- Je ne suis plus un enfant ! Je n'ai pas besoin d'une nounou ! s'écria-t-il.
- Tu n'as pas le choix ! Elle restera ici autant de temps qu'il sera nécessaire ! dit sa mère.

Beau, fier, arrogant, pervers, intelligent, charmeur... Voilà les mots qui définissent Chase Jones. Comme tout les gosses de riches, il est dans une prestigieuse université. Mais entre les fêtes, la consommation de drogue et d'alcool, il ne sait plus trop où il en est.

Après un accident, Charles Anderson se retrouve à l'hôpital où il a complètement changé

Passons au meilleur personnage du premier tome ! Je plaisante rohh ! Bon, Fedora est belle, intelligente, ( trop ) gentille, ( trop ) sensible et trop ( susceptible ). Mais surtout, elle est amoureuse de Charles Davis. Un garçon populaire ( trop ) banal mais ( trop ) craquant.

Chase Jones. Maintenant que l'amour de sa vie est morte, il doit apprendre à vivre sans elle. Ou plutôt, à survivre.

Ceci est un recueil d'histoires courtes. Elles n'auront pas de suite. Elles traiteront toutes d'une seule et même personne qui est un personnage de manga que j'apprécie énormément. ( Pour une fois que ce n'est pas sur Sebastian Stan... ) Si vous avez besoin d'éclairage concernant certaines parties, je me ferais un plaisir de vous renseigner.
En espérant que vous prendrez à plaisir ce petit recueil autant que j'ai prit plaisir à l'écrire

Les Elfes Noirs sont de retour et ils comptent bien renverser leurs frères Elfes de Lumière.
Malheureusement, quand le prince Wilwarin revient après avoir disparu pendant plus de trois jours, Aerin, son aimée, remarque que son comportement n'est plus du tout le même.
Que se passe-t-il ? Pourquoi est-il devenu si sombre d'un coup ? Est-ce encore un des mauvais tours de Loki ou un des tours sournois du frère jumeau du prince, Herumor ?

La belle blonde avait entendu un rire sinistre. Elle s'avança avec la peur au ventre. Ce rire a glacé le sang ne lui était pas inconnu. Sa mâchoire se crispa, elle marcha encore. Elle entendit qu'une masse était au sol, juste derrière elle. Les cheveux de sa nuque s'hérissèrent et un frisson lui parcoura l'échine. Elle se retourna et vit une silhouette familière dans une armure. Cette silhouette s'avança vers elle.
Si l'obscurité lui avait évité de voir le visage de cette silhouette, celle-ci ne l'aida en aucun cas puisqu'elle se rapprochait de plus en plus de la lumière.
La blonde étouffa un cri horrifié, plaquant ses fines mains sur ses lèvres charnues et roses. La personne qui se tenait devant elle ne pouvait être celle qu'elle était avant. En face d'elle se trouvait un homme aux cheveux hérissés et d'un blond sale. Ses yeux étaient d'un vert rayonnant. Son visage semblait avoir été brûlé et ses dents étaient pourris. Il était devenu un monstre. Si la blonde avait réussi à ne pas crier, elle n'avait réussi à refouler ses larmes qui perlait à ses beaux yeux bleus.
 - Harry ? demanda-t-elle en enlevant ses mains de sa bouche.
 - Harry est mort ! hurla celui-ci, tremblant de tout son corps.
Son coeur, qui battait la chamade, ne stoppa pas sa danse infernale dans sa prison d'os. En effet, l'homme qu'elle avait en face de lui n'était pas Harry. Harry était un très beau jeune homme aux yeux océan, à la peau laiteuse, aux lèvres charnues et pulpeuses et au sourire craquant. Il était d'une beauté atypique et rare, que ça soit physique ou psychologique. Il voulait aider les gens. C'était son but. Mais tel qu'elle le voyait à présent, il n'avait plus rien de cet Harry Osborn qui était plein de vie. Il aimait la vie et avait une soif insatiable d'amour et de reconnaissance.
 - Tout va bien, d'accord ? On va trouver un moyen... dit-elle en douceur en s'approchant de lui.
Maintenant qu'elle s'était habituée à son horrible apparence, elle en avait plus peur. Les anciens amants étaient maintenant face à face. Elle posa sa main tendrement sur la peau brûlée de l'homme qu'elle aime et le regarda avec douceur et amour. Elle n'avait plus peur car elle savait que le véritable Harry était toujours là. Après tout, elle n'était pas tombée amoureuse de lui pour son physique ni pour sa richesse mais pour sa grandeur d'âme et tout les autres qualités qui ont fait de lui l'homme qu'elle aime. Elle plongea ses yeux dans les siens et vit une infime partie de bleu dans ses yeux. La blonde eu une réminiscense. Elle voyait Harry sous son ancienne apparence. Il portait un t-shirt noir au col en V sous une veste noire en cuir. Ses cheveux châtain étaient désordonnés et ébouriffés, et tombaient sur son front. Il avait une brûlure dans le cou et une blessure près de l'oeil, ne cachant pas ses cernes et qui réhaussait sa beauté. Elle ferma les yeux et se colla encore plus à lui. Elle posa ses lèvres contre les siennes et les pressa. Elle prit son autre main, celle qui était gantée, et entrelaça leurs doigts. Malgré la peur qu'il lui inspirait à cause de son nouvel aspect, elle l'aimait toujours.

