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Sur la ville de Royan, tonnerre et tempête s'abattent mais la population, bien au chaud chez elle regarde un bon petit film de Noël car cet évènement approche à grand pas. Seule la vieille Mary, une femme avec un coeur de pierre, n'a ni lumières ni télévison allumées. Dans le noir, le cri le plus perçant que l'on ai jamais entendu traverse les oreilles de tout le voisinage. On se rend comte qu'il vient de la maison de Melle Alice, maman depuis plus d'une semaine. Alertés, tous les voisins accourent, certains curieux et d'autres vaillants. Une foule s'est formée devant la porte de la maison de la jeune femme. Il y a un silence de mort. Nous entendions juste des questions du genre:
--Qu'y a-t-il?
--Vous avez besoin d'aide
--Papa, mets moi zur les zépaules, ze vois rien!
--Je crois avoir entendu un petit bruit...
Mais, les personnes qui voyaient ce qui s'était passé étaient figées bouche grande ouverte par l'horreur de la chose:
On voyait une femme hurlant de rage et de déséspoir tenant serré contre elle le corps d'un bébé dégoulinant de sang, les yeux fixant le ciel.
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Artémis est la fille du célèbre Percy Jackson, elle découvre ses pouvoirs lors d'une sortie en foret qui aurait mal tourné. Mais, étais-ce le hasard ?
Elle est emmenée à la colonie des sangs-mélés ou elle va faire connaissance avec des gens dans le même cas que elle. Un événement contrariant se produit : Plusieurs héros disparaissent et un personnage que, même Percy ne connait pas, sort de sa cachette pour venger l'un des membres de sa famille mort des années auparavant. Il n'est pas seul, il reste dans l'ombre, aux ordres d'une armée de géants ayant les même ennemis que lui.
Elle est emmenée à la colonie des sangs-mélés ou elle va faire connaissance avec des gens dans le même cas que elle. Un événement contrariant se produit : Plusieurs héros disparaissent et un personnage que, même Percy ne connait pas, sort de sa cachette pour venger l'un des membres de sa famille mort des années auparavant. Il n'est pas seul, il reste dans l'ombre, aux ordres d'une armée de géants ayant les même ennemis que lui.
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Dans un pays ou le roi lègue ses biens à son ainé quil soit homme ou femme à sa mort, un pays où les fleurs tombant des arbres servent à confectionner un assortiment robe & couronne à la reine, un pays ou le froid et la pluie n'entrent pas dans le palais car le toit est imperméable, il n'y a rien pour les autres habitants, le paysans meurent un par un à cause d'un froid, des assassins, de maladie ayant un remède trop cher ou un manque de précision du bourreau. Inconscient du danger, un jeune homme blond et musclé, baluchon à la main, se dirige à pieds vers le royaume.
Arrivé à destination, il salue les gardes qui l'intercèpent, méfiants. Le plus maigre l'interroge :
--Mon gars, que fais-tu ici ? As-tu été invité par sa majesté ?
--Oui, je suis le graveur / architecte / ouvrier attendu par la reine pour lui refaire sa maisonnée de jardin.
--Jamais entendu parler.
Son voisin lui donne un coup de coude :
--Son Exellence nous en avait parler, il y a un bout de temps, n'était tu pas censé arriver le moi dernier ?
Le dernier qui avait parlé siffla si longtemps qu'il en devint rouge, derrière le jeune homme, les collègues des deux gardes approchèrent à pas de loup, il se retourna au moment où ils lui lançèrent un filet sur la tête. Puis sans savoir pourquoi, les gardes tombèrent sur le fesses. La terre trembla de plus en plus fort et une ombre vint cacher le soleil. Une sorte de bout de roche tomba sur la toile qui recouvrait l'ouvrier. Son côté coupant la déchira et le jeune homme sortit, ébahi. L'ombre était repartie aussi vite qu'elle était venue. Les gardes avaient déguerpi. Et le jeune homme s'approcha de la chose qui lui était tombée dessus. Ce qu'il vit lui fit ouvrir la bouche en grand, se tenait devant lui une écaille d'un mètre cinquante de longueur. Elle était d'un bleu turquoise magnifique et reluisait. L'homme s'imagina tout de suite ce qu'il pourrait avec : La présenter au roi et la lui vendre une bonne somme quand elle sera transformé en couronne, l'intégrer comme tête de lit pour la maison de sa majesté la reine... Ou la revendre pour se faire une fortune !
L'architecte commença à marcher gaiement dans la ville, l'écaille trainante, tirée par un fil rellié la main de l'architecte. Celui çi leva les yeux vers le palais qui se trouvait devant lui, il fut ébahi. L'architecture était fantastique, magnifique, incroyable...Le jeune homme fut tout de suite intimidé et, encore une fois, salua les gardes. Ceux çi, pensant que leurs collègues avait laissé passé le jeune homme firent de même et le regardèrent entrer dans le chateau...
