Les racines du cœur
de Chib
Tu m'as fleuri le cœur et l'esprit. J'étais à ta place et tu étais à la mienne. Rien de nous, de nos deux êtres n'est remplaçable, comme la montre a son aiguille. Je me suis ouvert face à mon chagrin, pour ne plus voir que le soleil que nous avons enfin mérité, qui m'éclaire comme dans l'obscurité d'un chemin. C'est le cœur remplie d'espoir et de bataille, que je profite de ma nouvelle vie. Elle c'est créé sur un désastre, de te prendre une dernière fois dans mes bras. Un soulagement comme un bandage, encore présent, ici. La couture et fermé, elle termine et fait partie de notre histoire. J'ai conscience que mes sentiments ne sont pas des jouets, ils peuvent donner la vie mais aussi la détruire, comme ne jamais partir en paix, dans un rêve sens espoir. Je suis tellement heureux et triste à la folie, que j'ai tout le temps l'impression que mon cœur va rougir et sortir, pour recouvrir le monde d'une légère rosée sens un bruit, qui se profile comme une ombre. Les racines de la vie ont réellement prévus ses aventures tortueuses, qui se tortille en s'emboîtant plutôt bien pour moi.
Je ne souhaite qu'une seule chose aujourd'hui c'est illimité ma vie, pour qu'il ne reste plus rien du temps qui passe. Je suis naïf de penser cela réel, dans mon cœur et mon inconscient cela peut être possible, il suffit dit croire. Tu as illuminé les moments que nous avons passés ensemble, ils n'en restent que de doux souvenirs, qui semble si douloureux à la fois. Ils sont existants et parsemés de milliers d'étoiles, par ton empreinte, comme un passage que tu as étalé sous tes pas. Je rêve de t'embrasser sur la joue par plaisir, juste pour voir sur ton visage se dessiner un sourire. Un bisou qui semble froid comme la glace maintenant que tu es partie, mais se baisser empli mes rêves à chacune de mes nuits.
Je suis un boulé d'arôme, un verre de rhum que l'on boit cul-sec, avec deux beaux morceaux de citron, qui de leurs présence, régale et facilite le passage des lèvres à la bouche jusqu'au fond. Je grandis et me profile chaque jour rien que pour toi, comme une petite brise qui me frôle, juste la. Qui ne mérite rien d'autre que d'être avalé, embrasser, pour que je finisse éclabousser dans tes bras.
Tu ne mérites plus rien de moi, juste mon absence et mon ignorance, car je suis asséché et toi assoiffé. Je m'excite plus et tu m'excites moins. Nous n'avons jamais autant touché le bonheur d'aussi près que je pourrais mourir le vit à la main. Epuisé de nos entrelacements, je n'ai plus rien à faire de mes demains. Il n'y a pas eu de rendu à blanc, je vais tout faire pour te recouvrir de la tête aux pieds, car dans mon cœur il y a plein de place, comme une tâche sur un drapé. Du liquide que l'on peut toucher et sentir, à la fois chaud, et à l'odeur de fer qui se refroidit. Comme une tache de vin imprimé à vie sur tes reins, jusqu'à proclamer que cette fois si, c'est la fin.
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