Je me trouve dans un parc à la végétation luxuriante. Je suis assise sur un banc et lis un livre. Alors que je suis tranquillement en train de savourer ma lecture avec une musique apaisante, je lève la tête et vois un jeune homme, assit sur le banc en face de moi. Je ne peux détacher mes yeux de lui, il est si beau... Sa peau est laiteuse et ses cheveus ébourrifés sont châtain et bouclés sur le devant. Ils lui tombent sur le visage. Je ne peux pas voir ses yeux mais je parie qu'ils sont d'une douce couleur noisette et qu'il porte des lunettes rondes. Quant à ses lèvres... Qu'importe tant qu'elles sont tentatrices ! Il est habilé d'une veste noire en jean, d'un gros pull blanc à capuche, d'un jean noir et est chaussé d'une paire de basket de la marque Nike. Il a fait des ourlets à son jean, dévoilant ses chevilles blanches. A côté de lui se trouve un casque de moto. Je parie qu'il en fait. J'essaye de reprendre mes esprits en secouant la tête. Je reprends ma lecture mais mes yeux vont sans cesse de la page du bouqin à mon bel et mysérieux vis-à-vis. Je ne cesse de le contempler. Il doit avoir mon âge, à peu près. Bien sûr, il n'y a pas que la beauté qui compte pour moi mais de ce que je peux voir, il est craquant et semble être un gentil garçon. Je prends donc mon courage à deux mains et me lève pour aller lui parler. Mais, je ne suis tellement pas discrète lorsque je me lève que le garçon hisse la tête et je sens son regard sur moi. Je me retourne, gênée, mes joues s'empouprent, je le sens. Il a de beaux yeux noisette en amande et des lèvres pulpeuses. Mes joues sont chaudes et je plaque mes mains froides pour les refroidir mais rien n'y fait. Je prends mon livre en main et fais volte face. Je suis de nouveau face à lui, qui est encore une fois sur son portable. Je soupire et me dirige vers lui. Mes pas me semblent pesants mais je ne perd pas la face. Je suis face à lui et attends qu'il daigne me regarder. Je me râcle la gorge plusieurs fois avant qu'il ne relève la tête vers moi et qu'il me regarde avec ses yeux marron.
 - Bonjour, fit-il, dévoilant un appareil dentaire sur ses dents blanches.
 - B-bonjour, répondis-je, bégayant.
 - Je peux t'aider ? me demande-t-il, haussant un sourcil.
 - Hum... Oui... Je cherche une chanson avec des chats, fis-je, n'ayant pas réfléchis une minute à ce que j'allais lui dire.
 - Des chats ?
 - Oui ! je m'exclame. J'adore ces mignones petites boules ! fis-je, souriante, essayant de ne pas perdre pas la face avec mon excuse bidon.
 - Pourquoi tu me demandes ça à moi ?
 - Parce-que... Hum... Je n'ai plus de batterie sur mon téléphone et que toi tu en as, de portable... je rétorque, passant une main sur ma nuque et me maudissant pour cette excuse.
 - Je peux en chercher une, si tu veux...
 - Trsè bien ! je lui réponds.
Il baisse la tête vers son portable et je me retourne, pour ne pas être tentée de le regarder durant sa recherche. Je me sens tellement bête... Pourquoi n'ais-je pas trouver un prétexte moins honteux ? C'est sûr, il doit être en train de pense que je suis folle ou que je suis débile... Je me frappe le front lorsque sa douce voix m'interpelle, m'informant qu'il en a trouvé quelques-unes. Je fais semblant de m'y interresser lorsque je remarque son regard sur moi tandis que je regarde les vidéos. C'est peut-être mon esprit qui me joue des tours, mais j'ai l'impression qu'il sourit. Je me suis sûrement bien débrouillée ! Je rougis et voit que ses yeux descendent sur mon livre et sur mon téléphone que j'ai encore en main. Soudainement, mon portable vibre et l'écran d'accueil s'affiche. Mes joues sont ardentes, mon coeur bat à cent à l'heure et ma mâchoire se contracte. Je sais qu'il l'a vu et je sais que c'est pour cette raison qu'il rit. Je ferme les yeux, me pince les lèvres et relève la tête, détachant mes mirettes de ce que je regardais vraiment : ses mains fines et blanches. Tout chez lui était beau. J'ouvre mes yeux.
 - Qu'est ce qui est si drôle ? je lui demande.
 - Ce qui est drôle : c'est ton excuse. Le fait que tu aimes les chats, ça je m'en fiche, moi aussi j'aime bien. Mais que tu me fasses croire que tu n'as plus de batterie alors que tu lisais et écoutais de la musique avant je ne vienne, ça c'était vraiment petit.
 - Mais... Mais, je bégaye, cherchant à me défendre. Je n'avais peut-être plus assez de batterie pour faire une re...
 - Hin, hin, dit-il en secouant un index réprobateur - même ce geste était craquant chez lui - à 88% de batterie, on en a suffisament pour faire une recherche continue-t-il. Tu ne pouvais pas direvtement me demander comment je m'appelle pour t'éviter ça ?
 - Non, je n'y ai pas pensé...
 - Ah les femmmes...
 - J'ai 17 ans !
 - Et moi 16 ! rétorque-t-il. Bientôt la majorité ?
 - Pour toi aussi... je commence alors que je n'ai pas son prénom.
 - Tu veux...?
 - Ton prénom, je fais entre mes dents.
 - Charlie.
 - Charlie...
Même son nom est merveilleux. Je n'arrive pas à croire que je suis tombée sous le charme d'un beau crétin aimant les chats...

