Une femme du nom d'Elvira revient dans sa maison d'enfance, dans sa ville où elle a grandi. Elle trouve rapidement un nouvel emploi, infirmière a la grave, cette hôpital situer a Toulouse. mais un jour une épidémie s'abat sur la ville. Elvira va devoir affronter cette épreuve, mais se n'est pas tout...
partez découvrir le mystère de la grave dans cette histoire

J'ai trouver...
1) tout plein de notification de leboncoin qui me propose des article dont je n'ai l'utiliter, comme cette chaise a bas prix
2) il y a des offre de SFR alors que je suis passer chez orange depuis longtemps, essai-t-il de me récupérer ?
3) il y a aussi ma MJC du quartier qui n'a de cesse de propocer des activicter, a mon plus grand regret je travailler, je n'ai donc pas pus y assiter (quelle pouise)
4) j'ai des pub a ne plus en finir, surtout a propos de lunette, or je n'en porte pas
5) et pour terminer dans mes spam on peut trouver des message venant de site qui propose de tester tes connaissance (je vous promet que je ne suis pas aussi idiote)

Odin ferryman est un comptable qui a un secret, sa secrétaire Scarlett a découvert sont secret suivez une enquête a Londres dans les année 1900 a la poursuite d'un célèbre voleur. Scarlett va t-elle réussir a mettre son boss en prison ? et va t-elle survivre ?

Cette histoire est une des versions faite à partir d'un devoir de groupe. Vous pouvez voir l'autre version faite par lyra_Astraea sur wattpad

illustration : Sparkle

La bibliothèque du patrimoine, connu sous le nom de la bibliothèque hanter. Tous les journaux en parlent cette bibliothèque tout à fait banale en apparence serait témoin de choses étranges de paranormal. Mais est-ce que tout ça est vrai ?

ps : je n'ai mis aucun effort pour l'écrire donc si vous aimer pas ce n'ai pas grave

Je n'aurais jamais dû ouvrir cette porte, car je me suis fait propulser dans un monde étrange. Tout avait commencé par une simple curiosité. Une vieille demeure abandonnée au bout du chemin, une porte en bois massif ornée d’un symbole que je ne comprenais pas. En poussant la poignée, une lumière aveuglante m’engloutit, et avant même que je ne puisse crier, je tombai… Quand je repris mes esprits, je me trouvais sur un sol scintillant, semblable à du verre liquide. Le ciel était d’un violet profond, traversé de constellations mouvantes. Des créatures flottantes aux yeux luminescents me fixaient avec étonnement. L’une d’elles s’approcha et parla dans une langue mélodieuse, mais étrangement, je compris : — Bienvenue, Voyageur. Le Portail t’a choisi. Le Portail ? Était-ce cette maudite porte ? Je voulus reculer, mais elle avait disparu. J’étais coincé ici. Mais pourquoi moi ? Et surtout… comment allais-je rentrer chez moi ?

Jour 1 Je me réveille lentement sentant une forte chaleur sur moi. Là, en ouvrant doucement les yeux, je me fais éblouir par le soleil qui éclaire l'horizon. Je me relève difficilement, je regarde autour de moi. La seule chose que je vois à l'horizon n'est autre qu'un sable noir. Pourtant, dans mes souvenirs, je me rappelle être au milieu de la mer. Je venais de prendre un ferry qui devait me conduire à une île proche de là où j'habite. Oui, là où j'ai vécu pendant des années et des années. Là où se trouvent tous mes amis et ma famille. Il me manque déjà. J'habitais proche du port, et dans ce port se trouvait une compagnie de bateau, très connue pour ses longs voyages. Ils ont notamment parmi leurs nombreux trésors un navire de croisière qui fait des voyages entre l'Amérique et l'Égypte pour diverses raisons. Un des voyages proposés par cette compagnie était de visiter une île pas très loin du port. Elle était tout de même à plus de 15 km de là. Mais ça ne m'a pas empêché d'y aller, alors j'ai réservé ma place et j'y suis monté avec quelques touristes. Une fois le bateau parti je vis au loin mon port bien-aimé, ses commerce, et un sentiment étrange. Je dirais plus une impression. L

Léo et max sont affalés sur leur canapé. Max est réputé pour être extrêmement con, et vous pourrez le constater dans ce petit dialogue
Léo : (tousse) j'ai un peu mal à la tête, je crois que je suis tombé malade
Max : attends, tu es “tombé malade” ?
Léo : hein, non je veux dire que je suis malade, comme tout le monde
Max : non mais franchement ça fait pas sens. Comment tu peux “tomber” malade ? C'est pas un truc que tu peux poser par terre !
Léo : ben je sais pas c'est juste une expression
Max : mais c'est un truc qui te tombe dessus genre un accident ? Ou c'est un truc comme “oh non je suis tombé malade en descendant les escaliers” ?
Léo : mais non, ça veut dire que j'ai attrapé un virus
Max : attends les virus à s'attrape ? Genre tu prends un filet et tu l'attrapes dans l'air ?
Léo : je me suis mal exprimé, ça veut juste dire que je suis tombé sur une maladie
Max : ah ok, donc en gros la maladie c'est un piège ? Genre tu fais attention et BAM ! Tu trébuche dessus et tu es malade. C'est un bordel ce truc !
Léo : ouais sauf que la maladie c'est pas vraiment un objet a trébucher. Tu peux pas juste dire “oh zut, j'ai écrasé un virus sous mon pied !”
Max : tu imagines ? Un virus qui attend sur le sol, déguisé en petit caillou et hop ! Tu lui marche dessus et bam ! Tu es malade !
Léo : tu es un malade toi aussi mais de manière métaphorique
Max : ne me dis pas que j'ai marché dessus sans faire exprès ? Et que j'ai attrapé l'un de leurs cousins ? !

