Cagou0975
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de toujours
Quitte à (re-s)sortir mes écrits du placard, autant en faire de même avec les citations que j'accumule dans l'ombre depuis des années. Autant qu'elles en inspirent d'autres.
Citations coups de blues. Mais pas que. Il y a de tout et de rien.
AUCUNE de ces citations n'est de moi. N'hésitez pas à vous servir ;)
Citations coups de blues. Mais pas que. Il y a de tout et de rien.
AUCUNE de ces citations n'est de moi. N'hésitez pas à vous servir ;)
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« Les miroirs feraient bien de réfléchir un peu plus avant de renvoyer les images. » Cocteau
[*REMANIEMENT DES PREMIERS CHAPITRES EN COURS*]
Cinq adolescents, bénéficiaires d’aptitudes singulières et habités par des voix à l’écho entêtant, se retrouvent confrontés à un schéma au refrain souvent invariable, sans en déterminer le sens. Ils peinent à comprendre la raison de leur lutte contre des assaillants et des croquemitaines issus d’un passé qui les hante.
PREMIER TOME EN DEUX PARTIES.
Premier tome d'une trilogie de genre fantastique basée sur une réflexion filée sur la symbolique du miroir et de la dualité ambigüe de celui-ci.
Mais attention, si le début peut paraître simple et assez cliché, la suite se complexifie assez rapidement (parce que je ne sais plus faire dans le simple apparemment). En outre, ce roman est extrêmement LONG et TORTUEUX, même /surtout avec un découpage des chapitres plus que nécessaire. Sans oublier un nombre IMPORTANT de personnages. Et... ah oui, les premiers chapitres sont un massacre :). Je suis au courant. Si encore c'étaient les seuls.
À vos risques et périls, vous voilà prévenus. Je suis très douée pour perdre les gens.
C'est le tout premier roman que je publie. N'hésitez pas à me faire part de vos avis, je suis preneuse de tout commentaire.
[*REMANIEMENT DES PREMIERS CHAPITRES EN COURS*]
Cinq adolescents, bénéficiaires d’aptitudes singulières et habités par des voix à l’écho entêtant, se retrouvent confrontés à un schéma au refrain souvent invariable, sans en déterminer le sens. Ils peinent à comprendre la raison de leur lutte contre des assaillants et des croquemitaines issus d’un passé qui les hante.
PREMIER TOME EN DEUX PARTIES.
Premier tome d'une trilogie de genre fantastique basée sur une réflexion filée sur la symbolique du miroir et de la dualité ambigüe de celui-ci.
Mais attention, si le début peut paraître simple et assez cliché, la suite se complexifie assez rapidement (parce que je ne sais plus faire dans le simple apparemment). En outre, ce roman est extrêmement LONG et TORTUEUX, même /surtout avec un découpage des chapitres plus que nécessaire. Sans oublier un nombre IMPORTANT de personnages. Et... ah oui, les premiers chapitres sont un massacre :). Je suis au courant. Si encore c'étaient les seuls.
À vos risques et périls, vous voilà prévenus. Je suis très douée pour perdre les gens.
C'est le tout premier roman que je publie. N'hésitez pas à me faire part de vos avis, je suis preneuse de tout commentaire.
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Chapitre 12 à 24 (épilogue)
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Je ne sais pas pour vous, mais en ce qui me concerne, l'écriture est une des rares activités auxquelles je consacre la majeure partie de mon temps... mental. En permanence me poursuivent mes romans, nouvelles ou autres élucubrations narratives. En permanence, je remets l'écriture "à plus tard", à "demain-sera-mieux-j'aurais-plus-de-temps" pour finalement renâcler devant l'obstacle. Et au final je ne crée rien et cela me hante... etc.
Et pourtant, l'écriture est une des rares occupations dans lesquelles je me sens vivante et réellement présente.
Allez comprendre, j'y ai renoncé depuis longtemps.