Fedora est seule dans un étrange endroit. Le vent se lève, le son des branches qui bougent est agréable à ses oreilles. De même que le son des aiguilles de sa montre. Elle commence à marcher mais ses jambes se bloquent. Elle ne comprend pas, elle reste plantée là comme les arbres qui l'entourent. Soudain, elle sent que des bras musclés s'enroulent à sa taille. Quelqu'un se colle à elle, blotissant sa tête entre son épaule et sa nuque. Elle sent un souffle chaud dans son oreille. Elle baisse la tête et voit deux mains basanées sur son ventre. Celles-ci entamment le déboutannage de sa chemise blanche. Elle se mordit la lèvre inérieure tandis que les mains continuaient leur ascension vers le col de sa chemise avec lenteur et douceur. Sa chemise était enfin ouverte, l'homme posa ses lèvres sur sa peau et commença à la sucer tandis qu'il mit ses mains sur l'abdomen de la jeune fille. Il abandonna ses mains sur son ventre avant d'arriver à son soutien-gorge blanc en dentelle. Il passa sa main en douceur entre sa poitrine où se trouvait un tatouage representant la croix de vie égyptienne. Elle frisonna un peu jusqu'à ce que les mains de l'homme qui lui laissait un suçon dans le cou ne prenne sa poitrine dans ses mains. Il se colla encore un peu à elle. Il enleva une de ses mains de sa gorge et mit de côté ses longs cheveux blonds. Il continua de sucer la peau de son cou. Il enleva sa main de son cou et les passa sous sa chemise, effleurant de ses fins doigts tannés par le soleil son dos sensible. Il dégrapha son soutien-gorge et plaqua ses mains sur les baleines pour éviter qu'il ne tombe. Fedora enleva sa brassière, et l'homme garda ses mains sur ses seins. Mais, il s'en alla. La blonde rabattit sa chemise sur sa poitrine et se retourna. L'environnement dans lequel elle se trouvait avait changé. Elle se trouvait dans une chambre équipée simplement d'un lit aux couvertures blanches. Elle regarda autour elle et vit quelqu'un derrière la porte. Elle s'avança et vit alors l'homme qui la tenait. C'était un homme assez grand et d'une grande beauté aux cheveux tricolores - noirs, magenta, blonds - hérissés en forme d'étoile. Des mèches tombaient sur son visage tandis que d'autres étaient hérissées vers le haut. Sa peau était délicieusement halée et ses yeux étaient d'un apaisant améthyste. Il ressemblait à un Pharaon. Elle se souvenut soudain de qui il était.
 - A... Atem...? C'est bien toi ? lui demanda la jeune fille.
 - Oui, c'est moi, répondit-il d'une voix suave.
Ses yeux violets brillèrent. Son coeur fit un bond dans sa cage thoracique. Il était d'une beauté surnaturelle. Il donna un coup de pied dans la porte, la fermant ainsi et se décolla du mur sur lequel il plaqué. Il décroisa ses bras qui reposaient sur ses pectoraux. Il s'avança vers elle et lorsqu'il fut face à elle, il la poussa avec délicatesse sur le lit. Il se mit sur elle. Sa respiration était saccadée et elle essaya de se lever mais Atem la plaqua plus durement contre le mur, agitant un idex réprobateur. Il ouvrit sa chemise et l'embrassa. Ses mains caressèrent sa taille jusqu'à arriver à son bassin. Elle ne portait qu'une jupe. Alors, le beau pharaon posa ses mains sur ses cuisses et effleura sa peau, continuant de l'embrasser. Il remonta ses mains vers ses hanches, remontant un peu plus la jupe de la blonde.

