figlio, desiderava istruirlo sulle regole e le leggi della loro comunità, Vlattourite, che apparteneva al vasto regno degli Enxors. Lacerato dentro, Piliop aveva trasmesso al suo discendente i tormenti dell’anima. Gli aveva anche parlato del disequilibrio ormonale che questi tormenti generavano. Quel padre, infatti, aveva lui stesso la strana particolarità di avere il sangue blu, come un cielo in procinto di oscurarsi. Aveva ereditato questo tratto dai suoi genitori, trasmesso nella sua antica dimora di giovane. Eppure, mai quel fisico così diverso aveva procurato un simile dolore. I tempi e il passato differivano sensibilmente dal presente. Per Piliop, le leggi non erano più le stesse direttive che per Hystein.
Hystein sospettava, dal fondo del buco, di non aver avuto molta fortuna diventando ciò che era. Ma, in prigione, l’unico conforto era stato il sostegno che suo padre gli offriva. Un magro bottino d'affetto! Eppure, dichiarava a gran voce, dietro le sbarre taglienti e affilate, che non avrebbe mai più commesso una tale sciocchezza. Ma, confidando il suo tormento a Piliop, si pentiva e desiderava vivere all’aria pura e libera. Suo padre, tuttavia, sensibile ai languidi pianti, ripeteva che il suo giorno sarebbe arrivato e che le leggi del signore potevano concedere la grazia a un nuovo pellegrino. Su queste parole, ai piedi del lugubre letto, pronunciava il suo giudizio affilato e tentava di spronare il figlio a usare i suoi dolci poteri per uscire da quella trappola. Gli sembrava troppo umiliante per quel giovane adulto che doveva scontare vent’anni della sua vita. Piliop e Hystein si sentivano forti l’uno accanto all’altro. Gli sguardi, pieni di tenerezza e determinazione, parlavano da soli su ciò che l’avventura avrebbe riservato loro.
La volontà, come una ricompensa per una buona azione, era presente. Questa facoltà intramontabile, in tempi così cupi, stava per mostrare il suo lato più luminoso. Un dono di immensa purezza si diffondeva nella penombra della cella, e Piliop aveva rapidamente percepito quell’aura destinata a sollevare montagne per suo figlio. Cosa poteva vedere Hystein nella sua sofferenza, se non il tenue bagliore di una speranza mai spenta? Poiché, crescendo e subendo le avversità del destino, possedeva dentro di sé quella forza primordiale tipica dei grandi felini. Affamato, atterrato dalla volontà degli uomini comuni, doveva rialzare la testa; lo pensava, dentro di sé.
Hystein metteva un punto fermo nell’illuminare i misteri della sua condizione di prigioniero. Intraprendeva ampie strategie e, con grande fulgore, sfogava il suo aplomb per uscire dalla sua prigione. Già da trentacinque giorni privato della libertà, sentiva i muscoli e la schiena bruciati da dolori insondabili. Chiedeva a suo padre: «Papà, potrai mai perdonare ciò che sono diventato?» Suo padre, pronto a sollevare la testa del figlio, gli diceva con tutta confidenza: «Non preoccuparti, abbi fiducia in te stesso, in me, in tua madre così protettiva.» Riunendo le loro forze, entrambi comprendevano che la vicissitudine degli imprevisti del momento conteneva una parte rischiosa in loro, tra la forza sovrumana e la dolcezza di un bambino. Era tra questi due poli che i due protagonisti prolungavano i loro momenti insieme. La compassione provata nella ricerca di un'idea brillante per far cedere le sbarre e i loro torturatori rimaneva un nulla, senza pensieri positivi. Eppure, ne serviva...
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