Gauthier FACCIOTTI
Je suis un écrivain depuis mes dix ans, et si vous vous demandez pourquoi j'aime tant la littérature, il faut remonter jusqu'à Thilliez, King, et les auteurs comme Daniel Pennac qui m'ont tant inspirés.
Quand d'autres se foutaient les yeux en feu à la Xbox, je lisais Dostoïveski et Au bonheur des Ogres. J'étais un maigre mangeur, je mangeais peu pour dévorer ma passion des livres. Depuis peu j'ai signé ma licence avec une Edition à Montpellier, et j'ai commencé à me retranscrir sur un besoin littéraire de tout le monde : l'amour, le crime et l'amitié.
"Parce qu'il n'y a rien sans amour, vous êtes séducteurs" "Parce que sans des criminels comme John Wayne Gacy, je serais au bout d'un tunnel sans fin et nu comme un poisson" "Parce que mes amis ne sont plus là pour me lire ?".
Ma citation, définition de la vie : "Un jour, je me suis réveillé face à une étoile, mon ange gardien. Le second jour, j'étais au chômage, elle m'a plus parlée. Le troisième jour, avec mon nouveau boulot, elle m'a reparlée comme un ange : voilà ma définition de la vie : elle vous envoie paître pour vous aimer comme jamais ! Et elle vous épouse, je ne vous propose pas le bonnet, Faccini, mais l'amour avec un grand A !"
Moi, un écrivain, G.F.B
Œuvres
Voilà le résumé d'un petit évènement qui bouleverse ainsi la capitale : le racisme dans un seul braquage.
Un nègre, un Blanc, et une vieille au calibre 22 qui les a buté, achevés au M3 soviétique. Les traces oubliées, la mémoire d'une fée qui tue.
L'Inspecteur Pastor est chargé sur le coup. Mais bien vite, on le mène à Titi, frais parisien ex et obligé à payer la pension de sa femme en échange de neuf demis-enfants. Pas très riche, habitant l'ex-magasin ruiné de sa famille.
Quand soudain, tout est devenu clair : la Tante revient, les souris pleurent. Tante Giunelli de son voyage en Afrique du Sud revient en annonçant son meurtre devant un Titi dépité, qui doit maquiller la scène de crime et l'affaire.
Alors, humbles écrivains, écoutez mon histoire, mes débuts, comment en suis-je arriver là...
Pourquoi vouloir tant l'amour ?
Regardez, vous saurez tout de moi