Il se réveilla soudainement, une montée de chaleur soudaine l’ayant tiré de son sommeil réparateur, s’immisçant dans chaque cellule de son corps. Il regarda autour de lui, sentant que quelque chose était étrange… En effet, il ne se sentait pas à l’aise. Pas chez lui. Quelque chose clochait. Tout ce qui se trouvait autour de lui lui était inconnu. Il ne reconnaissait rien de ce qui se trouvait dans ce qui était vraisemblablement une chambre à coucher. La pièce était plongée dans la pénombre, seule une faible clarté venait l’éclairer. Il se redressa quelque peu, son bassin le faisant souffrir à chaque mouvement alors qu’il sentit ses reins s’enflammer. Il ne pouvait plus supporter le fortement du jean qui écorchait sa douce peau, étrangement sensible. Avec une grimace de souffrance, il se redressa encore un peu, la couverture en satin glissant naturellement de son torse, dévoilant ainsi son buste. Naturellement, il baissa le regard sur son torse dénudé et constata, mi-heureux mi terrifié, que ce n’était pas son torse. C’était celui de Magnus. Ecarquillant les yeux, ne pouvant y croire, il passa ses fins et longs doigts miel aux ongles vernis de noir et ornés de plusieurs bagues contre son nouveau buste, savourant chaque caresses qu’il passait contre ce torse alléchant. Il mordit sa lèvre inférieure, ne pouvant plus résister à ce qu’il ressentait. Des pectoraux saillants de Magnus, il passa à sa tablette de chocolat au lait sculptée, laissant sa main droite effleurer sa nouvelle enveloppe charnelle alors que, dans le but d’apprendre à contrôler ce nouveau corps, il se coucha sur le côté. Il se mit à tripoter et à peloter d’une manière indécente et malicieuse son nouveau buste musclé d’une exquise et douce couleur miel. Un sourire coquin s’étirant sur ses nouveaux et délicats traits asiatiques. Chase prit un malin plaisir à s’attarder sur chaque carré de cette goûteuse tablette de chocolat au lait, arrachant à sa nouvelle gorge fine à la mince pomme d’Adam. Ces caresses continues et obscènes finirent par délivrer une vague de désir et de plaisir dans tout son corps, consumant ses veines de ce poison, chaque effleurement de sa chair miel l’écorchèrent un peu plus, la fissurant presque. Sa main gauche se posa tout naturellement contre son entre-jambe, ses longs et fins doigts gracieux aux ongles vernis de noir reposa dessus, en pressant presque ce qui se trouvait entre ses jambes.
Il est vrai que la rumeur sur les mecs asiatiques est fausse… Tout du moins concernant Magnus…
Il n’avait put réprimer cette pensée insolente et offensante vis-à-vis de Magnus, un sourire malicieux s’étira sur ses lèvres. Il n’arrivait plus à détacher son regard brun de cette agréable vue qu’il avait sur son nouvel atout de séduction, la tablette de chocolat de Magnus Wù qui rendait n’importe qui, hommes hétéros ou femmes lesbiennes, complètement accro à lui. Ce torse était tellement saillant… Si musclé et travaillé…