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« Il est ambitieux, il est courageux, il est fort. Accueillez bien fort le prochain héros du siècle : Nautis »
C’est après ces derniers mots dit par cet empereur Tarnis , je sentis que mon sort en était jeté : Aléa jacta est.
Ce soir, je fêtais mes 21 printemps. L’âge parfait pour entamer le périple qu’était Et Venari, La Chasse. Durant toute la prochaine lune, je devrais me cacher la ville de Roma, notre capitale, pendant que custodes, les gardes, devaient se lancer à ma poursuite. Si je réussissais à ne pas m’enfuir hors des limites du jeu avant la fin du délais, j’avais gagné. En revanche, si je me faisait trouver ou je n’était pas arrivé à sortir avant la fin du jeu, on et occidit me, on me tuais. J’était en fait une sorte de gladiator.
« Sit ludum incipit !, Que le jeu commence !»
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Sonia est morte, l'après midi de son dernier jour d'école tuée par un vampire.
Elle en devient un, ce qui la handicape fortement, car son ancien crush du lycée, Hugo semble s'intéresser â elle.
Le problème, c'est que ce qu'elle ressent pour lui, ce n'est plus que de l'attachement pour son sang.
Elle en devient un, ce qui la handicape fortement, car son ancien crush du lycée, Hugo semble s'intéresser â elle.
Le problème, c'est que ce qu'elle ressent pour lui, ce n'est plus que de l'attachement pour son sang.
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Mon teint est cireux, mes cheveux sont graisseux et en bataille, ma barbe noire atteint mon cou et de les cernes bordent mes yeux fatigués. Voilà le travail de ces vingt années de captivité. Je n'en veux qu'à moi-même. Je suis le seul responsable de mon acte.
Ce temps que j'ai passé en prison m'a permis de réfléchir, de me repentir. Vois vous dites surement "Cet homme a du être accusé a tort,, oui bien "Il y avait surement une cause à cet assassinat.,, Bien sur qu'il y avait une cause, c'est celle que j'étais jeune, con et criminel.
Vingt ans plus tôt;
Après mon meurtre, j'étais allé m'enfermer chez moi, afin de ma calmer. Personne ne pouvait savoir que c'était moi, je n'avais laissé aucune trace, aucune preuve. Qui soupçonnerait un jeune de dix-sept ans ? Personne. Je m'affalais sur mon vieux fauteuil, la télécommande en main. Bien que j'aie une préférence pour les films d'horreur et d'action, je lançais un film romantique pour calmer mes nerfs.
Les battements de mon cœur résonnaient fort dans ma tête. À moins que… Ce n'était pas ça, il y avait des bruits sourds à la porte. Si j'avais été debout, je ne le serait plus a l'heure qu'il est. Mes yeux roulèrent; quelqu'un m'avait suivi: Il fallait absolument que je me cache. Le meilleur endroit était une alcôve sous l'évier, avant autre j'aie eu le temps de me dissimuler, la porte fut enfoncée dans un craquement sinistre. Un homme en uniforme braquait un pistolet sur moi.
-Police, les mains en l'air!
Il faut avouer que créer moment la m'avait fait penser a quand je jouais avec feu mon frère, tué dans un accident de voiture, a mon avis prévu. (C'est surement une des raisons qui m'ont poussé à devenir assassin.)
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Sur le toit d'un bulding, à New York, une jeune fille se prépare à mettre fn à a vie. Son visage d'ange parait contrarié, elle ne sourit pas, des larmes sillonent ses joues. Elle s'apprète à sauter, d'en haut. Elle n'a jamais connu l'amour, à 16 ans, elle se fait harceler sans relache. Elle ne dit rien, Mallory parait forte, elle parait forte, devant les autres.
Elle recule, la peur se lit sur son visage, ses cheuveux blonds dansent sur ses épaules, elle sourit comme pour se rassurer, et s'élance.
Au dernier moment, une pensée traitresse arrive jusqu'a son cerveau : "Je suis trop jeune pour mourir." Elle essaye de la repousser, de ss'en débarrasser mais, elle doit se rendre compte que le choix qu'elle a fait n'est pas le meilleur.
C'est bon, elle va essayer de résister.
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Mélodie était une jolie princesse, ayant la peau la plus fine et la plus douce qui soit. Ce sourire sur ses lèvres donnait tellement envie de la photographier juste pour la contempler à longueur de journée. Elle avait de magnifiques cheveux blonds qui lui arrivait à la taille qu'elle nouait en de longues nattes. N'oublions pas ses yeux bleux qui donnaient envie de nager dedans. Elle était si... parfaite: intelligente, douce et sociable. Tout le monde l'aimait et elle avait plein d'amis. Malheureusement sa vie, comme son nom l'indiquait n'était qu'une mélodie aux mêmes instruments et composée que de refrains.