En plein blocage de mon fichu bouquin dont j'ai pourtant toute la trame sans pouvoir en écrire une seule ligne, j'ai voulu tenter un truc différent. Et thérapeutique, pour ne pas changer.
À mi-chemin de l'essai, je vais essayer de dépeindre ce que j'ai baptisé "la culture de l'absence" (d'où le titre). Ce ne sera peut-être pas long, peut-être bien que si, je ne sais pas.
Si ça peut aider certains lecteurs à appréhender le concept de dépersonnalisation j'en serais ravie. En continu, ce phénomène peut être épuisant.
Contrairement à ce que veut mon entourage, je n'écris pas pour être lue en premier lieu, mais bel et bien pour me prouver que je suis réelle et bien moi. Même si j'ai conscience que ce n'est pas le genre de lectures qui pourrait plaire, "I couldn't care less" ^^).
J'ai décidé moi aussi d'être franche et de dire quand ça ne va pas. Au moins un truc que je peux faire par écrit, à défaut de le dire, en vrai.
4 chapitres.
Et pourtant, l'écriture est une des rares occupations dans lesquelles je me sens vivante et réellement présente.
Allez comprendre, j'y ai renoncé depuis longtemps.
En plein blocage de mon fichu bouquin dont j'ai pourtant toute la trame sans pouvoir en écrire une seule ligne, j'ai voulu tenter un truc différent. Et thérapeutique, pour ne pas changer.
À mi-chemin de l'essai, je vais essayer de dépeindre ce que j'ai baptisé "la culture de l'absence" (d'où le titre). Ce ne sera peut-être pas long, peut-être bien que si, je ne sais pas.
Si ça peut aider certains lecteurs à appréhender le concept de dépersonnalisation j'en serais ravie. En continu, ce phénomène peut être épuisant.
Contrairement à ce que veut mon entourage, je n'écris pas pour être lue en premier lieu, mais bel et bien pour me prouver que je suis réelle et bien moi. Même si j'ai conscience que ce n'est pas le genre de lectures qui pourrait plaire, "I couldn't care less" ^^).
J'ai décidé moi aussi d'être franche et de dire quand ça ne va pas. Au moins un truc que je peux faire par écrit, à défaut de le dire, en vrai.
4 chapitres.
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Nouvelle très courte mais très glauque, écrite à l'origine pour un concours de nouvelles.
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Puisque toutes les larmes du ciel Ne suffisent à cacher votre joie, Moi, je noierai ma peine Afin que nul ne la voie. Mais si dans la nuit frêle Je m'en viens à m'évader, Alors vous comprendrez, demoiselle Ce qu'il m'en a coûté D'effacer mes regrets, D'étouffer mes envies, Je ne suis qu'un vampire Ivre de rêves et de vie.
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Défi
Avant toute chose, je dois avouer que je ne m'y connais rien en romance. Pourtant, ce défi me parlait bien, j'avais donc envie d'essayer.
Mais ma petite romance réaliste à l'eau de rose a pris sur la fin une tournure de conte au final fantastique fantaisiste et je m'en excuse (j'ai chopé le virus du conte, help !). Alors je pense que j'ai en quelque sorte loupé ce défi. Néanmoins, écrire cette histoire m'a laissé un goût guimauve praliné sur le cœur, donc j'espère être pardonnée.
Comme je suis lente à l'écriture, je publierai mon récit en plusieurs chapitres courts (à défaut des phrases).
Bon rétablissement !
Mais ma petite romance réaliste à l'eau de rose a pris sur la fin une tournure de conte au final fantastique fantaisiste et je m'en excuse (j'ai chopé le virus du conte, help !). Alors je pense que j'ai en quelque sorte loupé ce défi. Néanmoins, écrire cette histoire m'a laissé un goût guimauve praliné sur le cœur, donc j'espère être pardonnée.
Comme je suis lente à l'écriture, je publierai mon récit en plusieurs chapitres courts (à défaut des phrases).
Bon rétablissement !
