Ayah
Je me présente, j'ai 18 ans, vous pouvez m'appeler Ayah. Je suis en étude supérieure. J'aime lire, dessiner, photographier et par dessus tout écrire. J'écris d'ailleurs depuis quelques années.
Mes écris sont le plus souvent des textes, des poèmes et la plupart du temps me concernent ou concernent tout ce qui m'entoure de près ou de loin. Je dois la qualité de mes écrits (les sentiments qui s'y trouvent en tout cas), à mon vécu, mon passif, qui d'ailleurs fait partie de mon présent encore aujourd'hui et me suivra je le pense.
Les adjectifs qui me correspondent le mieux, qui me qualifient si je puis dire, seraient Sensible et Mélancolique. En parallèle j'ai un caractère relativement fort, et j'aime que les choses soient bien faite. Mon plus gros défaut, qui est aussi ma plus grande qualité : je réfléchie beaucoup trop. Tout est prétexte à réfléchir, se poser des questions, trouver des solutions sans qu'il n'y ait de problèmes.
Pour finir, je compte sur vous pour corriger mes multiples fautes (d'inattention, ou pas), ayant un petit différent avec l'orthographe et la grammaire depuis mon plus jeune âge !
Je pense avoir fait le tour, en tout cas j'espère que mes écrits seront à la hauteur de vos attentes. :D
Œuvres
Mais quel est ce goût salé qui tombe sur mes joues ? Serait-ce les nuages qui me jouent un tour ? Il serait idiot de se dire que mes sentiments sont amères tel que cette eau emplie d'hormones qui ruissellent le long de mes pommettes. J'ai beau leur dire d'arrêter de couler, elles ne m'écoutent pas et font un long fleuve sur le long de mes joues, joues si pâles de n'avoir rien mangé depuis quelques temps, joues si fatiguées d'absorber toute cette eau chaque jour, joues qui ont perdues toute trace de joie, de vie depuis quelques temps...
Comment garder toute cette eau remplie de rancoeurs, de tristesse, de stress ? Je pense les avoirs gardées trop longtemps enfermées dans mon coeur, et aujourd'hui c'est la fin, tout coule, toutes mes forces de caractère se sont évaporées, et aujourd'hui je suis faible.
Je suis une simple fille, faible, avec pour seul sentiments ces larmes de tristesses et de désespoirs...
Suivez le départ psychologique et physique d'un père de famille. Quelles-sont les raisons ? Vous le saurez tôt ou tard.
Il était une fois une jeune princesse convoitée par un jeune et beau prince aimé et estimé de tous.
Cette dernière, aveuglée par les charmes de celui-ci, succomba dès le premier regard. Elle pensait bien évidemment qu'il serait l'amour avec un grand A, et cela malgré les avertissement de la voyante du village.
Nombreux ont été à lui dire de renoncer, de ne pas continuer, qu'elle ne connaîtrait pas cet « happy end », celui qu'elle attendait depuis tant de temps. Mais elle espèrait, elle y croyait dur comme fer, elle savait au plus profond d'elle même qu'il ferait d'elle la reine de son cœur.
Jusqu'au jour ou elle tomba de haut : Il était parti.
Elle ne connaissait que son oreiller de satin pour verser les larmes qui coulaient à flot. Il avait fait de cette majestueuse princesse, toujours souriante, pleine de joie, une jeune femme triste, au teint maussade, au cœur brisé, qui ne se souciait plus de rien, qui ne vivait plus, qui ne riait plus, qui regardait le soleil se lever et se coucher chaque jour à attendre qu'il revienne, qu'il lui envoi ne serait-ce qu'une simple lettre.
Les semaines passèrent, et vint alors le soir du grand bal. Elle s’était remise physiquement pour ne pas inquiéter son peuple, mais au fond elle savait pertinemment qu'elle ne l'avait toujours pas oublié, et qu'elle ne l'oublierait certainement pas maintenant.