LES AUTEURS !par La Plume Déplumée il y a 3 ans
Ding dong ! C'est l'heure !
Chers participants, veuillez dévoiler votre texte, en expliquant sa genèse. Vous pouvez aussi faire part des commentaires qui vous ont touché.
Merci d'avoir participé à cette édition exceptionnelle. C'est l'heure des comptes, est-ce que @6_LN@ gardera son trophée (fictif) ?
Belle journée,
À vous les studios !
TI - 1 La fierté de la proie - Tendris
TI - 2 Ne jamais sauter le repas du matin - carolinemarie78
TI 3 - Au pays des merveilles - Popli
TI - 4 Mein Teil - Vhaeraun2016
TI - 5 Fringale - Alex DASCOT
TI - 6 L'esthète - Aspho d'Hell et James Buckley
TI - 7 Mangez-moi - jesuispasunerockstar
TI - 8 Menu qu'on finit... Ou pas ! Bon appétit ! - Jacques IONEAU
TI - 9 Epicurienne - david diez
TI - 10 Onde de choc - @korinne@
TI - 11 Permaculture et Potassium - @SaltyKimchi@
TI - 12 Nuit noire - @Eva lord@
TI - 13 Le fumet du Haggis - @Castor@
TI - 14 Braquemart en cuisine - @6_LN@
TI - 15 À vol d'oiseau - Mya Doris
TL - 1 TELLEMENT SI FEMME - Renard .
TL - 2 Sel contre sel - @Ainhoa@
TL - 3 L'homme et l’œuvre - Mina singh
TL - 7 L’insatiabilité - heliantracite
TI - 16 Un régime façon Vichy - Cleclia maria casanova
Je suis l'auteur du lapin loufoque en retard au pays des merveilles.
Le mangez-moi m'a fait pensé à ça, et du coup je suis partie "en live"
Certains ont donc cru que j'étais l'IA avec ce style décousu.
Le blondasse a été attribué à des hommes ou une femme.
Bref, je n'ai pas réussi à tout lire avant la fin, mais merci pour l'organisation et le temps passé à cette session :)
Je vais aller répondre à vos commentaires.
Je suis l'auteur du Menu qu'on finit... ou pas !
J'y reviendrai plus en détail mercredi.
Merci à tous.
Et je marque un point de plus :D
ça fait un peu prétentieux, dit comme ça ;-) tu as un exemple d'un texte écrit en 5 minutes qui a été salué par le public ? (juste pour voir, si tu dis que tu as déjà tenté et réussi l'expérience, je veux bien te croire, mais je suis curieux)
sinon j'aurais bien aimé en savoir un peu plus sur ton programme (pas le code hein) et ta méthode, tu t'es basé sur des choses existantes, j'imagine, mais quoi ? je suppose que ton "ia" a dû apprendre, comment ça se passe? tu lui as fourni des textes ? lesquels ? etc.
Une tournure qui me sidère. Je lui réponds par une référence à Hitler. Cette position a l’avantage de relancer le débat autour de la table. Après Hitler, je ne sais pas pourquoi, la parole se libère… un débat qui restera néanmoins sur le plan du ressenti de chacun plus que de l’argumentaire.
Les jours passent, la polémique a pris place dans un coin de ma tête.
Mi-mars coup de théâtre : le coronavirus fait son entrée, l’heure n’est plus à penser à Polanski ni à aucune polémique ! Nous devons nous mobiliser pour organiser le télétravail, protéger les personnes que la maladie expose encore davantage au virus et nous protéger également. La solidarité qui s’installe à ce moment-là est effective. Je me dis : tiens l’intelligence collective s’exprime dans l’adversité. Bonne nouvelle dans ce contexte anxiogène.