Un jour qu'elle allait au marché, vétue d'une cape rapiécée afin ce se fondre dans la foule, elle entendit parler deux grands gaillard d'à peu près 16 ans, comme elle;
--V'la qu'tu m'parle d'un trésor! Quelle bétise! Faire briller un poignard doré ... On dirait un poésie. Et qu'est ce que cela nous rapporterais?
--Parait qu'on peut devenir de grands guerriers. C'est la bonne à Marie qui m'la dit. On pourrait devenir riches.
Mélodie, intriguée par cette conversation, se cacha derrière un tonneau de vin. Elle, elle connaissait tellment bien la "bonne à Marie"Qu'elle savait que celle-çi n'avait pas toute sa tête.
--J'irais pas! Je ne vois pas quel bougre d'idiot serait capable de croire ça.
Le dernier qui avait parlé se leva en faisant racler sa chaise. Celui qui restait chouina à voix basse.
--Si je l'avais eu,j'aurais pu soigner Lotie, six ans et presque morte.
La princesse, prise d'affection pour ce jeune homme s'écria, sortant de sa cachette :
--Messire, moi, je souhaiterais y aller!
--Peuh, une gamine, écouteuse aux portes et mal vétue comme toi ne pourrait en rien m'aider!
--Nous avons quasiment le même àge!!!Et, regardrez qui je suis! s'exclame-t-elle en retirant sa capuche afin que son interlocuteur puisse voir sa tete, n'apercevant aucune réaction, elle continua:
--Je suis la fille du roi Deslapise.
Il haussa les épaules car, si peu éduqué qu'il est, n'a jamais appris ce qu'était un roi.
--Cela ne me dit pas en quoi vous pouvez m'aider.
--Mon chateau se trouve au bord des marais flamboyants si c'est cela que vous cherchez, je me baigne dedans tous les mains et connais la rive comme ma poche!
L'homme, qui s'appelait Gauvin, refusa mais garda l'information dans sa tête.
En rentrant che elle, la jeun fille entendit un son assez doux. En se penchant la fenetre de sa chambre, elle oserva un refler briller à la surfance de l'eau, dansant comme la musique. Prise de court, elle commenca à hocher la tete dans le rytme. Se laissant glisser le long d'une plante grimpante, elle descendit vers les brillantes eaux. Arrivé au bas,elle se dévétu et enfonça son corps jusqu'au bassin suivant le rytme de la chanson.
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Inconfortablement installée dans sa chaise de bureau à moitié en lambeaux, une jeune femme s’agite n’arrivant à se concentrer sur cette chose pourtant si facile… Créer l’homme parfait n’est pas la mer à boire…
Zoé s’est mise en tête de créer un robot humanoïde parfait. Il devrait ressembler à un mélange de stars magnifiques du genre Brad Pitt... Son petit frère de 20 ans, assez joli garçon, assiste à cette expérience en tant que cobaye et assistant.
-Eureka, j’ai trouvé, Eliot, viens par ici !
-En est tu sure Zoé ? Je ne suis as ignorant, je sais ce qui s’est passé la dernière fois que tu as tenté une invention de ce genre…
-Ne sois pas idiot et suis-moi. De toute façon, je vais juste faire un scan rapide de toi afin de reproduire les parties de ton corps. Le cerveau robot est prêt il ne me faut plus qu’une matière caoutchouteuse afin de faire office de peau.
Eliot accepte à contrecœur, à peine rassuré et se dirige vers son ainé, timidement. Il la suit dans un passage dont l’entrée est dissimulée deirèrre son lit et entre dans son laboratoire blanc immaculé. Au milieu de celui-ci, trône une sorte de lit recouvert d’un toit. Zoé l’indique à son frère avec un geste disant : Tu peux t’y installer. Ce dernier hésite longuement avant de faire ce qu’elle lui demande. Il entre dans la machine et referme le couvercle sur lui. A cause de la séparation opaque, Zoé ne pouvait voir que la silhouette de son frère, tendu, se demandant ce qui allait se passer. Un ordinateur était relié à la cabine et Zoé s’en approcha. La cabine fut illuminée d’une lumière blanche quand elle passa sa main au-dessus de l’écran. Sur celui-ci se trouvait le dessin du corps d’Eliot en 3D qu’elle pouvait inspecter pour qu’elle puisse voir quelles formes donner à sa création. Son frère poussa le couvercle et une vapeur blanche sortit en même temps que lui.
-C’est bon, tu peux disposer ! dit Zoé en agitant la main comme à un petit chien.
-Suis-je libre ?