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Défi
Elle voulait juste un peu d'amour. Abandonnée là, dans un verre d'eau fade juste assez pour qu'elle s'étiole. Elle voulait juste un peu de chaleur humaine à laquelle elle désirait s'abreuver. Mais l'homme confond prouesses technologiques et réalité et laisse la nature se fâner.
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Défi
Nom : Dans un domaine particulièrement ciblé ? Fille-de. Prénom : Gabrielle. J'étais la fille perdue, essayant désespéremment de me rendre invisible. Ayant égaré des codes de sociabilité que je n'avais jamais eu (pas reçu de mémo), mes rapports avec les autres ont longtemps été problématiques. Je suis la deuxième d'une famille de huit enfants. Famille à laquelle je me suis longuement raccrochée, me confondant dans cette entité décalée et loufoque. Dès que les "petits" sont devenus grands et qu'il s'est avéré qu'ils avaient moins besoin de moi que moi j'avais besoin d'eux, j'ai dû larguer les amarres, un peu brutalement, un beau jour d'été. À presque 30 ans, il était plus que temps de sortir de l'ombre, non ? À présent j'apprends à me représenter en tant que "moi", entité bien distincte de ma famille. Et des autres. Dyspraxique un peu, dyscalculique beaucoup, et asexuelle très probablement, je ne laisserai pas ce genre de détails me plomber. J'apprends à me découvrir, et l'écriture dans laquelle je me replonge avec avidité m'y aide beaucoup. Mes notes sont confuses et illisibles, mes histoires aussi, mais j'y prends énormément de plaisir et je crois bien que c'est l'essentiel. Je me
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Embarquer Gaël, jeune étudiant, dans une folle virée rocambolesque, voilà qui n'était pas prévu au programme d'Annaëlle et de Moran, nouvellement responsables de la zone 123-B156 en tant que Myréenne et apprenti Père Fouettard commis d'office. Ce n'est pas comme si le jeune homme leur avait laissé le choix : pas question de le laisser gambader seul en territoire interdit, on voulait éviter un nouveau Narnia. Et tout sauf les Ganglorines.
Seule solution, le camoufler parmi les lutins annuels, alias "la clique des Pairs Dans la foule des gens dénués
d'intérêt", surnom auto-attribué par dérision. Petit problème technique, comment se fondre dans une masse qui n'est pas réelle sans se faire repérer ?
Au départ, c'était parti d'une simple boutade. J'avais évoqué l'idée rigolote de m'attaquer à l'impressionnant mythe du Père Noël et de son acolyte, le Père Fouettard. Mon entourage avait trouvé cette idée totalement stupide. – Merci du soutien –.
Erreur monumentale. Comme je suis d'un naturel obstiné et fichtrement contradictoire, je me suis lancée dans l'aventure, rien que pour leur prouver le contraire. Et me voilà bien avancée.
Je n'ai qu'une ébauche d'intrigue (le résumé en fait), un vague début, pas d'antagoniste pour le moment (en faut-il un forcément ?), je ne sais même pas si je vais parvenir à du concret, encore moins où je vais en venir. Ce qui est un réel défi pour moi. Mais il se trouve que, mine de rien, j'apprécie les défis, et celui-ci est un excellent exercice. Alors on verra bien. Le point positif, c'est que ce récit-là sera adapté au format de Scribay. Quoique, je me connais, cela peut vite dériver.
N'hésitez pas à me faire part de vos avis, de vos idées ou de vos commentaires s'il en est !
Je préfèrerais des avis sur le fond plutôt que sur la forme pour le moment (sinon je risque de me "bloquer" pour un petit conte qui a pour but initial de m'inciter à l'écriture spontanée). Merci !
Seule solution, le camoufler parmi les lutins annuels, alias "la clique des Pairs Dans la foule des gens dénués
d'intérêt", surnom auto-attribué par dérision. Petit problème technique, comment se fondre dans une masse qui n'est pas réelle sans se faire repérer ?