Revirement de situation le 16 avril, une directive laconique de la Direction tombe : le télétravail est terminé, le directeur rapatrie l’ensemble de ses troupes sur le terrain dès le lundi 20 avril. Dans l’équipe, on s’indigne de cette position arbitraire, contraire aux recommandations gouvernementales. Les craintes exprimées sont nombreuses. Je ne me sens pas l’âme d’un bon soldat.
Malgré un exercice éthique concerté autour ce cette décision, Eléonore accède sans critique à cette décision. Indignation et colère.
Le même jour, une de mes collaboratrices m’annonce une nouvelle tragique concernant un proche. Indignation + colère + désespoir…
L’homme et l’œuvre est né sous ce climat émotionnel. Les mots se sont alignés seuls sur le papier. Soulagement de l’avoir écrit.
Ce texte n’a qu’une seule intention : susciter le débat sur le plan argumentaire, chose que Maxime ne peut faire par un monologue.
Je remercie tous ceux qui ont lu et/ou déposé un commentaire.
À vous de faire vivre ce débat si vous le souhaitez. Rendez-vous sur ma page pour donner votre éclairage sur cette question :
https://www.scribay.com/text/65040972/l-homme-et-l--uvre/chapter/358285
Pas de vampires, mais des muffins et des champignons à la place.
Le thème m’a inspiré de suite cette chanson, comme beaucoup, j’imagine (Vicomte Bidon, Lucivar, qui d’autre ?). J’ai d’abord rejeté l’idée car je la trouvais trop évidente. Puis j’y suis revenu, faute d’en trouver une autre. J’ai alors écouté l’album de Billy the Kick en boucle (pourtant pas mon style) et brodé sur les paroles jusqu’à ce que je déniche un fil conducteur qui relie le tout. Voilà, finalement, les idées les plus simples sont souvent bonnes à prendre.
Merci Ainhoa pour l’invitation à ce défi auquel je commence à prendre goût (même si je ne réussis pas à reconnaître les textes des auteurs;) et pour ton boulot d’animation et d’organisation.
Merci pour vos remarques, annotations et likes sur mon texte.
Merci Mina singh pour ton commentaire qui m’a beaucoup touché. Et bravo, tu es la première à m’avoir repéré.
PS : Contrairement aux apparences, je n’ai rien contre la chanson :)
(Comment ? C'est par là la sortie ? Ok j'y vais)
Bon bah moi tahu, j'étais un peu badboy avec mon texte post-apo. C'est moi l'auteur de Permaculture et Potassium.
Le background du texte : un appel à textes sur la bouffe de demain, ça me faisait rire de jouer sur le côté cuisine chimique, on a plus besoins d'ingrédients si on ingère juste les nutriments qu'il nous faut, et en même temps la scission avec la permaculture écolo et l'idée que si on fait tous un effort, on peut toujours manger du frais et du bon, grâce à l'ami Gontrand !
Le texte a un peu perdu je pense, notamment avec les réflexions du gamin, parce que tout ça était en italique dans le texte original. Mais au moment où j'ai envoyé à la Plume, ça s'est perdu, c'est balo, et j'ai bien vu que certains étaient un peu perdus du coup à ce passage (comme l'italique, quoi).
Mes betteraves ont fait pas mal jaser aussi ^^ Mais rassurez-vous, crues ou cuites, elles sont tout aussi bonnes (cœur sur elles)
Ce qui est drôle, c'est que ça fait plusieurs éditions qu'on me prête la plume de korinne ou de carolinemarie78, peut-être ne sommes nous qu'une et même personne, qui sait... les mystères de l'Internet !
Voili, voilou, oubliez pas : une pomme tous les matins fera fuir le médecin ! (ça marche aussi avec le verre de vin, mais après on voit trouble)
PS : big up à braquemart en cuisine qui m'a rappelé les parodies du Palmashow, j'avons bien ri !
Bien aimé ton texte.
Bienvenu au club !
J'ai aimé écrire ces quelques lignes, même si je déduis de vos commentaires que je n'ai pas réussi à vous embarquer tous dans mon voyage.