-Oui.
-Pour toujours ?
-Dans tes rêves, nous avons un pacte toi et moi, je te rappelle.
-Ah... Oui…
Eliot s’en va sur cette note peu joyeuse pour lui. Il regagne son appartement quelques rues plus loin que celui de sa sœur. Arrivé dans sa chambre, il s’étale sur son lit et se prend la tête dans ses mains. Sa vie est loin d’être facile, il sert de cobaye à sa sœur à cause d’un pacte tenu avec sa sœur, il y a bien longtemps alors qu’il a promis qu’il veillera sur elle à la mort de ses parents il y a maintenant un an. Le problème c’est qu’elle est beaucoup plus maligne que lui. Ses amis s’en moquent souvent car lui, il est fort et beau mais pas intelligent. Ça, il le reconnait, combien de fois sa sœur le lui a fait comprendre ? Il ne le compte même plus. « Père, mère, aidez-moi ! Je n’en peux plus… » Des supplications muettes, ça il en a fait, bien que personne ne lui soit venu en aide. Le projet actuel de sa sœur lui fait de plus en plus peur. Créer un robot capable d’émotion, doué de la parole et capable de bouger marque le début de la fin… Le pire, c’est qu’il connait les capacités de sa sœur et qu’elle saura triompher, pas contre les robots mais contre les humains. Et c’est de ça dont il a peur
Chez Zoé ;
La jeune femme travaille à une vitesse hallucinante : Elle a déjà réussi à se procurer, grâce à son imprimante 3D, le corps de son robot. Il ne lui reste plus qu’à créer les yeux à enfoncer dans leurs orbites et à les connecter au cerveau ainsi que les cheveux mais pour ça, elle utiliserait une perruque. Elle recule de trois pas et admire son œuvre. Si on ne regardait pas le haut du visage, on croirait regarder un vrai homme, des plus parfaits. Ses lèvres paraissaient être faites pour embrasser (c’était le cas) sa peau avait l’air tellement douce… Zoé baissa les yeux et se rendit compte qu’il était dévêtu. Elle s’empressa d’aller chercher les vêtements qu’elle avait « empruntés » à son frère. Tout en l’habillant, elle pensa à sa création, elle avait fait en sorte que chaque robot pouvait avoir un enfant peu importe le sexe qu’il était. Bien sûr, si le sien devait se reproduire avec quelqu’un, c’était elle.
--Et voilà, de magnifiques globes oculaires.
Zoé finalisa son androïde et lui enfonça les deux sphères dans ses orbites en sautillant d'excitation, pleine de joie. Avec délicatesse, elle frôla la paume de sa main. Ses yeux s'ouvrirent instantanément. D'une voix grave et sensuelle, son invention la salua ;
--Bonjour maîtresse Zoé, quel est mon nom ?
Elle réfléchit un instant,
--Sri, je vais t'appeler Sri.
Ce nom lui était venu comme ça, c'était un diminutif de. Superbe Robot Intelligent. Facile à trouver n'est-ce pas ?
--Sri est mon nom et je vous aimerai, Zoé.
Que ce robot est intelligent ! Dès le début, il a compris quel était son but dans la vie.
Chez Eliot ;
Eliot se leva après une courte sieste imprévue et décida d'enfin aller chez Jeanne, sa petite-copine à qu'elle il avait posé un lapin quelques heures plus tôt à cause de l'expérience de sa sœur. Il repensa à ce pacte qu'il avait fait avec elle, de ce jour affreux où, dès ses cinq ans, son destin avait été cellé.
15 ans plus tôt ;
Eliot marchait tranquillement le long de l'avenue où habitait sa grand-mère Soraya. Il comptait les numéros des boîtes aux lettres :68,70 et... 72 ! Il était suivi de près par sa sœur de 8 ans, le sourire narquois aux lèvres se moquant visiblement de lui. Il sonna à adresse indiquée et un gars d'une trentaine d'années pointa son nez, cassé, en dehors de chez lui :
--Qui va là ?
Il grogna apercevant deux bambins sautillant devant sa porte.
--Monsieur, z'peut voire Mamy Soso ?
--Bouges de là, gamin !
--Mais z'veut voir Mamy Soso !
--J'connais pas ta grand-mère saucisse. Maintenant, foutez le camp.
--Ouiiiinnnnnnn.
Eliot se précipita comme un fou dans la maison en criant à tue-tête :
--T'as kidnappé Mamy Soso, t'as kidnappé Mamy Soso...