Au départ, c'était parti d'une simple boutade. J'avais évoqué l'idée rigolote de m'attaquer à l'impressionnant mythe du Père Noël et de son acolyte, le Père Fouettard. Mon entourage avait trouvé cette idée totalement stupide. – Merci du soutien –.
Erreur monumentale. Comme je suis d'un naturel obstiné et fichtrement contradictoire, je me suis lancée dans l'aventure, rien que pour leur prouver le contraire. Et me voilà bien avancée.
Je n'ai qu'une ébauche d'intrigue (le résumé en fait), un vague début, pas d'antagoniste pour le moment (en faut-il un forcément ?), je ne sais même pas si je vais parvenir à du concret, encore moins où je vais en venir. Ce qui est un réel défi pour moi. Mais il se trouve que, mine de rien, j'apprécie les défis, et celui-ci est un excellent exercice. Alors on verra bien. Le point positif, c'est que ce récit-là sera adapté au format de Scribay. Quoique, je me connais, cela peut vite dériver.
N'hésitez pas à me faire part de vos avis, de vos idées ou de vos commentaires s'il en est !
Je préfèrerais des avis sur le fond plutôt que sur la forme pour le moment (sinon je risque de me "bloquer" pour un petit conte qui a pour but initial de m'inciter à l'écriture spontanée). Merci !
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Défi
Les premières heures du jour qui s'éclatent sur des murs au ton abricot. La clarté qui se répercute, riche de promesses. Mon frère est debout dans son lit, ce lit d'enfant en bois bleu pâle dans lequel mon grand-père a dormi, qui a également servi à ma mère, peut-être. Il ne jure pas ce lit, il donne sens à l'ensemble, il fait la pièce. En face du mien, mon frère, dans le sien, debout. À peine réveillé, il me regarde. Et j'en fais de même. Nous échangeons des grimaces puis soudain nous éclatons de rire. Et nos éclats s'éparpillent dans la pièce abricot au lit bleu, sur les murs jaune canari. Nous rions sans retenue aucune. Simplement dans l'euphorie du réveil, à travers nos grimaces. C'est mon souvenir le plus lointain, la petite fille de dix ans qui vient tout juste de le retrouver en est sûre. Elle retiendra ces couleurs si pâles et si vives dans ma mémoire, l'atmosphère, le petit lit dans lequel ont dormi les aînés, dormira tout le reste de la fratrie, même les toutes petites sœurs qui ne connaîtront jamais la petite fille de mes dix ans. Elle a le sens du détail. Mais elle n'arrive pas à retenir l'intonation de nos rires d'enfants, si joyeux. Un film muet en technicolor dans sa
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Défi
Anna se baissa pour chausser ses souliers. Avec appréhension. C'étaient bien les mêmes que précédemment, rouge cerise, des talons jusqu'à la pointe. Elle ne constatait aucun changement mais n'osait le dire, pour ne pas contrarier le cordonnier qui s'était donné tant de mal pour elle. C'est alors que le cordonnier l'invita à les étrenner, de quelques pas. Anna s'exécuta. Et écarquilla les yeux : Au bout de ses souliers, son ombre avait drastiquement rapeti sous l'effet d'un régime éclair. Elle ne s'étendait plus sur les murs, ne la couvait plus de son ombre étouffante. C'est bien simple, elle n'était plus que l'ombre d'elle-même. Anna s'étonnait à grands cris ravis tandis qu'elle virevoltait sur ses pieds, devenus bien plus légers qu'ils ne l'avaient jamais été. Le cordonnier avait-il plié et replié l'ombre ombrophage pour la coudre de force sous ses souliers ? — Je ne suis pas un magicien. Seulement un simple cordonnier qui sait cerner les gens en cernant leurs souliers. On ne trouve plus de cordonnier aussi facilement qu'avant. Les gens ne donnent plus leurs chaussures à réparer. Une fois usées, ils préfèrent les jeter. Pour prendre soin de leurs chaussures, ils faudraient déjà qu
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