Merci à vous tous d'être venus lire et commenter. Je vous dis à bientôt pour d'autres partages.
Un grand merci à Ainhoa pour son dévouement et sa gentillesse légendaire. :)
Donc TELLEMENT SI FEMME
Je voulais imiter DLD qui m'imitait :)
Merci beaucoup pour l’organisation de ce jeu plus court et facile à lire que le précédent.
Le sujet m'avait paru alléchant, un bon amuse-gueule. C'est un deuxième texte tiré du même projet que pour le défi n°1, époque Gigi, un deuxième hameçon lancé pour voir si ça mord, mais toujours pas. Cette idée d'histoire amoureuse est mal barrée, je vous le dis ;)
Ceci dit, il est assez drôle de constater que dans tous ceux qui ont déploré le changement de rythme d'écriture, certains aiment le début et détestent la suite, et d'autres le contraire. Je trouve que cette édition, plus que les précédentes, a mis en lumière des choix et des goûts très différents en terme de lecture, non ? On n'a pas tous le même Miam !
Merci, grande prêtresse pour l'organisation (clap, clap !)
Pour ma seconde participation, j’avoue que le thème ne m’inspirait pas au départ. Et puis, j’ai envisagé ça comme un exercice sur mon projet en cours. Je pouvais explorer la psyché du personnage qui n’est pas le narrateur de l’histoire. Je pense que le confinement et l’enfermement peuvent faire ressortir des choses refoulées ou les exacerber, ici un besoin de contact humain qui permet au personnage de se sentir vivant.
Merci à carolinemarie78, Auteur inconnu, Mina singh et Ainhoa pour leurs jolis commentaires qui m’ont beaucoup touché.
Merci à korinne d’avoir vu l’analogie au vampire et au cannibale.
Contrairement à ce que j’ai pu lire dans les commentaires, je vis très bien le confinement, même si je manque de moments de solitude ;)
Je tiens à faire part de mon expérience personnelle sur le fait que les hommes n’auraient pas besoin de toucher (dans un commentaire) : dans le métro ou autres transports en commun, ce ne sont jamais les femmes qui me tripotent…
Ce texte va prochainement être publié sur mon compte avec un titre qui, je l’espère, vous éclairera en tout cas.
Sinon, je tiens à féliciter korinne qui m’avait démasquée et à mentionner Mina singh pour ses interprétations très pertinentes.
Et merci à l’organisatrice de ce jeu, toujours aussi divertissant. :)
Compte sur moi pour venir le commenter. Il bouscule mes neurones grave !
J'aime beaucoup, même si en effet je ne suis pas complètement convaincue d'avoir le sous-texte, dans tous les cas le côté onirique me parle et fonctionne sur moi sans problème. Etant maintenant sûre de ta maternité, je vais pouvoir le lire l'oeil plus avisé
Donc la genèse fut assez simple, un souvenir de camp dans les Highlands et un souvenir impérissable de cette soirée où grâce au Haggis nous avions pu échapper aux féroces midges.
J’ai un peu tremblé lorsque Auteur inconnu a annoté le mot Balgie, car je me suis aperçu que les curieux qui auraient googlisé « Balgie Écosse » voyaient s’afficher une carte qui me dénonçait immédiatement…
À la grande majorité, les lecteurs et lectrices ont vu une femme, peut-être à cause des phrases longues au début, mais juste nécessaires pour avoir ce côté un peu « lyrique » et pour décrire ce lieu qui m'a fortement marqué par l'impression d'être un nain au pays de géants (non, je ne parle pas d'Atchoum, il est en ce moment en quarantaine) . D'autres ont pensé à un duo lors du changement de style avec des phrases plus courtes pour le dénouement, et le retour à la réalité.
Et finalement le tintement du métal contre le métal n’était que les couverts contre les gamelles (les scouts mangent avec des gamelles en alu) et les coups tranchant dans la chair n’étaient que les coups d'opinel dans le Haggis. Et pour une fois l'haleine fut salvatrice !