II se dirigea vers la cuisine en essayant d'imiter les chevaliers, sauvant les princesses dont les contes, il s'empara d'un couteau bien pointu et s'approcha dangereusement de l'homme. Il commença à courir vers lui, se prit les pieds dans un tapis, effectua un vol plané et atterrit sur le monsieur, qui reçut le couteau dans la poitrine. Zoé le tira précipitamment hors de la maison, ferma la porte et l'entraina chez eux, quelques rues plus loin, Eliot ne comprenait en rien ce qui s'était passé. Il était couvert de sang. Heureusement pour eux, c'était pendant les vacances donc personne ne traînait dans les rues.
Le lendemain, un article paru dans le journal disant ceci :
Matthew Bruno a été retrouvé mort, assassiné dans sa cuisine, un couteau de cuisine enfoncé dans la poitrine. C’était un dangereux assassin.
Zoé avait caché à son frère que sa grand-mère n’habitait pas dans cette rue, ni même dans le pays qu’elle avait indiqué à son frère. Rien de tel qu’une petite blague de temps en temps, elle n’aurait jamais fait ça en sachant qu’un homme serait mort. Bien au contraire, elle aurait tout fait pour l’éviter. Elle fit chanter son frère par ce qu’elle appela un pacte. Elle le dénoncera pour crime à moins qu’il ne devienne son assistant. Autrement dit, son esclave.
Assise sur une chaise longue au bord d’un grand bateau, à St Tropez, Zoé contemple les mouettes, pas pour se reposer, loin de là… Mais pour alimenter son esprit diabolique avec leurs ricanements. À côté d’elle se prélasse Sri, SON Sri qu’elle avait conçu. On aurait vraiment cru voir un bel homme, il avait des yeux doux et une coiffure à la mode surfer, son regard à lui aussi se perdait dans l’horizon. Il avait un air de regret, un air perdu, cela intrigua Zoé, il avait à ses côtés la femme la plus intelligente de l’univers, sa génitrice, l’esprit déplacé de cette dernière interpréta cette distraction comme le fait qu’il rêvait des prochaines journées… ou nuits… qu’il allaient passer ensemble.
Zoé, elle pensait à créer deux autres robots qui se reproduiraient jusqu’à ce qu’il y en ait assez pour servir chaque humain de l’univers. Ce serait un rêve. Perdue dans ses pensées, elle abandonna le paysage pour se diriger vers sa cabine, ses nouveaux robots étaient entièrement prêts. Contrairement à Sri, ils n’étaient pas assez sensibles pour s’allumer au moindre coup de vent. Elle les anima alors d’un bon coup de pied aux fesses, ce qui fit de l’effet .
--Bien maître, dirent-t-ils d’une seule voix. Que voulez-vous de nous ?
-Je veut que vous nous servez, moi et mon robot. Ensuite, laissez la vie faire les choses.
--Quel sont nos nom ?
--Débrouillez vous pour les trouver. Voici votre cabine.
Zoé leur indiqua un débarras assez petit. Ils entrèrent dedans. L’un deux prit la parole :
--Tu me parait féminine, je t’appellerais Lola.
L’autre sourit, elle était vraiment belle.
--J’aime ça, et toi, je te nommerais bien Thimoté, ravie de faire ta connaissance.
--Moi aussi.
C’est ainsi qu’une amitié -rien de plus- naquit entre deux robots humanoïdes.
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─Annie, entres, tu vas prendre froid !
─Merci, fit l’enquêtrice, les joues rougies par le froid, c’est si bon de te revoir !
─Effectivement, j’aimerais te présenter Michael, mon fils ! Il a 12 ans, mais il n’est pas là. »
Pendant que Léa lui préparait un café, Annie réfléchissait aux meurtres qui avaient été commis, les trois derniers mois.
Elle n’était pas mêlée à l’affaire et avait eu l’interdiction formelle d’aider qui que ce soit. son supérieur ne l'appréciez pas du tout, en tout cas, elle n’en avait pas l’impression.
─Voilà, voilà ! Le café est chaud, attention !
─Merci bien, je ne savais pas que tu avais un fils, tu aurais pu me prévenir ! Et qui est le père ?
Un éclair de tristesse passa dans les yeux de Léa ;
─Alex…
─Oh !
Alex n'était resté avec Léa que pendant 2 ans, mais il avait été emprisonné pour trafic de drogue et tentative d’enlèvement, ce qui mit fin à leur relation, et libéré trois ans après.
─J’avais décidé de garder Michael, et, quand Alexander serait revenu, on aurait laissé ce passé, pour une vie de famille. Mais ces années en prison l’ont rendu fou. Il voyait des choses horribles partout, entendait des voix, et passait de doux à agressif d’un coup.
Un jour, il est parti avec notre fils, alors âgé de 4 ans. Je ne sais pas ce qu’il lui a fait, mais, nous avons retrouvé Michael, à coté d’un Alexander pendu. C’était l’année dernière. Alex se serait suicidé d’après l’équipe médicale.
─C’est horrible !
