Ceci n'est pas un roman, mais seulement quelques poèmes.
Merci de laisser des commentaires pour que je sache ce qui est bien ou non.

Quand la loi de Murphi devient réalité…
Si vous voulez écrire un chapitre : https://www.atelierdesauteurs.com/talks/19975/roman-commun

Ne pas lire, je ne sais pas comment faire pour qu'on ne puisse pas le lire sans pour autant le supprimer.

Quatre jeunes gens : deux filles, deux gars, chacun sa vie, chacun son histoire. Le hasard ou le destin comme vous l'entendez les a réunis pour le meilleur et pour le pire, rencontre de rêve ou pire cauchemar, une rencontre plus qu’explosive : foudroyante.

Petits souvenirs nostalgique du moment de la petite enfance.

Les poèmes que j'écrit durant mes cours de maths.

Un cri d’enfant, puis le long hurlement d’une femme. On lui enlève son enfant, le quatrième. Il a 5 ans et déjà il est enlevé par le gouvernement. C’est l’âge règlementaire et cette mère est au courant, simplement c'est vraiment dur de voir son enfant partir à peine sait-il parler correctement. Elle ne veut pas le laisser partir. Les soldats chargés de la moisson arrachent le garçon des bras de sa mère, elle résiste mais un des soldats agacé la repousse violemment du pied. Elle tombe et un autre soldat attrape l’enfant et le met avec les autres. Sa mère se relève et tente de courir vers le soldat qui surveille les enfants mais ce dernier sort son fouet et commence à la fouetter violemment. Personne n’ose lui porter secours. Si quelqu’un le faisait, il subirait le même sort qu’elle et serait certainement exécuté. Soudain le garçon cri à sa mère de penser à l’enfant qu’elle porte, si elle meure l’enfant mourra aussi. La mère se met à pleurer plus fort encore, elle se laisse faire, son fils à raison. Elle regarde une dernière fois son fils qui la remercie avec un sourire plein de larme. Après une centaine de coup de fouet le soldat s’arrête, les enfants sont partis depuis longtemps ma

Dans le coffret, il ne fait ni sombre ni chaud. C'est très lumineux et glacial. Quand je peux enfin regarder autour de moi je vois que je me trouve dans une sorte d'hôpital à coté de plusieurs centaines voire milliers de personnes de toutes époques. Nous sommes tous allongés sur des tables, incapables de bouger. C'est alors que je les vois. Les gens du futurs. Ils sont en blouses blanches faite d'une matière étrange. Et je comprends. En fait nous sommes des cobayes sur lesquels il va y avoir tous sortes d'expérience. Je vois la personne qui s'avance vers moi. Je n'arrive pas à définir son sexe, Homme ou femme ? A ce moment je me dis qu'il va y avoir d'incroyables avancés biologiques, mais que j'aurais préférés qu'elles ne soient pas.

L’amour Ce sentiment qui vous hante Qui vous prend d’un coup Ou après de longues années Ce sentiment qui vous hante Qui peut être traitre et lâche Ou fougueux et passionné. L’amour C’est un bien traitre mot Qui pour personne Ne veut dire la même chose C’est un bien traitre mot Qu’on nous crache à la figure A chaque fois qu’on se rapproche L’amour Il est capable de grandes choses On devient le meilleur des Hommes Et notre courage n’en fait que grandir Il est capable de grandes choses Nous donnant une aura destructrice Nous réduisant aux pires bassesses L’amour Ce qui fait de nous des Hommes Car sans lui nous ne sommes rien Mais souvent il nous égare Ce qui fait de nous des Hommes Car souvent nous l’avons désiré Mais vite nous l’avons regretté L’amour L'amour ... Qu’est-il réellement ?

Hier déjà, j’avais besoin de réconfort mais personne pour m’aider, pour me sortir de là, pour m’aider à pardonner. Je me sens seule comme à chaque fois. Pourquoi faut-il que j’ai cette vie. Cette vie si misérable que la mienne ou l’amitié et l’amour n’ont pas leur place… Pourquoi moi ? Evidement il faut bien que se soit quelqu’un. J’aimerais juste avoir une vie comme les autres même si durant toute celle-ci j’ai voulue être différente. Tout ce que je cherche c’est de l’amour, de l’amour fraternel, de l’amitié, de la passion. Encore aujourd’hui, j’ai besoin de réconfort mais personne pour m’aider, pour me sortir de là, pour m’aider à pardonner. Je cherche toujours et encore des amis sur qui je peux compter mais à chaque fois que je me rapproche ils disparaissent. Plus d’une fois j’ai songer à partir de chez moi, de ma ville et à vivre la vie que je veux. Mais malheureusement je suis réaliste et je sais que je ne pourrais rien faire sans rien, sans argent, sans nourriture, … sans amis. Serait-ce mon destin de toujours être seule ? Toujours demain, j’aurais besoin de réconfort mais personne pour m’aider, pour me sortir de là, pour m’aider à pardonner…

Un homme en voit un autre et lui demande s'il a vu un homme et si c'est la cas, qu'a fait cet homme. L'homme lui répond donc que cet homme en a vu un autre et qu'il lui a demandé s'il en avait vu un autre et que si c'était le cas qu'avait fait cet homme.

Quand la mort frappe à la porte Elle nous guette bien souvent, de près ou de loin, Que nous soyons âgés, jeunes ou nouveau-nés, Elle est là, bien présente dans notre tête ou notre corps Nous escroque nos instants de bonheurs et de paix, Longtemps nous terrifie, mais au final nous fait rêver . Parfois on voudrait aussi la donner à d’autres Ou faire le meurtre de notre propre vie, Elle peut être terrible et nous prendre sans qu’on s’y attende Ou peut être préméditée longuement durant des années. Après tout qu’est-ce que la valeur de la vie, Si jamais on ne peut avoir le bonheur ? Quand cette petite pensée émerge un jour dans notre esprit, Jamais plus elle n’en partira, avec elle « c’est pour la vie », Quelle ironie quand on veut en finir au plus vite. Là voilà cette souffrance dont personne ne veut parler On la vit dans la peine, on la vit dans la haine. La mort est au cœur de notre vie, C’est ainsi qu’est le grand paradoxe de la vie…

Dans ma tête c'était une chanson, peut être que je vais vous la mettre si j'ai le temps.