Rozane
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œuvres
3
défis réussis
498
"J'aime" reçus
Œuvres
Fin XIXème siècle.
Lisette a onze ans quand son grand-père disparaît. Refusant la vie misérable qui devrait être la sienne, elle décide de fuir la campagne et convainc son oncle de la ramener avec lui à Paris où il est domestique dans un hôtel particulier.
Elle sait déjà qu’il ne pourra pas l’héberger et, dès le premier soir, elle erre seule dans les rues de la grande ville à la recherche d’un gîte pour y passer la nuit.
Son caractère déterminé lui permettra-t-il de faire face à cette situation périlleuse et au destin hors du commun que l’avenir lui réserve ?
Lisette a onze ans quand son grand-père disparaît. Refusant la vie misérable qui devrait être la sienne, elle décide de fuir la campagne et convainc son oncle de la ramener avec lui à Paris où il est domestique dans un hôtel particulier.
Elle sait déjà qu’il ne pourra pas l’héberger et, dès le premier soir, elle erre seule dans les rues de la grande ville à la recherche d’un gîte pour y passer la nuit.
Son caractère déterminé lui permettra-t-il de faire face à cette situation périlleuse et au destin hors du commun que l’avenir lui réserve ?
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On est dans les années 70 mais peu importe, on est souvent hors du temps en Bretagne.
Il y a là Fabrice qui aimerait bien être ailleurs, Suzanne, la solitaire, Guillaume, l'instituteur qui veut changer le monde, Sergueï venu de Russie jusqu'à ce bout du monde. Il y a aussi le petit Maxime et Crenn le vieux paysan. Mais surtout il y a la dureté de la mer, les bourrasques de pluie sur les îlots et les silences entre deux vagues.
Il y a là Fabrice qui aimerait bien être ailleurs, Suzanne, la solitaire, Guillaume, l'instituteur qui veut changer le monde, Sergueï venu de Russie jusqu'à ce bout du monde. Il y a aussi le petit Maxime et Crenn le vieux paysan. Mais surtout il y a la dureté de la mer, les bourrasques de pluie sur les îlots et les silences entre deux vagues.
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Dès qu’elles eurent posé leurs cuillères, elles quittèrent la pièce. L’ascenseur n’était pas au rez-de-chaussée. Elles gravirent l’une derrière l’autre en silence les cinq étages et se retrouvèrent toujours sans avoir dit un mot devant la chambre de Lisette. — Entrez, dit la gouvernante, il faut que je vous parle. Pendant le dîner, quelqu’un était entré dans sa chambre et l’avait préparée pour la nuit : la porte-fenêtre donnant sur la mer était entrouverte, la lampe de chevet diffusait une lumière dorée sur la couverture blanche qui avait été légèrement repliée pour mieux l’accueillir. Des tulipes jaunes et rouges se tordaient dans un vase posé sur un guéridon. Chaque soir, elle retrouvait avec bonheur ce havre de douceur, cette bulle suspendue dans la nuit, au-dessus de la mer, au-dessus des soucis de la vie, au-dessus du monde. Le roman que le comte lui avait offert et qu’elle avait laissé ouvert sur l’oreiller, avait été placé sur la table de chevet et un marque-pages au nom de l’hôtel y avait été glissé pour qu’elle puisse retrouver facilement l’endroit où elle s’était arrêtée. — Lisette, dit Marie-Aurore, je viens de recevoir un message de Paris, un message de Renaud, le neveu
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs
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Pour donner du sens à ma vie
Listes
Avec Parcours d'amours, 00-L'objet magique - Prologue...
Avec dérapage...