Annie réfléchit, elle n’avait pas entendu parlé de cette affaire, elle questionna alors Léa à ce sujet :
─Cela ne s’est pas passé dans la région ? Je n’en étais pas du tout au courant !
─En effet, cela s’est passé aux Pays-Bas, à Amsterdam, il venait de là-bas.
─Et toi, es-tu avec quelqu’un ?
─Non, pas trop… Tu pourrais m’indiquer la direction des toilettes, s’il te plait ? Cela fait longtemps que je ne suis pas venue ici…
Léa se frappa le front du plat de la main.
─Mais bien sur ! Où avais-je la tête ? En haut à gauche, juste à coté de la chambre de mon fils.
─Merci bien !
Annie gravit les escaliers et arriva au premier étage, il y avait deux portes, une joliment décorée de bleu et un écriteau « WC ».
Sur l’autres se trouvaient une dizaine de panneau « interdit » avec des têtes de mort et autres. Annie sourit, elle connaissait ça, les enfant assez refermés sur eux-mêmes , c’est d’ailleurs ce qu’elle avait été durant une longue période.
Ce qu’elle remarqua au début, en poussant la porte, furent les dessins habilement fait accroché aux murs, cet enfant avait un de ces talents ! La chose que la dérangea dans ces croquis fut les innombrables taches rouges qui les peuplaient, la manière de dessiner de l’adolescent était si… glauque !
Un journal était posé sur son bureau avec la mention « Iinterdit d’y toucher, ce serait sucidaire ! »
─Troublant ! murmura-t-elle
Avec délicatesse, elle prit l’ouvrage relié et une feuille pliée en deux en tomba. Elle se pencha pour la ramasser et se cogna contre le bord du bureau.
─Aie !
En se massant la tempe, elle déplia le papier et lut les mots écrits dessus, il y en avait ne douzaine.
-Elisabeth Duprès,
-Marie Semyn,
-Laurent Guyrmant,
Tous ces noms lui disaient quelque chose, elle allait se remettre à lire quand un bruit attira son attention.
À la porte, un jeune garçon qu’elle supposa être Michael la regardait, avec une incompréhension mélangée de mépris.
─Qui êtes vous ? Et que faites vous dans ma chambre ? demanda-t-il froidement.
Il y avait de la force et en même temps de la fragilité dans le regard du jeune garçon.
─Je suis une amie de ta mère, elle m’invitait à regarder les beaux dessins que tu a fait.
─Menteuse ! Elle ne les a jamais vus !
Il se jeta sur Annie, lui arrachant le journal des mains, il sortit un couteau de sous son lit et la menaça avec, impassible. Annie recula et fit un signe apaisant :
─Tout doux, jeune homme, je suis de la police, tu n’aimerais pas être arrêtée pour agression d’un membre des forces de l’ordre, non ?
Il la foudroya du regard.
─Je n’en ai rien à foutre, allez-vous en !
─Ne me parles pas sur ce ton, mais, ok, je m’en vais.
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Une fois dans son petit appartement, Annie sortit la feuille aux noms qu’elle avait subtilement angée dans sa poche.
Elle tapa le premier nom dans son navigateur de recherche.
─Elisabeth Duprès, psychologue renommée, née le 9 janvier 1948 et décédée le 14 avril 1983. -─-Oh, c’est cette année ! Pauvre femme, elle n’avait pas 40 ans !
─Marie Semyn, psychologue, née le 13 aout 1952, décédée le 15 avril 1983.
« Même semaine, même profession ! Ne serait-ce pas aussi le même assassin ? » pensa logiquement Annie.
Elle prit son combiné et composa le numéro de la police, une voix féminine lui répondit :
─Oui, allo ?
─Je crois savoir quel est l’assassin aux douze meurtres…
─Qui cela ?
─Michael Neustri, il habite au 16 rue Maes, à Ixelles.
─Merci de votre appel, nous prendrons cela en compte.
BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIP !!!!*Bruit exagérément fort*
Annie n’était pas vraiment sure du nom de famille qu’elle avait donné à Michael, c’était celui de Léa, mais celle-ci avait peut-être gardé celui d’Alexander…
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Quand le soleil se leva, l’embarcation de Mallory fut visible de n’importe quel marin qui se serait, comme elle, trop éloigné de la côte.
Les mouettes criardes la fixaient l’air de dire : «Comment cette sombre idiote a-t-elle fait pour se retrouver ici ?
Leur question muette n’obtint aucune réponse car la jeune fille s’était laissé emporter par un sommeil profond, quelques heures plus tôt. Les cernes violettes sous ses yeux indiquaient qu’elle en avait ben besoin, en effet, depuis plusieurs jours, elle naviguait cherchant désespérément à échapper à sa vie d’avant.