Je suis dans ma chambre en train de travailler, mon ordinateur est en déchargé, je me déplace sur mon lit. Là, juste à côté de ma table de chevet, se trouve une prise. Que j'ai colorié quand j'étais petite avec des feutres et des marqueurs.
Je branche le câble à mon ordinateur pour continuer mon travail. Il faut que je rende ce devoir avant demain. En plus, mon coéquipier ne peut rien faire, tout aussi débordé que moi.
C'est donc seul que je vais me débrouiller, quelques clics par-ci, quelques clics par-là, ça y est, enfin terminé.
Je ferme lentement mon ordinateur. M'apercevant que mon chat est arrivé sur mon lit. Ce n'était pas rare en plein été qu'il vienne dormir avec moi le soir. Mais elle était quand c'était lui qui décidait de venir de son plein gré.
Mais bon, petit à petit, il s'approche de moi et réclame des caresses. Alors j'obéis, mais au bout d'un moment je me lasse. Je me lève, prenant la direction de ma porte pour rejoindre ma mère qui prépare le repas actuellement.
— Stoppe, tu as intérêt à continuer à me caresser si tu ne veux pas que demain matin je te réveille de bonheur.
— Je me retourne en direction de la voix.
— Sydney ? C'est toi qui a parlé ?
— Parce que tu vois quelqu'un d'autre ici ?
Je n'en reviens pas, Sydney, mon petit minou adoré, mon matou qui ne bouge pas et qui ne fait que miauler pour réclamer à manger à n'importe quelle heure de la journée, vient de me parler ? !
— Bon, comme tu as pu le deviner, je peux parler. À l'avenir, je vais t'embêter deux fois plus.
— Attends, attends, comment ça se fait que tu puisses parler ?
— Moi aussi, je n'en ai pas la moindre idée, mais c'est ainsi. En revanche, ce n'est pas parce que je parle que tu as le droit de me maltraiter.
— Est-ce que je t'ai déjà une seule fois maltraité ? ai-je dit sur un ton sarcastique et en levant un sourcil.
— Non, mais il ne faudrait pas avoir de mauvaises habitudes de début.
— De quoi est-ce que tu me parles ?
— Mes anciens maîtres m’mon maltraité parce que je parlais. Je pense qu'il croyait assez vite aux mythes et légendes que vous, les humains, aviez créés.
— D'accord, mais dis-moi pourquoi me parler que maintenant ? Est-ce que je te faisais peur ?
Non, absolument pas. À vrai dire, on ne peut même pas te considérer comme une véritable menace.
Vexée, je lui tourne les talons et me rends dans la cuisine afin d'aller voir ma mère et de me rendre compte de ma situation. Je lui demande alors de venir avec moi dans ma chambre. Je veux être certaine de ne pas rêver ni d'être dans une sorte d'hallucination. Je sais que la faim peut causer ce genre de trouble.
— Alors dis-moi, que voulais-tu me montrer ? dit ma mère en entrant dans ma chambre .
— Vas-y, Sidney.
— Miaou.
C'est là que j'ai compris que Sydney allait me faire vivre un véritable calvaire. Il peut tout à fait parler à n'importe quel humain, sauf qu'il va faire semblant devant tous et se comporter comme un chat normal. Sauf avec moi, bien entendu ! Et il va même en profiter, ce rusé.
Bon, tant pis, je vais devoir faire avec.

Aujourd'hui, un(e) journaliste vient d'arriver dans mon bureau et m'interroge à ce sujet Bonjour ! Je n'arrive pas à croire que je vous rencontre enfin ! J'avais tellement hâte de pouvoir vous poser des questions sur tout ce qu'il s'est passé ! On y va ? Regardez-bien la caméra, et dites nous tout. Dites-nous qui vous êtes et ce qui vous est arrivé cette nuit-là Je me présente je suis Alena, je suis en charge du département de la santé. En tant que scientifique, je suis habituée à trainer dans mon labo la nuit et a expérimanter des chose, je me souvient cette nuit...
En tant que scientifique, je suis habituée à trainer dans mon labo la nuit. L'ombre des pipettes, les néons qui grésillent, le ronronnement des hottes, des fours, des pompes et des serveurs d'ordinateur... rien de tout ça ne me fait peur. Au contraire. C'est d'ailleurs à ce moment précis que j'ai eu une idée révolutionnaire qui a changé ma vision de la science.
J'ai imaginer un système de prothèse, il serais destinée au secouriste et au personne mal voyante. Ce dispositif se résume a une puce qu'on place sur la rétine, il permet a la personne de zoomer et d'enregistrer les information dans le cerveau. Comment avez vous nommé votre découverte ? Je l'ai nommé oeil Alena Comment es qu'on instale se dispositif ? Avec une simple opération uniquement Ou en sont les teste ? Nous somme encore au point de départ puisque j'ai eu cette révélation avant hier soir. mais une fois le prototype crée nous passerons au teste directement Combient cela va couter ? Simplement 120$ Je vous remercie de nous avoir acorder cette interview Au revoir