Pourquoi un poème tout d'abord ? Sachant que je n'en lis ni n'en écris jamais. A l'exception, sans doute, de quelques travaux scolaires dont je n'ai plus souvenir, c'est la première fois que j'en écrivais un.
La principale raison tient à ce que, dans un texte en prose, je trouve ma plume assez facilement reconnaissable pour qui me lit. Peut-être à tort, mais plutôt que d'essayer d'écrire autrement, j'ai préféré brouiller les pistes avec un exercice que je ne fais jamais. Les amoureux de la poésie ne s'y sont cependant pas trompés et je les prie de m'en excuser ^^ Je pense notamment à Jacques IONEAU, 6_LN ou encore . .. J'en oublie peut-être ^^
Concernant le texte, en lui-même, la proie est manifestement plus fière que son auteur ^^ Le début du texte avec les rimes internes abandonnées plus tard était fait à dessein, je voulais qu'il démarrât comme une fable.
Plus bas, je me suis pris les pieds dans le tapis, comme l'a très justement souligné Jacques. Une patte trop longue, puis une trop courte :) Pour la première, je me suis fait piéger par une liaison oubliée et pour la seconde... je ne sais toujours pas comment je me suis planté ^^
En revanche, pour ce qui concerne la rime qui tombe à l'eau, je l'avais moi-même repérée et rectifiée auprès de la Plume, mais nous avons confondu les versions à publier ^^
L'exercice ne m'a pas vraiment réconcilié avec la poésie, mais c'était plaisant, le temps d'un texte, de s'essayer à autre chose !
Merci une fois de plus à La Plume Déplumée pour son organisation aux p'tits oignons...
Après tout, le thème était bien Miam !
Comme Jacques IONEAU l'avait deviné, je suis bien l'un des auteurs de L'esthète... mais seulement l'un, j'ai bénéficié de la participation d'un autre auteur du site Auteur inconnu.
Une fois encore, j'ai énormément aimé vos commentaires, certains m'ont amusée,, d'autres moins, mais c'est ainsi.
Merci à tous les lecteurs, aux autres écrivains et un tout grand et tout particulier à Ainhoa pour avoir encore animé cette cession.
J'ai loupé le coche pour l'écriture.
Mais je me suis régalé en lisant vos textes.
Un très bon moment.
Merci à celle qui œuvre dans l'ombre pour tout cela. Ainhoa
Alors voilà, j'avoue, "Onde de Choc", la liste de mots, ce n'était pas une IA, c'était juste ce que j'ai été capable d'écrire les premières semaines après le confinement. Impossible de poser la moindre phrase sur le papier, alors comme pour exorciser le blocage, j'ai craché une liste de mots orphelins qui me venait spontanément. Une sorte de thérapie :))
Comme au moment de la 4éme manche (merci Ainhoa de t'être à nouveau investie pour nous apporter cette distraction dans ces moments particuliers : tu es un ange !) je n'avais pas de texte, plutôt que de ne pas participer, je me suis dis que ce serait drôle de vous proposer cette liste impossible à genrer :))
Pour le "Poésie ?" à la fin, je l'avais posé comme une manière de dépasser le choc. C'était une question de désespérée :)) Certain(e)s l'ont lu comme une définition. Des poètes en fait, et je comprends leur réaction épidermique, que je n'avais pas imaginé :))
Encore une belle partie de plaisir ce jeu, merci à tout le monde !
Belle journée à vous :)
N'en déplaise aux puristes, j'ai aimé ton texte, et plus encore ton effort à participer au jeu ;)
J'étais à deux doigts deux sortir un texte comme le tien looool .
En tout cas, je ne vois toujours pas le texte de l'IA et je suis vraiment curieuse de savoir lequel c'est.
Je me suis fait archi cramer - besoin de le souligner ? Loooool !
Comment du pourquoi ?