Elle n’avait jamais connu son père, celui-ci avait disparut de la vie de sa femme peu avant la naissance du fruit de leur union. La mère, se retrouva désormais toute seule fut contrainte de confier sa fille unique à un orphelinat à cause de sa santé fragile.
Celle-ci ayant maintenant 13 ans et aucune nouvelles de sa mère. Normal : elle avait péri 5 ans plutôt.
Ses camarades faisaient comme si elle n’existait pas.
Sans l’épaule de son ami, Orso elle ne sait pas ce qu’elle serait devenue. C’est avec une petite pensée pour lui, pleine de regrets quelle eu l’idée de fuguer.
Rejoindre l’Espagne par la mer à toujours été son plus grand souhait. Ce pays et cette langue l’ont toujours fascinés.
Quad ses paupières papillonnèrent, la première chose qu’elle vit fut le gros nuage à l’horizon. La deuxième fut que en dessous se trouvait une sorte brume qui indiquait que le temps devrait être très pluvieux. Une grande tempête allait la faire dessaler. Un petit espoir naquit : Elle trempa son indexe dans l’eau glacée. Le levant bien haut, elle sentit dans quelle direction allait le vent.
La chance n’était vraisemblablement pas de son coté : Le vent se dirigeait vers le Nord, la direction contraire à la sienne.
Mallory tira les voiles et essaya de faire faire demi-tour à son embarcation, peine perdue, face au vent, le bateau ne bougea pas d’un pouce. La jeune fille se désespéra, il ne restait plus qu’a attendre sagement que la tempête passe.
Une dizaine de minutes plus tard, quelques gouttes la mouillèrent, qui se transforment rapidement en averse.
Sous le vent, la barque commence à tanguer, l’adolescente perd l’équilibre et se retrouve à l’eau.
Elle flotte durant un dixième de seconde avant de se faire happer par dans les profondeurs force invisible.
Elle se fait entrainer, tourbillonnante de plus en plus profond. Cette vitesse lui donne mal de tête et une sorte de vomi manque de lui échapper de la bouche.
Soudain, sa descente se stoppe net.
Elle ouvre les yeux sans même se souvenir de les avoir fermés et observe ou elle est, tout en s’interrogeant sur le fait que le manque d’air ne soit toujours pas un problème.
Sous elle, se trouve une sorte d’immense bulle. Vraiment immense, pas comme ces bulles géantes que les clowns font en démonstration, immense comme un pays, la terre…
Mallory ne peut pas en définir la taille, vu que tout ce qu’elle aperçoit n’est qu’une bulle aux reflets brillants s’étalant de chaque cotés de son angle de vue.
Elle tend le doigt pour toucher cette chose intrigante et avant même qu’elle aie pu l’atteindre, un douleur intense la saisit à la tête et elle perd connaissance.
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Je m’appelle Reyna Byle et j’ai 12 ans. Mes plus gros défauts sont l’inattentive et l’insolence… C’est drôle, qui se présente en commençant par ses défauts ?
Eh bien… Moi !
Je vis seule avec ma mère et mon frère de 17 ans. Ce dernier se prend pour le roi du monde depuis quelques jours, il faut dire que l’apparition de poils au-dessous de son nez le change un peu. En tout cas pour maman qui est peinée et répète toute les deux minutes « Oh, mes bébés, vous grandissez tellement vite…. »
Cela doit être la nostalgie, elle repense à quand on piquait des crises toutes les deux secondes pour un tout et pour un rien, nous sommes donc pires, maintenant ?
Aujourd’hui, ce vendredi 5 octobre, ma vie va changer, et pour toujours….
—S’il te plait, Reyna, pourrais tu faire un effort et répéter ce que je viens de dire ?
Je lève la tête rapidement, je dois ressembler aux monstres dans les films : « Qui ose trrrrroubleer mon sommmmmmmmeil ? » Remarque, c’est exactement ce que je pense en ce moment.
—Hmmm… Vous parliez du théorème de Pythagore ?
—Tu es tombée à coté de la plaque, en cours d’histoire, on parle de Napoléon ! Fais ton sac et sors de la classe maintenant !
Pendant que cette horrible prof, Mme Juliette interrogeait un autre élève, je trainais mon sac hors de la classe, sous les regards moqueurs de mes camarades. Il faut dire que j’étais assez rejetée, au collège. Ma seule amie, Olivia, était tout le contraire de moi, populaire, partageuse, et tout ce qui va avec.
Je m’assied dans le sombre vouloir de notre école, contre mon casier froid et dur comme le sol. Le yeux rivés sur le ciel, je prends conscience que je suis de plus en plus fatiguée j’ai pour habitude de m’endormir n’importe ou, n’importe quand.