La Scandinavie... La terre de guerriers courageux appelés autrefois Vikings. C'est ici que commence cette histoire. 
    Le soleil se leva peu à peu, Thor se mit à penser que cette journée magnifique allait être comme toutes les autres... Une séduisante servante arrivera dans sa chambre alors que lui serait torse nu, ses longs cheveux blonds coulant sur ses pectoraux saillants. La belle lui servirai le plateau du petit déjeuner sur les jambes. Il prendra en mains une tasse d'hydromel, agrippera le poignet de la servante et la forcera à se mettre près de lui. Il reniflera l'hydromel et le jeterra au visage de la belle. Quel dommage de gâcher un si bon hydromel, surtout lorsqu'il est souillé par le poison. La servante se serait transformé en Loki et ce dernier lui demandera - une énième fois, comment il avait fait pour découvrir la vérité. Le beau dieu asgardien de la foudre croisera ses bras derrière sa tête et lui répondra qu'il le connaît que trop bien. L'astre solaire éclaira la chambre de Thor qui remarqua que la déco avait changé. " Encore un coup de Loki " pensa le dieu du tonnerre, bien trop habitué aux blagues de son irrécupérable de frère. Il se leva et s'étira. Mais, il se sentait différent, presque féminin. Il en venait à penser qu'il devait se faire des films. Alors, il alla contempler son reflet dans le miroir lorsqu'il vit ce que la glace lui montrait. Là, où il devait avoir le reflet de son magnifique visage se trouvait celui d'une très belle jeune femme aux cheveux d'un blond presque blanc, aux yeux d'une paisible couleur bleue, au teint blanc. Il hésita à baisser la tête et vit que ce qu'il prenait pour un beau cauchemar n'était que l'horrible réalité ! Il était devenu une femme, une belle femme certes, mais il n'en restait pas qu'il était enfermé dans ce corps. Il vit une poitrine ferme et présente. Il effleura de ses fins doigts son nouveau corps, alors qu'il était complètement paniqué. Il était démuni, il ne savait pas quoi faire ! Il se rappela que Loki aimait lui faire ce genre de farces, alors il l'interpella plusieurs fois avant que son frère n'apparaisse. 
       - Loki ! Espèce de... commença l'ancien dieu du tonnerre, se faisant couper la parole par Loki qui posa son index sur les lèvres pulpeuses du nouveau corps de Thor. 
       - Oula, ce n'est pas un langage approprié pour de si jolies lèvres, rétorqua le dieu de la malice. 
      - Je vais te foudroyer si tu ne me rends pas mon apparence ! rugit-il, sa voix s'étant transformé en une vois féminine et douce. 
      - Et avec quel marteau comptes-tu me foudroyer, ma chère sœur ? lui demanda-t-il. 
     - Avec... Mon... Marteau, répondit-il en cherchant autour de lui son fidèle marteau. Où est-il ? l'interrogea-t-il. Où est Mjöllnir ? rugit-il en prenant Loki par le col de son habit d'Ase. 
     - Je ne sais pas. Tu n'as qu'à l'appeler... Oh, mais c'est vrai, tu ne peux pas car que tu n'es plus Thor ! Tu n'as plus tes pouvoirs puisque le corps dans lequel tu es n'a pas de pouvoirs divins... Quel dommage ! 
      - Ca veut dire que mon vrai corps est quelque part à Asgard ! Ramène-moi là-bas ! lui ordonna-t-il. 
     - Je n'ai jamais dit que tu avais ton corps là-bas. Père t'as transformé en esprit pour que tu puisses aider la jeune fille - dans laquelle tu es - à devenir une guerrière. Sauf que moi, je ne l'ai pas vu de cette manière, donc j'ai fait en sorte que tu entres en elle. 
      - Tu es conscient que sans mon arme, je suis sans défense ! 
      - Tu trouveras bien un moyen de te débrouiller ! Tu es Thor Odinson ! Maintenant excuse-moi mais j'ai un peuple à gouverner à ta place... l'informa-t-il en lançant un sort à son propre frère qui le propulsa au sol. 
      - LOKI ! 
Trop tard ! Ce dernier s'était volatilisé !