Je bataillais sévère pour sortir un texte un peu potable. Vraiment sévère. J'étais a deux doigts de ne pas participer au défi. Finalement la scène est apparue suite à une conversation - houleuse- avec un scribayen que j'affectionne particulièrement. Il m'a dit de laisser du temps au temps, de ne pas vouloir tout tout de suite.
J'entendais ses mots mais je ressentais une urgence à écrire ce que je n'aurai peut être plus l'occasion de partager. Je me sentais en fin de cycle.
Je ne voulais pas parler du syndrome de la page blanche mais d'une sorte de sécheresse intérieure. Écrire j'y arrive. Sauf que je bute contre un idéal plus grand. C'est pour cette raison que j'ai pensé à arrêter d'écrire pour me consacrer à la lecture. Je nourrir pour m'améliorer, m'ouvrir au monde pour m'enrichir.
Merci à vous pour vos retours sincères.
Toi aussi en ce moment tu lis plus que tu n'écris ? C'est frustrant de ne pas avancer sur ses projets et de se morfondre dans la boulimie littéraire :x
Pfahlhängen: Estrapade
Schraubstiefel: Brodequin
Radebrechen: Rouer
Vierteilung: littéralement, séparer en quatre parts, donc Écartèlement.
Le soir même de l'annonce du jeu, j'ai tout écrit en quatrième vitesse. Je ne sais pourquoi j'ai eu envie de faire intervenir "l'Internationale" à un moment et je me suis amusé à jouer sur les vers "la raison tonne en son cratère" et "c'est l'éruption de la fin". Une fois cet amalgame alchimique à peu près terminé sans encore m'avoir explosé à la tronche, j'ai passé une nuit de sommeil avant de pouvoir accéder à mon ordinateur, et là, miracle, le texte faisait déjà presque cinq minutes. J'ai même pu rajouter une courte scène de festin de chair humaine. Puis, envoyé.
Oh, et, un détail, j'ai donné au texte le titre d'une chanson de Rammstein. Grossière erreur, j'ai passé toute la semaine avec cette chanson dans la tête.
Encore merci à Ainhoa pour nous avoir emplumée et distrait comme une cheffe sioux.
Pour cette mouture j’étais bien à labour, me réveillant le mercredi pour le samedi. Heureusement, alors que le désespoir menaçait de me submerger, je vis apparaître un ange – non ! c’était un fennec – qui me tendait une main généreuse pour me sortir de ce mauvais pas où ma distraction m’avait conduit. C’est ainsi que je me retrouvai à écrire en duo, en compagnie de l’éclatante et formidable (et directive) 6_LN, et quel splendide mercredi après-midi ce fut. Les idées fusaient, les bêtises s’enchainaient, les rires ricochaient, la bière coulait à flot si bien qu’elle dut finalement partir en courses. Au soir, faisant preuve d’une prodigieuse efficacité, nous avions fini. Ravis, nous nous félicitames tout en admirant notre oeuvre. Ne nous restait qu’à repolir encore un peu notre Braquemart en cuisine pour pouvoir l’offrir joyeusement à votre bon plaisir. Dans l’ensemble vous avez apprécié nos bêtises et j’en suis très heureux. Merci à tous.
Des bisous :)
Une parodie très réussie en tout cas !
Merci pour cette bonneuh trangche de rigolardise, té !
Auteur inconnu
Castor
Vis9vies
carolinemarie78
korinne
@Ai acheté un couteau@
Vicomte Bidon
DLD
Ainhoa
Gigi Fro
Auteur inconnu
"Hallbresses "
Lucivar
Jacques IONEAU
Mina singh
Paige Eligia
Auteur inconnu
Auteur Inconnu
Tendris
Auteur inconnu
Grunni
AudreyLD
Auteur inconnu
Renard .
jesuispasunerockstar
Clelia Maria CASANOVA
Eva Lord
Zelen Awal
SaltyKimchi
Gruik
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