Des bruits de pas précipités se font entendre, j’ouvre les yeux, les sens en alertes. L’indésirable Meghan apparait, la terreur du collège. Elle me surplombe d’une tête, du haut de ses 1m74, une vraie géante ! En tout cas, vu qu’elle a 14 ans, elle est un peu au-dessus de la moyenne (pour moi). Ses cheveux noirs, lui arrivent aux épaules, encadrent un visage grassouillet de bambin trop gâté. Ses yeux noisettes perçants indique l’ennui. Ses longs doigts fins sont couverts de griffures, elle dit avoir un chat ; tempête. Drôle de nom, pour ce félin, n’est ce pas ?
Elle se penche vers moi, les poings sur les hanches, un sourire narquois sur les lèvres. Au moment ou elle commence à parler, la sonnerie désagréable de mon école tout aussi désagréable retentit. « Sauvée par le gong, ».
Le sourire aux lèvres, je me dirige vers le réfectoire. Un évènement d’une bizarrerie sans nom se produit : La cuisinière, en souriant, nous sert des sushis ! Cette nourriture me réconforte instantanément Olivia me rejoint, tout aussi joyeuse. Elle s’apprête à dire quelque chose, à l’instant ou Bruno, un garçon de sa classe l’interpelle :
—Hey Ollie, ça va ? Tu as eu combien à l’exam de sciences ?
—19,5.
—Tu es trop forte !
Ma meilleure amie rougit de tant d’attention. Elle le remercie tout bas. Il lui répond :
—De rien, ça vient du cœur. Cela te dirait de venir manger avec moi ce midi ?
Elle me regarde, je l’encourage d’un signe de tête, enthousiasmée que mon amie soit intéressée par un Bruno, ils feraient un si beau couple…
Elle me surprend en lui répondant par le négatif :
—Ecoute… C’est la première fois qu’on a des sushis et j’aimerais en profiter avec ma meilleur amie, ce sera pour une autre fois. Bon appétit.
Je la regarde en soupirant :
—Mais pourquoi as-tu fais ça, Ollie ?
—Eh bien, il parait gentil, mais ce n’est pas mon genre…
Une fois de nouveau en cours, alors qu’une autre prof s’apprêtait à me faire la morale, Bruno, le gars qui avait proposé à Olivia de manger avec elle entra d’un coup dans la classe.
—Je… bonjours, Mme Soltire, excusez moi de vous déranger, mais, M. Craiger à fait un malaise !
—Que s’est-il passé, exactement ? interrogea la professeure, qui, comme tout le reste la classe, peinait à garder son calme.
—Eh bien, en plein cours, il s’est arrêté, est devenue tout pale, à porté ses mains à la gorge et s’est écroulé sur l’estrade. Ensuite, phénomène étrange, sur ses doigts ont poussé de petits boutons grisâtre, cela m’a donné envie de vomir. Tout les autres élèves se sont rendu dans des classes différentes pour prévenir les autres enseignants.
Il reprit son souffle et fit un signe indiquant qu’il avait finit. C’est à ce moment là que la voix de la directrice s’éleva dans toutes les classe :
—Un virus à été déclaré dans l’enceinte de l’école, veuillez immédiatement vous cloitrer dans vos classes jusqu’a ce que je cite vos prénoms, nous avons envoyé un mail à vos parents.
Tout d’un coup, j’eu peur pour Olivia, ses parents étaient toujours en déplacement, être enfant d’acteurs devait être si compliqué !
Mon nom résonna dans les premiers, ma mère devait tellement stresser qu’elle a du se jeter dans la voiture. Je courus pour sortir de ma salle de classe ou j’avais été confinée pendant peu de temps. Je me jetais dans les bras de maman, soulagée.
—Mamaaaaaaaaaaaaaan ! Il faut absolument aller chercher Olivia !
—Je sais, ses parents m’ont demandé de le faire, ne t’inquiètes pas.
Malgré l’ordre du directeur, les couloirs grouillaient de collégiens en panique.
—Mais on ne va jamais la trouver dans ce bazar !
—Bien sur que si… La voilà !
Je regardais dans la direction que pointait ma mère, en effet, ma meilleure amie se tenait à une dizaine de mètres, me tournant le dos.
—Olivia.
—Olivia !
—OLIVIAAAA !!!!!
Elle se retourna enfin. La première chose que vis furent ses yeux inexpressif, ensuite les boules grise sur sa main. Ma mère, qui n’avait rien remarqué, la prit par le bras pour l’amener vers la sortie.
—Maman ! Olivia… elle est contaminée !
J’eu juste le temps de voir un éclair de stupeur dans ses yeux avant que ma meilleure amie fasse quelque chose qu’elle n’aurait jamais fait avant. Oh que non, jamais !
Avec horreur, je vis Olivia rentrer son doigt dans l’oreille de maman.
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