Loki. Tu vas me le payer...

Thor ne pouvait pas rester comme ça ! Il devait absolument trouver une solution pour que cette possession cesse ! Mais, il n'eut d'autre choix que de faire avec le corps qu'il avait. Il devait d'abord s'habiller et chercha donc quelque chose à se mettre sur le dos dans les habits de la jeune femme dont il avait l'enveloppe charnelle. Il ne connaissait même pas son prénom... Mais bon, ne pas connaître son nom n'est pas un drame ! Il reprit donc ses recherches et tomba sur une longue robe bleue marine. Il la mit, la rope épousa parfaitement ses nouvelles courbes féminines mais il se ne se sentait pas à l'aise dans l'habit donc il déchira les manches longues de la robe et déchira aussi le bas. La robe était à présent fendue sur le côté, dévoilant ainsi ses nouvelles jambes fines, les manches de la robe arrivées maintenant aux coudes. Trouvant qu'il manquait quelque chose à sa tenue, il orna ses poignets - dorénavant fins - de bracelets en cuir et il enfila une large ceinture qui couvrait son ventre. Il alla se contempler dans le miroir et se trouva pas mal ! Néanmoins, il ne se trouvait pas encore assez bien pour sortir, donc il aggrandissa le décolleté de la robe. Pour décoré son cou à présent bien dénudé, il prit un fin collier en argent qu'il mit autour de son cou. Il brossa sa langue chevelure et les mit en arrière. Il noua les cheveux mit en arrière à l'aide d'une pince. Enfin prêt, il sortit. Le soleil était déjà bien haut dans le ciel et l'ancien dieu du tonnerre prit peur en voyant des paires d'yeux masculins se posaient sur lui. Enfin, plutôt sur son corps. Il marcha rapidement le plus loin possible et entra dans la maison la plus proche de lui. Il rit de manière victorieuse avant de se retourner. Il jura à voix haute en voyant que d'autres hommes étaient là. Sauf que ceux là n'étaient pas des guerriers avides de chairs fraîches féminines.
Quelle horreur ! Comment les femmes font-elles supporter tous ces regards indécents ? Un coup de pied bien placé et c'en est fini de ces regards infâmes ! Je ne peux pas rester comme ça !